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Sue sur le papier. Mais même si nous les avions,
faudrait encore augmenter le contingent, et
introduire le service personnel, ce qui permet
trait de réduire le temps de présence sous les
drapeaux. Le général-major Knepper a vivement
critiqué aussi le matériel de la forteresse d'An
vers, qu'il compare un musée d'antiquités. Au
lieu de le renouveler progressivement, on con
damne les artilleurs entretenir, sans aucun
profit pour leur éducation, des canons préhisto
riques, Je ne comprends pas, a ajouté M.
Knepper, que le ministre de la guerre ose accep
ter la responsabilité d'une pareille situation
jusqu'ici il n'a reçu que les éloges de M. Woeste,
l'ennemi juré de l'armée.
Une autre opinion qui nous intéresse particu
lièrement est celle de M. le lieutenant-général
Wauwermans, le savant président de la Société
de Géographie d'Anvers. Le«s/stème du service
militaire universel lui paraît le seul rationnel.
Le lieutenant-général Wauwermans croit qu'on
peut forme? ùq bon soldat en peu de temps. Il
assure qu'ûnè-mobilisation, au lieu de 130,000
hommes, no'ûjj en donnerait peine 75,000. Or,
rien que-pour la défense d'envers, il faudrait
déjà 60,000 hommes
J],ai moi-même travaillé ce calcul auquel
l'on a procédé avec le plus grand soin. Le gé-
n néral Jolly qui commandait la circonscription
d'Anvers, a approuvé nos conclusions et les a
n transmises au ministre de la guerre. Cela n'em-
n pêche pas le général Pontus d'affirmer la
Chambre que 30,000 hommes suffiront. Et
quels hommes assigne-t-il Anvers Ceux de
n sa fameuse réserve, les soldats des 8e, 9e, 10e,
7i 11e, 12e et 13e classes, des hommes qui n'exis-
tent peut-être pas, car la gendarmerie ne
passe pas en revue ceux des trois plus ancien-
n nés classes, et les mariés et les veufs avec en-
x fants sont dispensés.
On appréciera la gravité de semblables décla
rations. Mais M. Wauwermans ne s'en est pas
tenu là. Si, son avis, Anvers est encore une
excellente place forte, elle n'en est pas moins
inachevée dans tontes, ses parties et son armement
laisse beaucoup désirer. Lorsque le drapeau
belge cessera de flotter sut Anvers, la Belgique
cessera d'exister or, nous ne sommes nullement
préparés un siège. M. Wauwermans, pour sa
part, a tout ..fait, mais en vain, pour obtenir"
cette préparation, «-Je sais,a-t-il ajouté, que tqut
gnages autorisés qu'elle-a recûéiîl'is que laTêitua-
tion militaire du pays es*t 3ë. nature iq^girer
les plus vives inquiétudes. Dans sojî. eQgèmtbla,
elle est très mauvaise. -
Donner l'enfant une préparation pectorale
est un problème délicat en effet, la plupart des
enfants refusent les médicaments pour peu que
la saveur en soit désagréable et, en outre, peu
des préparations usitées conviennent l'enfance,
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lord ,?iuarl de Decies, pair d'Angleterre, M. le docteur-professeur
Roiith etc etc.
Cure N> 65, 476: M. le curé destmparelde 18 ans de dyspepsie,de
gastralgie, de souffrance de l'esCoomae, nerfs, faiblesses et sueurs
nocturnes.
Cure N° 99,625. Avignon, 18 Avril 1876. La Revalenta Du
Barry m'a guérie, l'âge de 61 ans, d'épouvantables souffrances de
vingt ans. J'avais des oppressions des plus terribles, ne plus
pouvoir faire aucun mouvement, ni m'habiller, ni déshabiller avec
des maux d'estomac jour et nuit et des insomnies horribles. Con-re
toutes ce< angoisses, tous les remèdes avaient échoué.: la Revalenta
m'en a sauvé complètement. Bomikl, née Carbonnettey, rue du
Balai, H.
La femme de M. le maire de Volvie, d'une irijaltonjpulmonajf'e
avec crachement de sang et toux opiniâtre. -.Tp't"
M. Gauthier, Luzarches, d'une constipafhyr.opiniâtre', perte
d'appétit, catarrhe, bronchite. -
Rapport du docteur Routh, médecin en chef de l'hôpital Ntnauha-
lan des femmes et des enfants, Londres NaluTellement'rienh
en éléments indispensables au satfg pour développer et entreteç|i-
ei cerveau, les nerfs, les cbaîéqjsl. le
dtnre par excellence qui, seule,- su
la ttcvalenja est la n
lur aqiiurçr. la
des enfants et des malades de ttftt;A»e. Beaueôhp de
•d'enfants, dépérissant «l'atrophie ejt. «le faiblesse très-
qnuété parfaixèmenl guerispar laTtevalenta". Aux patuûns pnfliisi
f'î;4t,ps: .él'iquês cfrachitiques elle Convient mieix que l'huile dé fty
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