BOUCHERS ET BOULANGERS, Electeurs Ouvriers, BOOMEN SIWHISKX EIKEN, POPULIEREN BOOM Electeurs, POISSONNERIE ADJUDICATION EIKEN EN ABEELEN Des créatures des couvents Des adversaires de tout ce qui vous assurer prospérité et progrès peut I^Les cléricaux vous promettent monts et merveilles. Ils vous avaient fait les mêmes promes ses en 1887, pour les oublier au lendemain de leur éphémère triomphe Ils ont fait tout autant de promesses aux agriculteurs, qu'ils allaient soulager e tenrichir Et de toutes ces déclamations qu'est-il sorti Du vent. L'heure est venue où vous devez vous venger de ces menteurs !Ne vous laissez pas prendre la glu cléricale Exploiteurs, paillasses, charlatans, que tous ces tripoteurs cléricaux Les cléricaux cherchent vous aveugler par l'appât de l'or Vous êtes trop fiers de vos droits civi ques pour vous laisser corrompre par l'or Ils cherchent"-* [fer tous les moyens, a vQps détourner du bjif. louable et prpfpn-, démenLsocial que vouV voulez atteindre Vous''êtes trop honSetes pour>épondiiç£|. à1'leurs manoeuvres- hopt^Uses V .«"Pourquoi fé riez-vous le jeu des cléri caux. Xgfifi EtN^tielles ràisojtijf pourriez-vous i dîf voter pour Tes iféstructeurs dés écoles publiques^ pour', les -éternels oppresseurs du peuple, pour les adversaires irréconci liables de toute extension du droit de suffrage Non Vous n'oublirez pas, en un jour d'ingratitude, tout ce que les libéraux ont fait pour vous, pour votre rédemption intellectuelle, pour votre affranchissement social, pour l'amélioration de votre sort P Vous leur devez, sachez-vous en souve nir La diffusion de l'enseignement profes sionnel et industriel La liberté des coalitions et la suppres sion de cet inique article 1781 du Code civil, qui voulait que le maître fut tou jours cru sur son affirmation dans ses contestations avec ses ouvriers La suppression des livrets d'ouvriers La loi sur les sociétés coopératives La loi sur les sociétés de secours mu tuels La loi sur l'électorat capacitaire, qui a introduit dans les comices et élevé la dignité civique tous les ouvriers instruits. ÉLECTEURS OUVRIERsTC'est dans le patti libéral et non dans le campTIe la réaction ultramontaine que sont vos aWs sûrs et vos protecteurs dévoués. aiegnc On Vous demande renverser une ad ministration laborieuse, intelligente, éco- ^n'omeF J Pourquoi?* Z Pour^nstàjier ârTHôtéLde-Ville ceux 1--qùïVnt"déjà-'donné l'ample mesure de leur incàpàcité et de leur incurie. On vous demande de renverser une édifité indépendante et ferme, f dévouée"" aux intérêts de la Bourgeoisie cL tq'uj,our§ prête défendre ses Burgerïijke Gotfshuizen VAN YPER|N. MERKWEERDIGE VENDITIE 31 koopen EXTRA SCROONE EN ZWARE JE ZILLEBEKE, bij het géhacU^w HET HOOGHE OP UAAXDAG 2" FfiBRUARl 1891, ten 1 ure namiddag, door t ambt van den Notaris TITECA, te Yperen. VERKOOPING 115 koopen ZWARE GEVELDE dienstig voor aile slach vpn.werken, EN 6 koopen BEUKEN OP STAM, TE PASSCHENDAELE in den Maraschbosch, bij de herberg Het Roozeken OPDONDERDAO I2FEBRUARIIS9I len 1 ure namiddag, door tusschenkomsl' van een bevoe^- Y - den ambtenaar. I1ERAÏAY - PAUWELS YPRES- J'ai l'honneur de vous informer de l'époque de la nouvelle saison des HuItres. Je puis actuellement vous fournir des Huîtres de 10 18 fr. Hutli es Burnham natives. Huîtres Impériales 1" qualité. Ruîlres de Zélande, 1" qualité. Huîtres Anglaises royales, Huîtres d'Ostende. as* Pourquoi Pour la remplacer par des étrangers, ,par des serviteurs dociles de lepiscopat, plus disposés rendre service leurs maî tres qu'à prendre souci de vos besoins et de vos vœux. On vous demande de renverser les orïa- nisateurs de notre enseignement public, les protecteurs de nos écoles nationales. Pourquoi Pour les remplacer par des fanatiques qui veulent substituer le couvent l'école et étendre sur notre antique cité les ténè bres de l'ignorajace. Electeurs de la ville d'YprcjS 11 faut que votre verdict de Dimanchp prochain exprime Votre gratitude pour cçipc;qui* oftt fidè lement et prospèrement gêfé vos intérêts. Votre attachement ces-Traditions d'in dépendance bourgeoise et de dignité civi que qui sont la gloire et l'orgueil de la cité. Votre horreur pour toute ingérence étrangère, pour toute intervention épiseb- pale dans vos affaires administratives. Et enfin et surtout qu'il soit l'éclatante confirmation de votre verdict du 19 Octo bre dernier et en même temps l'éclatante condamnation, l'indélébile flétrissure de tous les comploteurs, de tous les malan drins que l'on sait Défiez-vous de la circulaire cléricale de la dernière heure c'est toujours celle-là qui contient lè j^lu^-gros mensonge-, parce qu'au moment où "elfe paraît, il.est trop tard pour la démeiitir. Encore une fois/ défiezfvoùs s du dernier'ùjûmént. des nœ ma- Huîtres Anglaises dites «Westports. Toutes ces Huîtres sont priées au 100, sauf !es Huîtres royales Anglai ses et les Huîtres d'Ostende dont ma maison sera toujours pourvue et que je vends en gros et en détail au prix de 12 et de 15 fr. Je puis également vous fournir des gros Homards de Bretagne et, des Lan goustes vivantes, du Turbot, du Sau mon et tout autre poisson de mer. N. B. A la demande des clients je me rends domicile pour écailler les Huîtres. s iftre VA N E ECKE, ërvico.1 LE JEUDI 12 FÉVRIER 1891, 6 heures, l'HOTEL MACOTE, A WERVICQ, D UNE BONNE de 41 a. 80 centiares COMINSS, le longs du pavé de Wervicq. Entrée en jouissance immédiate. C. WALLAERT, RUE DE LA PORTE D'OR, N" 2, YPRES. LESAVONDEGOUDRONETSOUFRE de Bergman n et Cie, est un des meilleurs préservatifs con tre toutes les maladies cutanées. Il con serve la peau Hanche et souple. En vente fr. 1-00 le morceau chez E. Lambin- Malhée, rue au Beurre, 20. Imprimerie de LAMBIN-MATHÉE, ruê âifBeurré, 20, Ypres van van en MM. de ■?-*-^v/\a/v\jytjv-v-v-*" M. J'ai l'honneurde porter votre connaissance que*je viens de m'établir en cette ville comme Charpentier, Menui sier. L'expérience acquise tjans les prin cipaux ateliers, ainsi que le soin que je mettrai tous mes ouvrages, vous garantissent la bonne réussite des travaux que vous voudrez bien me confier. (Dans P espoir d'être honoré de votre ppjiïtMiê, l'assurancede ma plus haute consi dération. Camille WALLAERT, Rue de la Porte d'Or, n° 2.

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Le Progrès (1841-1914) | 1891 | | pagina 4