SANTÉ A TOUS
REVALEIVTA ARABICA
LE PREMIER
Pendant le même laps de temps, l'affût la
bécasse est autorisé dans les cantons de Beau-
mont, de Binchede Chimay et de Thuin{Hainaut),
dans la province de Luxembourgainsi que dans
les parties des provinces de Namur et de Liège
situées sur la rive droite de la Sambre et de la
Meuse.
Cet affût ne pourra être pratiqué que le soir,
{tendant quinze minutes, après le coucher du so-
eil, dans l'intérieur des bois de 20 hectares au
moins et par les propriétaires de ceux-ci ou leurs
ayants droit.
Un médecin de nos amis nous a affirmé que,
dans l'épidémie de grippe qui a régné l'an passé,
le Sirop de Regnauld et la Pâte de Regnauld étaieht
les préparations qui lui avaient rendu le plus de
services contre la toux quinteuse et déchi
rante de cette maladie. En effet, ces deux médi
caments sont des sédatifs aussi doux qu'efficaces,
qui calment la toux et rendent le sommeil aux
malades atteints d'une affection des bronches ou
de la poitrine
Nous ne pouvons que transmettre ces remercî-
ments la personne qui ils reviennent, c'est-à-
dire M. Vergauwen.
Le meilleur Purgatif
Madame Bbrthe, la célèbre somnambule- qui
a déjà donnp tant de preuves de son étonnante
1 u ci ditéronsulté pour Maladie, sous là direction y
d'un, médecinEllè&onsulte également pour Re-
ckerxhÀss, Renseignements, - h VInstitut Magnétique,.
23, rue S£mt*Merri, à-Paris, et par çqrrèspon-
dance. -
Lés màladjes âe toute nature, particulièrement
l'épilepsie, les affections nerveuses, les para
sies, les maux d'estomac, la surdité, leB mau"* V;
tête sont infailliblement guéris par notre célèbre
méthode rationnelle. Milliers ae guérisons radi
cales.
Prière de nous adresser en pleine confiance les
descriptions détaillées des maladies en y joignant
un timbre d'affranchissement pour la réponse.
OFFICE SANITAS PARIS,
57, Boulevard, de Strasbourg.
sel
TOU£, RHUME, BRONCHITE,
ASTHME, COURTE HALElNE.etc.
*«.Y
liraRAIIAY - PA^WELSV
mm y pp ES
F. VERGAUWEN
Police sanitaire des animaux domestiques.
L'importation en Belgique et le transit des
anifiaaux de l'espèce bovine, provenant de la
France, sont interdits par les frontières de terre
et de mer jusqu'à disposition ultérieure.
UN MIRACLE DE LA SCIENCE.
La phjisie. c'est la maladie de nos jours. Plusieurs
et variées sont les causes qui concourent la multi
plier, causes qu'ici il est inutile de rappeler. Jusqu'à
présent, en général, la phtisie eut le nom la maladie
qui ne pardonne pas
Aujourd'hui enfin, nous avons appris avec beaucoup
de joie, que le célèbre Professeur GIUSEPPE BAN
DIERA .de P'alerme, médecin greffeur en chef de la
Municipalité de cette ville, un savant qui a vieilli dans
la science qu'il exerce, après de longues et profondes
études, a découvert un remède singulièrement efficace
contre les microbes de la phtisie, et ensuite aux succès
obtenus et l'importance de sa découverte, il se pro
pose de soumettre son spécifique l'examen d'une com
mission du Gouvernement pour que ce dernier veuille
bien expérimenter le nouveau remède dans les hôpitae*^"
civils et militaires, et de plus le faire connaîtçpqw des
conférences donner dans les principale^ villes de
l'Italie.
Le docteur BANDIERA, né en 1813, demeure
Palerme il possède déjà de nombreuses attestations
par des médecins, ainsi que par des malades miracu
leusement rétablis. Ce fut le journal II Secolo de Milan,
N° 78J.8, qui en donna le premier l'heureuse annonce
l'humanité souffrante. On lit dans te journal:^» Le
remède ofierV^ouerguéfijr phtisie est ce qu'on croit,
un antiseptique. Le docteur BANDIERA soutient que
son remède fait disparaître les symptômes,dé la phtisie
dans le-terrae de deux ou trois semaines, en tuant le
bacille de Koch êt que le patient "se trouve en état de
guéfison dans le terme- pferetnptoire de-40 jours. Le
docteur BANDIERA- offre son mëdyjtnal tous' ceux
quPeq,onb besoinIl se réf^rve- de- publier tfrie analyse
de sa découverte aussitôt que la Commission Sanitaire
sera réunie. j>
Pour conclure Au moment où nous félicitons avec
l'illustre et vénérable médecin, nous invitons tout souf
frant se diriger sur le champ lui. Il n'y a pas de
temps perdre le premier coup de toux n'est que trop
souvent le premier râle de l'agonie
-- w>a»aa<33aa»»— i
Il ne se passe pas de jour que nous ne rece
vions de lettre de l'une ou l'autre de nos lectri
ces pour nous remercier de lui avoir fait con
naître le fortifiant par excellence qui a nom
Perles Salvator et qui produit des effets merveil
leux chez les enfants, soit en cas de croissance,
soit en cas d'affaiblissement.
M. MEIEK, dentiste de Courtrai, a l'honneur d'infor
mer l'honorable public et sa nombreuse clientèle que son
cabinet dentaire est transféré chez m™' veuve Van Ke,mmel,
Grand'Place, 5.Ypres, où il seraà consulter tous les Same
dis, comme d'habitude, de 9 heures du matin, 2 heures
de relevée.
Xre plus agréable
rendue sans médecins et sans
purges el sans frais par la
délicieuse farine de santé Ou Barry de i.oadres. dite
Quarante ans d'un invariable succès,en guérissant les constipa-
lions dyspepsies,mauvaises digestions, gastrites, gastralgies,glaires.
vents, aigreurs, acidités, palpitations, pituites, nausées, renvois,
^vomissements, constipation, diarrhée, dyssenlcrie, coliques,
phtisie, toux, asthme, élouffements, élourdissements, oppressions,
congestions, névrose, insomnies, diabète, Faiblesse, épuisement,
anémie, chlorose, totft désordres de la poitrine, gorge, haleine,
voix, des bronches, vessie, foie, reins, intestins, membrane,
muqueuse, cerveau et sang. C'est en outre l'aliment par excellence
qui seul réussit éviter tous le< accidents de l'enfance. 100,000
cures annuelles, y compris celles de Sa Majesté l'Rmpereur Nicolas;
de Sa /Sainteté feu le Pape Pie IX. de Mme la duchesse de Cast-
lestunrt, le duc de Pluskovv, Mme la marquise de Brébant,
lord Sluart de Decies, pair-d'Angleterre, M. le docteur-professeur
Roulb etc etc.
Expérience du Docteur Ravaud
LVitry-les-Reims, Marne, le 22 Octobre 1890.
Je fais personnellement usage delà Revalenta et la prescris mes
malades, particulièrement dans les affections du tube digestif, el
dans tous les eas où il y a intérêt soutenir et ramasser Tes forces
des malades; j'en ai toujours obtenu les meilleurs résultats.
Dr RAVAUD.
I,e Dr Elmslie écrit Votre Revalenta vaut son pesant d'or. Elle
est le meilleur aliment pour élever les enfants, étant bien préféra
ble au lait et l'huile de foie de morue".
Le Dr Vermeulen, d'Anvers, écrit, le 10 Octobre 1888 a J'ai pres-
critavec le plus grand succès et plusieurs, reprises, votre Reva
lenta. En ce moment encore je traite un enfant qui ne devra la vie
qu'à elle.
Celte, 2 Janvier 1890. I.a Revalenta m'a-émpêché de mourir, dev
puis dix-huit mois c'est la seule chose que je puisse digérer.
II. Gaffino. Curé-doyen de Cette, Hérault. .J
Cure N» 98,614 Depuis des années, je souffrais de manque-'
d'appétit, mauvaise digestion, affections du cœur, des reins, de lys-
vessie, irritation nerveuse et mélancolie tous ces maux 4fïÉ~
disparu sous l'he .rcuse influence de votre divine Revalenta
i son Pktclbt, instituteur, Eynanças (Haute-Vienne)
Quatre fois nourrissante cimme la. viande, sans échauffer elhî
économise-encore 59" fois son prix en médecines et répare les
eOBStitutions les pins épuisées par l'âge, le travail ou les excèf
^quelconques. En boites. 14, kil., fr. 2-25; 1/2 kil., 4 fr.-; P
kil.'; 7 fr.; 2 1;2.ki'L, 16 fr. 6 kil.. 56 fr 12 kil., 70 fr.Le*
biscuit de Rtvalenta en boite de 4 et 7 fr. La Revalenta chocolatSe.-
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0 ^b^'nyfcc-sjiuiïiWe la sanié.
Les l'piiillea F. Verganwen cal",
g jm-nt ♦fflmétlialenient la lonx, les oppressiouA
ue. toMs s^res et sont inestimables.pou
iftiVs les personnes qui se fatiguent là vojj
cl i.rpsiiilcs préservent tles-reiroidissa
eh fû; tilLiiit les bronches et
Jçs sLri/.-LinCes ealm
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