Mi H Les personnes qui désirent souscrire y seront reçues tous les jours, jusqu'au 20 Juillet inclus, de 9 heures midi et de 2 5 heures de relevée. - -c- ■»^i> Le concours littéraire de 1890-91, ouvert par le Cercle littéraire et artistique Belge vient de couronner lauréats pour le premier prix (500 francs) Mademoiselle Marguerite Coppin, rési dant actuellement Ypres, auteur d'une nou velle intitulée Solesmes Sceul ayme et Mon sieur Garnir, Bruxelles, auteur du roman Les Charneux. Cette distinction fait le plus grand honneur notre jeune concitoyenne, MUe Marguerite Cop pin, et nous lui adressons nos pluB sincères féli citations. Conseil communal d Ypres. Séance publique du 11 Juillet 1891, 5 h. du soir. 1. Communications. 2. Fête communale programme. 3. Fabrique d'église S1 Nicolas compte 1890. 4. Garde civique compte 1890. 5. Approbation procès-verbal de vente d'her bages. 6. Pompiers: revision du règlement organique. Nouveiles diverses. Un moyen infaillible sinon de se préserver de leurs piqûres, au moins d'en calmer incontinent la douleur frottez légèrement l'endroit endolori avec une goutte d'essence de térébenthine. Une boutade antitéléphonique du Figaro On annonce que les orages qui se sont abat- tuB sur diverses régions ont occasionné une in terruption dans les communications entre cer tains réseaux téléphoniques. 11 n'y aura rien de changé Chacun sait que le téléphone est un appareil composé d'une plaque irresponsable, de deux cornets enragément muets et d'une carte-télé gramme qui Tes remplace avantageusement. Au cercle. Moi je préférerais épouser une petite fem me qu'une grande. Pourquoi cela Parce qu'entre deux maux, il faut choisir le moindre. Toto, qui enrhumé du cerveau, fait une chute sur le nez. Il revient en pleurant vers sa mère Maman J'ai tombé sur mon rhume - -i.t-y»3^g>joao9ai L'art de pincer sa femme. Une petite affaire assez originale a été appelée ces jours derniers la quatrième chambre du tribunal civil Paris, la chambre qui a le monopole des procès en divorce. Elle pourrait former un curieux chapitre au guide du parfait mari et, le cas échéant, ren seigner l'époux infortuné sur la conduite tenir dans les circonstances les plus pénibles de sa vie. Le demandeur, M... (appelons-le Rosotti puis qu'il est Corse), apprit un jour, étant Marseille pour affaires, que sa femme, qu'il avait laissée Bastia, se consolait de son absence avec un aéronaute des plus distingués, M. Cartosa. A quelque temps de là, M. Cartosa quittait Bastia et partait pour l'Amérique. M. Rosotti, en ayant été informé, résolut de combiner sa vendetta. Il imagina de femme et écrivit l'écriture de sa le nom de contrefaire son rival, sous l'épouse infidèle, une lettre des plus tendres, par laquelle il l'informait qu' elle avait quitté Bastia pour aller rejoindre son mari Marseille» et le priait de continuer adresser ses lettres une adresse qu' elle indiquait Notre aéronaute se laissa prendre au piège voilà le mari et l'amant en correspondance et O mon chéri, écrivait le mari M. Cartosa si tu savais comme je t'aime Ne me laisse pas sans nouvelles écris-moi vite tu sais si je languis loin de toi Et il signait celle qui t'adore pour la vie Char lotte M. Cartosa répondait u Petite femme adorée, moi aussi, je désire ardemment te revoir, te presser sur mon cœur, loin de ton vilain mari jaloux Nous avons passé ensemble de si douces heures. Inutile de dire que M. Rosotti, définitivement édifié, dès la réception de ce premier poulet, garda la lettre, dont il se promit de faire bon usage. Elle ne lui suffit pas, cependant le surlende main, il reprit sa plume de Tolède et écrivit son rival. Charlotte prétendait que son mari devait avoir des soupçons. Tu devrais me renvoyer mes lettres, écri vait-elle. Pense donc ce que je deviendrais, si tu les égarais M. Cartosa renvoya les lettres. scrupuleux, les accepta. 11 lui envoya alors par mandat-poste, la somme de dix francs, dont il remercia sa Charlotte chérie. Cette fois, armé des lettres de sa propre fem me, des épitres de M. Cartosa et du reçu des dix francs qu'il avait confiés la poste, M. Rosotti qui, depuis lors, s'est fixé Pans, intente sa femme une action en divorce. La Librairie du Magnétisme, 23, rue Saint-Merri, Paris, édite les ouvrages traitant du magnétis me, de l'hypnotisme, du spiritisme et des scien ces occultes. Elle publie le Journal du Magné tisme, organe bi-mensuel de la Société Magnétique de France, dont l'abonnement, 10 francs par an, est remboursé en livres. lue plus agréable g Le meilleur Purgatif Le Monde financier, paraissant deux fois par se maine, donne gratuitement ses abonnés des renseignements sur toutes les valeurs belges et étrangères. Abonnement 5 fr. par an. Direction, 26, Bou levard Bisschoffsheim, Bruxelles. On se charge au bureau du journal de l'impression des cartes de visites et de tous genres de travaux d'impression tant en lithographie qu'en typographie. HOUBLONS. Au reste, part un léger retard, la plante con tinue se développer dans les conditions régu lières. Le marché reste calme, le 1890 qualité mar chande est payé fr. 85 90 et le houblon de la prochaine récolté est traité terme, livraison du 1er Octobre au 31 Janvier 1892 au choix du ven deur, fr. 70. h||| bc S g .ISS «>-5 s s| oa <N on Q^cShnoof-iœ OS M® Mfl'S a a rs S o£b H ■3 2^,3 530 <£^1, .S Q o S S tS ^iSg.S.ySj.S* ,r g a fl es 1 S. a wH £=q S h s a te g s •a e OT3 o S O <D J2 rd a S CJ Q3 w s 3 c3' a S H P3 Ph 53 «4 53 m -W,® bC s B A c® a PSo 0 -K P3 m K ci s h Pg §53 SPh S H »-< 1-1 2 "S s Eq S 2? s'*? fcc pi g 9=5 f oc V «gl1 5*9 S uj —3 O S S co v ty fa fa fa S cd S n t fa i—i m co ^2 a Og S ga fa a -s S âQ lit agf fi O î- ■s- 'V O o xi .g*3 n t c/3 r a? c/3 <x> w CD t- t. ca «u tn oj co o) -C.Ss-a cs c y* w S ë.s s xr <fa> o w O zs o S 9'_ x: o - «r «y 19 S C3 r 3 03 fa S i£ 'fc- "t— «fS co S «s r 2 çj-ùq S-g 0ÎC- «g. v w G) «a =- H r ^3 LU O s 13 s J. 50 tsj eC s çs3. 3 gai'0 Pis aûi" S3-3* a- 5 O fO 2 s a J<JÎ ORDRE DU JOUR Les cousins. La saison des grandes chaleurs nous ramène celle des cousins, ces terribles en nemis de notre sommeil. Combien vous aviez raison, nous écrit-on tous les jours, de recommander vos lecteurs les Perles Salvator. J'en ai commencé l'emploi quotidien il y a quinze jours peine, et grâce ce précieux produit, je sens ma poitrine se forti fier et un sang nouveau s'infuser dans mes vei nes. suivie. Pour ne pas se tromper et ne pas être trompé, il faut se rappeler que la seule maison de vêtements qui réunit les trois avantages Bon marché bonne qualité et bonne con fection se trouve au coin des rues Ste-Catherine et de la Vierge Noire. Elle porte l'enseigne A la Vierge Noire, fa brique nationale de vêtements poiir hommes et enfants. Les mots A la Vierge Noire, se détachent en lettre d'or flamboyantes au sommet du bâtiment qu'on voit par toutes les rues qui mènent au pavillon des halles centrales. M. ME1EB, dentiste de Gourtrai, a l'honneur d'infor mer l'honorable public et sa nombreuse clientèle que son cabinet dentaire est transféré chez Mra* veuve Vas Kemmel, Grand'Place, S.Ypres, où il sera consulter tous les Same dis, comme d'habitude, de 9 heures du matin, 2 heures de relevée. Pour vos factures, entêtes de lettres, etc., n'employez que du Papier Royal Lyon en vente au bureau du Journal et chez les imprimeurs-papetiers. Constipation mauvaise digestion guérison par la Pilule antiglaireuse Wallhéry. l-2o partout. Socquet Ypres et Monteyne Poperinghe. Si tout le monde n'a pas le loisir ou l'occasion de venir se faire habiller Bruxelles, il n'y a pas grand mal puisque le Dôme des Halles y a porté remède en établis sant un service qui, sans augmentation de prix, offre aux habitants du pays entier les avantages réservés autrefois par les grands magasins leurs clients de la capitale Un de ses coupeurs, spécialement préposé cette mis sion, se rend en provinceà la demande des clients pour leur soumettre les échantillons des dernières nouveautés et leur prendre mesure. Il suffit pour être ainsi, sans déplacement, habillé la dernière mode de Bruxelles, d'envoyer une carte postale au Dôme des Halles, rue au Marché-aux-poulets, 2 Bru xelles. Alost, 4 Juillet. Le violent orage de Mer credi dernier, accompagné de gros grêlons a at teint et endommagé sur son passage les planta tions houblonnières d'une dizaine de communes. On en citait un plus grand nombre dans lesquel les une visite minutieuse permet d'affirmer que l'exagération était une erreur pour ces derniè res. h—1 s-w j* O •- iî v—r OS -t-=> 00 C3 r—t £3 c3 'G i-H g-£ HW 00 c3 r© JT3 A fl.® Sh g O r"1 ®p LU fa 55 CO Sm X CJS m t=> o* pl, w h 2 cfi en c/3 o> <v o te o en te •U a Ou CS «a- ce S s OQ Cku ez C^JTS bj on ce 3 —o~i e« w DO 'z, o w"-3 «o S G ce u ce CL c Ci a ti CO w a a c a a

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Le Progrès (1841-1914) | 1891 | | pagina 3