Ecce iterum Henricus. Trio Zarca. État-Civil d'Ypres, Marché d'Ypres. SANTÉ A TOUS REVALENTA ARABICA 4 C'est du dernier comique. Naturellement les instituteurs plient et décla rent 4 la satisfaction de leurs maîtres qui ne plai santent pas, que notre récit était fantaisiste et inexact. Très bien, mais avec tout cela, on ne sait pas en quoi notre relation était inexacte En quoi est-elle fantaisiste Parce qu'elle n'en est pas la photographie Pourquoi, MM. les échevins, s'ils tiennent tant ce qu'on sache au juste ce Su'ils ont dit, n'ont-ils pas demandé que leur arangue fût reproduite Au lieu de cela, MM. les instituteurs ajoutent qu'ils n'assument pas la responsabilité de ce qui peut 'paraître dans Vun ou Vautre journal de la localité. Est-ce qu'ils avaient aussi été accusés de faire du journalisme Ah ça, est-ce qu'on va charger ces pauvres instituteurs de tous les péchés d'Israël Il est vrai que déjà l'organe de nos maîtres avaitinsinué quelque chose de semblable nous croyons même qu'il a parlé de la participation de certain instituteur certain journal fla mand. Vraiment c'est trop, et pour une inquisition qui commence, c'est y aller un peu vivement de sa petite mouchardise. Cependant en cette ma tière, un peu de prudence ne mésierait pas. Il ne suffit pas de crier au chien enragé, il faut d'a bord voir s'il donne des signes quelconques qui sont du ressort de M. Pasteur. Que devient la sécurité dans ces conditions N'est-il pas trop vrai que sous le régime des sus pects, les soupçons, les plus légers soupçons, même les soupçons voulus, fabriqués de toutes pièces, se changent facilement en crimes M. Surmont a donné cette semaine un dîner officiel, l'occasion de sa nomination de Bourg mestre. Nous pensions en parler avec tout l'in térêt que cela mérite, mais une chose nous arrête, c'est, qu'à peine en aurons-nous dit quel ques mots, on trouvera que nos éloges ne sont pas assez ronflants et on est capable de faire écrire, an Journal d'Yprespar les convives, que notre fêcit est fantaisisté. et inexact. Nous ne voulons pas exposer ces braves-gens ce désa grément et déranger leur digestion le mieux sera de nous taire. Sans cela, ça y était. Il .est revenu, oui revenu en personne, et de Heyst-sur-mer (ne pas mettre amer), pour assis ter au banquet du Lord-Maire. Ainsi l'a voulu une haute personnalité religieuse. A défaut de primeurs par cette saison où il ne pousse que des rhumatismes, on a servi, aux con vives, étonnés, Henritje en belle-vue, orné, char gé de toutes seB reliques. A mauvais jeu, il a fait.... mauvaise mine. Son nez pincé s'est encore allongé. On a eu cependant pour lui des attentions par ticulières 'et délicates. C'est ainsi que sa serviette, au lieu de présen ter comme les autres .un bonnet d'évêque, était majestueusement pliée en queue de paon. C'est ainsi encore qu'on lui a servi, ..lai 4ioul et en tapinois, un potage la bisque,, normande une culotte de bœuf une oreille de veau la financière une farce la daube des marrons^ grillés sous la cendre; ûh petit-four; un soufflé une brioche quelques prunes et une pomme "iê-""âîWc d'un verre"cte"■Lacrima- Christi. Il paraît que la digestion n'a pas^é bonne, et^ que notre convive malgré lui est déjà re-' tourné Heyst, demander la mer du calme et des consolations. On peut se passer de lui pour le quart d'heure. Son ami Bertrand veille au gouvernail. RECTIFICATION. Dans notre compte-rendu de la dernière Beance- du conseil communal il s'est glissé une légère erreur. Nous avons dit Au lr Avril il a été procédé la vérification de la caisse commuiîale. Les écritures et 1% comptabilité fyitété mises en '&rdre Il faut lire Les écrittfifes et la comptabilité ont été trouvées en ordrtf. Mardi, 21 Avril prochain, 8 1/2 heures du soir, au café du Sultan, Orand'Place, en cette ville, Soirée originale donnée par le trio Zarca composé de la Sénora Carmen, cantadora espa gnole, los Figaros guitariste, mandoliniste et danseur de tambour de basque. Le programme de cette soirée e3t affiché an dit café. -, La sérénade, donnée Dimanche dernier par la Philharmonie son Président, M. Van Merris, l'occasion de sa fête patronale, avait attiré un nombreux public désireux d'entendre la phalan ge artistique de cette belle société. Parmi les morceaux exécutés nous avons re marqué surtout la Festival, ouverture de Leutner. Cette œuvre, écrite dans le style des anciennes ouvertures, se distingue surtout par la grâce et la mélodie de ses motifs. Elle devait être interprêtée avec élégance et sentiment et son exécution a réuni ces deux qualités. Aussi le public a-t-il très goûté cette charmante par tition qui, contrairement la musique que l'on fait de nos jours, et que les initiés au grand art apprécient seuls, a été comprise par tous les au diteurs. Nous devons aussi une mention notre jeune flûtiste, M. C. Huys, qui a fort bien joué la polka les Feuilles de Roses. Il fait honneur sou professeur, M. Van Elslande, notre excellent chef d'orchestre. L'après-midi la musique de la Philharmonie a fait une promenade en ville et s'est ensuite rendue chez son confrère, M. Beheyt, où se don nait un tir la cible chinoise, pour lequel M. Van Merris avait offert 150 tr. de prix Cette fête avait attiré beaucoup de monde et la chaus sée de Reninghelst était noire de promeneurs. Le soir, un souper suivi d'une partie de boule, offerts également par leur Président, réunissait dans leur local les membres exécutants de la Société et les anciens pompiers. La plus franche gaieté et le plus grand entrain présidaient cette fête toute fraternelle et il était tard quand, leur grand regret, les invités de M. Van Merris ont vu s£ terminer cette journée si joyeusement passée. Personnes ayant loisirs peuvent se créer reve nus en vendant article grande consommation. Ecrire A. V. Z. bureau du journal. nm rîCRSJ&Mriïr au Château de Cau- lifi U EL Ifl A 91 U t tel eu chez Madame Groulois, près Lille, (Nord) France, une fêtnme de chambj^ qui n'ait pas moins de trente ans. Réponse par écrit. orue pure, meme par ut ceux-ci qil'il est est parvenu cune l'huile-ie" c, les enfanta/Et bon de les administrer, çar c'est les fortifier dès leur jeune âge et les mettre l'abri Me ces ma ladies de poitrine dont tant de personnes sont affligées sous le climat humide des du Nora. j Il est de notoriété que l'huile de foie d^rnorue est le meilleur préservatif en même temps que .le meilleur .ouratif dans les maladies, de bron ches en général/ plu? Hautes sommités mé dicales ont préconisée de touLtemoe!.-' J- Rien d'éWmant donc qûe les tPerces Safva.tWj* soient si appréciées par les personnes sôûfîïânf de maTàdièsue poitrine ou même par celles qui sont simplement affaiblies. Madame Berthe, la célèbre somnambule qui a déjà donné tant de preuves de son étonnante lucidité consulte pour Maladie, sous la direction d'un médecin. Elle consulte également pour Re cherches, Renseignements1 Institut Magnétique 23, rue Saint-Merri, Paris, et par correspon dance. r Mauvaise économie. L'économie est certes une belle chos©, mais vous avouerez que cette qualité ne doit pas s'exercer sur l^s. médica ments. Evidemment, tout enrhumé, esF libre de se soigner avec des capsules de goudron bon marché, au risque de ne pas éprouver de soula gement. Mais nous ne comprenons pas que, pour économiser quelques sous, on préfère un produit renfermant du goudron plus ou moins pur aux véritables capsules Guyot blanches. Exiger sur chaque flacon la signature Guyot en trois cou leurs 6t l'adresse, 19, rue Jacob, Paris. La seule raison du succès des Perles Salvator réside dans la facilité avec laquelle l'inventeur prendre sans répulsion au- du 10 au 17 Avril 1891. Naissances: Sexe masculin, 4, idem, féminin, 4. Mariages Decroix Alphonse, concierge, et Lapere Stéphanie, ser vante. Macoq Henri, sculpteur, et Roffiaen Eveline, dentellière. De Decker Pierre, journalier, et Vermor- gen Rosalie, journalière. Vermeersch Henri, journalier, et Lefieuw Virginie, journalière. Décès Soetaert Charles, scieur de long, 66 ans, veuf de Virgi nie Vasseur, rue de Menin. Veys Gustave, pharmacien, 53 ans, époux de Marie Vanhouiryve, rue de Lille. Vanneste Edouard, négociant, 68 ans, époux de Sophie Dewitte, rue Longue de Thourout. Delobel Emile, joaillier, 49 ans époux de Caroline Derho, Marché aux Vieux habits. Indevuvst Félicie, journalière, 24 ans, épouse de Cbades Vanacker, rue de Menin. Dejaeghere Jean, sans profession, 84 ans, veuf de Isabelle Bailleul, rue de Dixmude. Decroix Charles, journalier, 44 ans, époux de Florence Samvn, rue de Menin. Houlboofd Nathalie, journalière, 42 ans, épouse de Edouard Vantom- me, rue de Menin Gesquiere Marie, jardinière, 34 ans, célibataire, rue des Veaux. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe Masc. 1, id. fém. 0. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 18 Avril 1891. NATURE des GRAINS ET DENRÉES quantités vendues kilogrammes 1DR1X MOYEN! POIDS M0" par DE cent l'hecto- kilogr. jure. Froment. Seigle Avoine Pois Féveroles Pommes de terre Beurre OEufs le quarteron 4,700 1,800 500 000 900 5,000 13,620 26 25 21 75 19 00 0 00 23 50 8 00 275 00 1 60 80 73 44 80 rendue sans médecins et sans purges et sans frais par la délicieuse farine de santé Du Barry de Londres, dite Quarante ans d'un invariable succès, en guérissant les constipa, lions dyspepsies,mauvaises digestions, gastrites, gastralgies,glaire s. vent»,- aigreurs, acidités, palpitations, pituites, nausées, renvois, vomissements, eoustipation, diarrhée, djssenlerie, coliquesfv phtisie, toux, asthme, étouffements. élourdissements, oppressions, r congestions, névrose, insomnies, diabète, faiblesse, épuisement, anémie, chlorose, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronche*".vessie, foie, reins, intestins, membrane, - muqueuse, cerveau et sang.Û'ést en outre l'aliment par excellence qui seul réussit éviter tous 1er accidents de l'enfance. 100,000 v cures annuelles, y compris celles de Sa Majesté l'Empereur Nicolas de Sa Sainteté feu le Pape Pie IX, de Mme la duchesse de Cast- f lestuart, le duc de Pluskow, Mme la marquise de Brébanl, lord Stuarl de Dccies, pair d'Angleterre, M. le docteur-professeur Routh etc etc. Expérience du Docteur Ravaud Witry-les-Reims, Marne, le 22 Octobre 1890. "j Je fais personnellement usage delà Rc va leurs «l la prescris mes malades, particulièrement dans les affections du tube digestif, eV daj^s tous les cas où il y a intérêt soutenir et ramasser Ici forcet. des malades: j'en ai toujours obtenu les meilleurs résultats. d'ravaud. Le Dr Elmslie écrit Votre Revalcnta xaut son pesant d'or. Elle est le meilleur aliment pour élever les etffanls, étant bien préféra- ble au lait et l'huile de foie de morutx. r Le Dr Vermeulen, d'Anvers, écrit, le"16 Octobre 1888-:'» j'ai prese - cri t avec le plus grand succès et plusieurs reprises, votre Reva- lenta. En ce moment encore je traite un enfant qui ne devra la vi- bu'à elle. t Cette, 2 Janvier 18901 l.yftevale'nla m'a empêché de munrir, de- -- puis dix-huit m lis j c'est la seule-chose que je puisse digérer.^- H. Gafpino. lucé^doyen de Cette, Hérault. Cure N" 98,014 Depuis {les aunées. je souffrais de manque 4 d'appétit, mauvaise diction, affections du cœur, des reins, de 1+ vessie, irritation néryeuse et oïélancolie tous ces maux onl^ disparu eptts l'hé i^o*^ influence de votre divine Revalent»,^- l ion PirrM4»vvitfstftuteui'1!j Eynanças (Haute-Vienne) At.j C.:.*e-immê la vitnJp &4I11 Ppll.1 PHI ifz nu.«<4 rr.j i Ail., 7 fr.; 2 J/Slil. ,"16 fr."# kil.Tafô fr 12 kil., ?0 fr. Les bistuiU de Revalenta en boîte *ii"4 et 7 fr, fe Oéealinta chocolatée 1/2 livre, fr. 2-25 l lçirt a fr. S livres, Ifr. V Envol contre bon de poste franco. BtépAt partout, chéries pharm.iejens et* -Zl\M) i M A I M, s 4 A fC«, limtted Agent général pour la "MMERMANS rue Rouppe, 4, fernxelles. épiçiers «r>-Du Belgique. M. De'pot M008RLEHE, Ch. Bostyn, boulanger YFRtô, Slâssio, successeur Libolle, pharmacien Dejiouck, pharmacien. A. Delhaize et C».

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Le Progrès (1841-1914) | 1891 | | pagina 3