ÂKËÛiA!
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MI-CAREME DE 1891.
POISSONNERIE
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Le caporal de service donna l'autorisation, et le jeune
couple sorfit, enchanté, en se dirigeant vers des terrains
environnant la caserne.
Les deux amoureux étaient peine arrivés derrière la
caserne que trois individus tombèrent bras raccourcis
sur eux.
Morbé essaya inutilement de se défendre et de tirer sa
maîtresse, des mains de ces brutes. Enfin, réussissant se
dégager, il courut la caserne chercher aide et secours.
Seulement, en route, pensant peut-être aux conséquences
inévitables d'un scandale, pensant aussi, sans doute, aux
inconvénients qu'il allait attirer son caporal, qui l'avait
laissé sortir, Morbé résolut de s'en tirer seul, en s'armant.
Il prit donc sa baïonnette et en un instant se retrouva
sur le lieu de la lutte, où ii fut fort étonné de ne plus se
trouver qu'en présence des trois individus. Sa maîtresse
avait disparu.
Alors, ne sachant plus ce qu'il faisait, Morbé s'élança
comme un faute sur les trois hommes, sa baïonnette la
main et frappant droite et gauche avec une rage folle.
Il allait cependant avoir le dessous dans la lutte terrible
qu'il avait engagée, lorsqu'au lieu de frapper simplement,
il pointa, au hasard, et atteignit l'un de ses agresseurs au
cœur.
Voyant le malheureux tomber la renverse et inonder
de sang s.es qamarades qui s'étaient précipités son se
cours, Morbé se sauva et rentra la caserne, où, fort
calme, il reprit son service au corps de garde.
Le blessé, François Callevye, demeurant Etterbeek,
rue Gray, succomba bientôt dans les bras de ses compa
gnons, qui, le voyant mort, se sauvèrent également en
abandonnant lé cadavre.
Un passant attardé vit ce cadavre en travers du sentier
et avertit la police, qui fit transporter aussitôt le corps
la caserne et ouvrit une enquête qui amena très rapide
ment l'arrestation de Morbé.
Celui-ci, du reste, est en aveux. Il a expliqué au par
quet, qui a déjà opéré plusieurs descentes, les circonstan
ces qui l'ont amené commettre son crime.
Morbé a été mis la disposition des autorités militai
res. Quant sa maîtresse, on ne sait pas encore ce qu'elle
est devenue.
Un docteur anglais a fait le recensement des habitants
d'un fromage. L'examen microscopique d'un gramme de
fromage d'Ementhal frais, que l'on vend communément
en Angleterre sous la dénomination de Gruyère, lui a per
mis de constater la présenée de <piàtre«-vingt-dix mille
microbes
C& prodigieux camB&ueitt esLdejte'nu, après soixante-
dix jours, une tribuMè.finit cent mille individus.
Un gramme d'un autre fromage contenait deux mil
lions de microbes.
Un morceau de fromage du poids de quelques livres
peut donc/contenir plus de microbes qu'il n'y a d'habitants
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cures annuelles, y compris celles de SaJUàjèsté l'Empereur Nicolas;
de Sa Sainteté feu le Pape Pie IX, de Mme la duchesse de Catl-
lestuart, le duc de Plusltow, Mme la marquise de Brébanl,
lord iSltiart de Decies, pair d'Angleterre, M. le docteur-professeur
Routb etc etc.
Expérience du Docteur Ravaud
Witry-les-Reims, Marne, le 22 Octobre 1890.
Je fais personnellement usage de la Revalenla et la prescris mes
malades, partictiliéremenl dans les affections du tube digestif, et
dans tous les cas où il y a intérêt soutenir et ramasser les forces
des malades; j'en ai toujours obtenu les meilleurs résultats.
D' RAVAUD.
Le Dr Elmslie écrit Votre Revalenta vaut son pesant d'or. Elle
est le meilleur aliment pour élever les enfants, étant bien préféra
ble au lait et l'huile de foie de morue.
Le Dr Vermeulen, d'Anvers, écrit, le 10 Octobre 1888 J'ai pres
crit avec le plus grand succès et plusieurs reprises, votre Reva
lenla. En ce moment encore je tTaile un enfant qui ne devra la vie
qu'à elle.
Celte, 2 Janvier 1890. La Revalenla m'a empêché de mourir, de
puis dix-huit mois c'est la seule chose que je puisse digérer.
II. Gaffixo. t.uré-doyen de Cet te, Hérault.
Cure N° 98,611 Depuis des années, je souffrais de manque
d'appétit, mauvaise digestion, affections du cœur, des reins, de la
vessie, irritation nerveuse et mélancolie tous ces maux on)
disparu sous l'heureuse influence de votre divine Revalenla.
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Dehouck, pharmacien.
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HOUBLONS.
Poperinghev 26 Février- Les affaires sont
de plus en plus restreintes vu les stocks mini
mes en campagûe", et Us diminuent de jour en
jour. On ne trouve plus gitère en houblons de la
dernière récolte, "que des Poperinghe-village de
qualité peu paa^hande car la brasserie les
refuse. Les petites parties qui restent en meil
leure qualité se cotent de 120 125 fr. les 5$
kil.; les mêmeAgenres en Poperinghe-ville tou
jours de 130- a" 150 fr. faibles. On ne parle p^s
encore ici, comme sûr d'autres marchés de notre
f^ys, de spéculations sur la récolte de 1891.
Alost,28 Février. Par continuation la bras-
seriô persiste pourvoir ses besoins au jour lé
jour. Aucun achat digne d'être enregistré n'a été
fait' cette -semaine eh houblon de la dernière
récolté, ejtcependant les prix sont pour le mo-
.merrt en. grande faveur des acheteurs, avantage
inattendû, et lequel ne saurait durer en présence
du stock 'réduit en houblon de 1890 d'Alost,
jSvalué environ j,69Q balles borûie et mauvaise,
qttaliîé réunies!
■Mb
•-- W.
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luche, Phtisie, etc.
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Paris, 1889
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les plus jeunes que par les personnes de l'âge
le plus avancé elles ne renferment.aucune
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ment immédiatement la toux, les oppressions
do tous genres et sont ineslimables pour
toutes les personnes qui se fatiguent la voix.
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en fortifiant les bronches et les guéqssent
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