Un Anniversaire. La nouvelle musique. La surdité guérie chez soi. État-Civil d'Ypres, Marché dYpres. SANTÉ A TOUS REVALENTA ARABICA exaspérer tout est là. Les tours de force comme le dernier ne réussissent pas toujours. Ensuite la conversation roula sur le dernier in cendie sur la Grand'Place. Breinfoort, dit l'un d'eux, était là dès 6 heures du matin. Ce diable de Breinfoort, être là 6 heures du matin Puis suivirent quelques petites méchancetés, comme savent en distiller ces bons chrétiens, étrangères la politique et que pour cette raison nous ne rapporterons pas. Tout ceci, authentique, très authentique. Hé bien, Monsieur H. Iweins, n'est-ce pas dommage que vous ne fussiez pas là Comme vous auriez pu protester. S'entendre dire que sans les moyens employés, les catholiques n'y seraient jamais arrivés Et les curés doivent-ils. en savoir quelque chose? Et est-ce rassurant, quand ils ont peur de l'avenir Quelle confessionquel aveu Et la Dame, toujours impassible, dans son coin Nous ne pouvons mieux faire, pour montrer l'effronterie de nos adversaires, que de mettre sous les yeux de nos lecteurs, l'article suivant extrait du Journal dYpres du 21 Octobre dernier. C'est un tissu d'ignobles mensonges. Il a été probablement puisé dans le centre privilégié du Zaalhof. Il attribue au parti libéral toutes les infamies dont celui-ci a été victime par les cha ritables chefs du parti soi-disant catholique que l'ivresse de leur infect triomphe aveugle. Ils sont parvenus par l'astuce, par leurs inti midations, par leurs promesses, par leur argent entraîner grand nombre d'électeurs,mais ceux- ci commencent comprendre et se vengeront aux premières élections. Le voici textuellement: C'était Lundi le premier anniversaire du 19 Octobre, de cette sombre journée où le parti catholique, organisé comme jamais il ne l'avait été jusque là, prêt la lutte et sûr de la victoire, vit toute son ardeur et toute sa force se briser contre l'indigne déloyauté de ses adversaires. Tout le peuple de notre ville, la classe indi gente surtout, fatigué d'une longue oppression, écœuré des scandaleux abus de pouvoir, révolté de la proscription dont les catholiques étaient constamment victimes, avait manifesté haute ment sa volonté et acclamé ses libérateurs. Le parti, de son côté, avait mis en avant des candidats d'une autre valeur que les nullités sé- niles, muettes ou bouffonnes qui siégaient alors sur les fauteuils de l'hôtel de ville. Et voilà qu'une ruse de guerre inavouable s'oppose l'exécution de la volonté populaire. Sombre journée car jamais nous n'oublie rons la morne stupeur qui accueillit dans nos rangs le résultat d'un scrutin frelaté. Sombre journée car le parti libéral lui- même, stupéfait desa victoire inespérée, honteux de sa déloyauté, ne se sentit pas le courage de fêterisvA "ifiomphe. Heureuse journée, cependant, car cette fla grante contradiction des faits fut pour nous un trait de lumière elle nous révéla le secret de plus d'une défaite et n<5us permit d'attendre désor mais la victoire de notre torcept non plus du bon plaisir de nos adversaires. Aussi ces derniers n'ont-ils en gardé de c| brer l'anniversaire de leur victoire. Quant nous, si le souvenir defla constert tion et du deuil public qui régnèrent le 19 bre nous ont empêché de fêter cette date, nôi n'avons pas oublié cependant que c'est de là qui date en réalité notre avènement au pouvoir, e« que la victoire du 1er Février, d? même qué.tou-1 tes celles qui suivrontauront eu leur origine'dans la défaite du 19 Octobre..» Après cela, le père Loriquet njest plus que de la S1 Jean, pour les historiens catholiques.futurs. L'organisation de la nouvelle musique marche merveille. En dehors des musiciens qui ont quitté les Pompiers, il s'en présente une foule d'autres. Il y a pour cette musique un entrain de diable. Tout le monde veut en être. Il faudra cependant une limite cet enrôlement, car les Blauwe Koussen en seraient trop malheureux, et il faut en avoir pitié, c'est déjà assez malheureux pour eux que d'en être réduits ne pas être écoutés quand ils jouent. que par concours de la ville, sera ouverte les Dimanche 15, midi,-.et Lun^i 16 Novembre 1891. Tous les amateurs d'horticulture et horticul teurs sont invités y participer. La croix de Ie classe est décernée M. Ver- hille, instituteur communal en chef, pensionné, Neuve-Eglise. La croix de Ie classe est décernée M. Gar- nier, commissaire de police Poperinghe, en récompense des services qu'il a rendus dans le cours d'une carrière de plus de trente-cinq an nées. Combien vous aviez raison, nous écrit-on tous les jours, de recommander vos lecteurs les Perles Salvator. J'en ai commencé l'emploi quotidien il y a quinze jours peine, et grâce ce précieux produit, je sens ma poitrine se for tifier et un sang nouveau s'infuser dans mes veines. La Librairie du Magnétisme, 23, rue Saint-Merri, Paris, édite les ouvrages traitant du magnétis me, de l'hypnotisme, du spiritisme et des scien ces occultes. Elle publie le Journal du Magné tisme, organe bi-mensuel de la Société Magnétique de France, dont l'abonnement, 10 francs par an, est remboursé en livres. Bôhm, Désiré, 77 ans, artiste peintre, célibatai re, rue Longue du Marais. Christiaen, Léo nard, 69 ans, ouvrier, époux d'Anne Waeles, rue S1 Christophe. Van Severen, Rosalie, 83 ans, sans profession épouse d'Augustin Vandewalle, rue Carton. Vanleene, Julien, 51 ans, journa lier célibataire, rue de Menin. Debruyne, Reine, 69 ans, sans profession, épouse de Cleen- werck, Henri, rue de Dixmude. Casier, Frédéric, 62 ans, militaire pensionné, époux de Marie Dehollander, S4 Jacques extra. HOUBLONS. Londres, 20 Octobre Il règne une assez bonne demande pour les meilleures sortes de houblons anglais et comme les approvisionne ments sont devenus plus rares les prix sont très fermes par contre les qualités moyennes sont d'une vente plus difficile, excepté des cours réduits Les marchés du Continent sont actifs, avec prix en tendance la hausse, les approvi sionnements se composant en majeure partie de bonnes qualités. I Le second. C'est égal, ils ont bien réussi mais c'était chanceux. Mais ils ont osé et ç'a été leur bonheur. Audacesfortuna juvat. Morale. Méfiez-vous des Dames qui ne "com prennent pas le flamand. =~f-= Décorations civiques. ~rs^r~ -szzr<r~3- M. MEIER, dentiste de Courtrai, a l'honneur d'infor mer l'honorable public et sa nombreuse clientèle que son cabinet dentaire est transféré chez Mme veuve Van Kemmel, Grand'Place, 5, Ypres, où il sera consulter tous les Same dis, comme d'habitude, de 9 heures du matin, 2 heures de relevée. Un opuscule en Français décrivant la manière de segué- rir chez soi-même et sans secours étrangers de la surdité et de bruits d'oreilles. Le Rev. D. H. W Harlock, du Pres bytère, Milton-under-Wychwood, Angleterre, écrit: Fai tes tout au monde pour employer ce moyen dont la valeur est de premier ordre, et qui m'a rendu le service le plus signalé. Franco 80 centimes. De Vere et C'% Edi teurs, 22, Warnick Lane, Londres, E.C. Pour vos factures, entêtes de lettres, etc., n'employez que du Papier Royal Lyon en vente au" bureau du Journal et chez les imprimeurs-papetiers. Si tout le monde n'a pas le loisir l'occasion de Venir se faire habiller a Bruxelles, il nV pas grand mal puisque le Dôme jes Halles y a porté r'Yièdeen établis sant augmentation. prix, offre aux les ay^ÉfikauiMvés autrefois par du 16 au 23 Octobre 1891. Naissances: Sexe masculin, 3, idem, féminin, 8. Décès Enfants au-dessous de 7 ans Sexe Masc, 1, id. féra. 1. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 24 Octobre 1891. NATURE des GRAINS ET DENRÉES quantités pr|x moyen vendues PAR cent kilogrammes, kilogr. poids m0" de l'hecto litre. Froment Seigle Avoine Pois Féveroles Pommes de terre Beurre OEufs le quarteron 70,700 4,600 1,400 000 200 7,000 13,119 23 78 21 73 13 30 00 00 22 80 8 80 318 00 2 73 80 73 44 80 .ft- rendue sans médecinselsans purges et sans frais par la délicieuse farine de santé Du Barry de l.ondres. dite Quarante ans d'un invariable succès,en guérissant les constipa tions dyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies,glaire s, vents, aigreurs, acidités, palpitations, pituites, nausées, renvois, vomissements, constipation, diarrhée, dyssenlerie, coliques, phtisie, toux, asthme, étouffements, étoiirdissements, oppressions, congestions, névrose, insomnies, diabète, faiblesse, épuisement, anémie, chlorose, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins, intestins, membrane- muqueuse, cerveau et sang. C'est en outre l'aliment par excellence qui seul réussit évit-r tous le* accidents de l'enfance. 100.000 cures annuelles, y compris celles de Sa Majesté l'Empereur Nicolas' de Sa Sainteté feu le Pape Pie IX. de Mme la duchesse de Casl- lestuart, le duc de Pluskow, Mme la marquise de Brébanl, lord iSTuart de Decies, pair d'Angleterre, M. le docteur-professeur Roulh etc etc. Expérience du Docteur Ravaud Witry-les-Reims, Marne, le 22 Octobre 1890. Je fais personnellement usage de la Revalenla et la prescris mes malades, particulièrement dans les affections du tube digestif, el dans tous les cas où il y a intérêt soutenir et ramasser les forces des malades; j'en ai toujours obtenu les meilleurs résultats. Dr RAVACD. Le Dr Elmslie écrit Votre Revalenta vaut son pesant d'or. Elle est le meilleur aliment pour élever les enfants, étant bien préféra ble au lait el l'huile de foie de morue. Cette, 2 Janvier, 1890. La Revalenta m'a empêché de mourir, de puis dix-huit mois c'est la seule chose que je puisse digérer. - H. Gsrrixo. Curé-doyen de Celte, Hérault. Le Dr Vermeulea^'Ajavers, -écrit, le 16 Octobre I88S ^'asqvres- crjlavec.!<j plus gr.uvttiuccès ei plusieurs reprises, votrfe Reva lenta. En oe moment eçfrore.je 'traite un eufaut qui ne devr^Ja vie qu'à èlW. *r Cure N« 98,614 Depuis des aniiéess, je souffrais de manque d'appétit mauvaise digestion, affections'du cœur, des reins, de la vessie, iritalion nerveuse et mélancolie tous ces maux ont disparu sous l'heureuse influence de votre divine Revalenla. ion PsrcLRT, instituteur, Eynanças (Haute-Vienne) Quatre fois nourrissante cunme la viande, sans échauffer elle économise encore 50 fois son prix en médecines et répare les constitutions les plus épuisées par l'âge, le travail ou les excès .quelconques. En boîtes. 14, Iti 1fr. 2-25; 1/2 kil., 4 fr.; 1 ki].,~7fr.; 2 1^2 kil.16 fr. 6 kil.. 36 fr.; 12 kil., 70 fr. Les biscuitde Revalenta en boite de 4 et 7 fr. La Revalenta chocolatée lf2 livre, fr. 2-25 1 livre 4 fr. 2 livres, 7 fr. Envoi contre bon de poste franco. Dépôt partout, chez les pharmaciens et épiciers Du BiR«r el Cik, limited Agent général pour la BeIgiqP*._ M.d Emile TIMMERMANS rue Rouppe, 4, Bruxelles. Dépôt àpORSLEDE. Ch. Bostyn. boulanger. YPRES, Slassin, successeur Libotte, pharmacien. Dehouck, pharmacie^-:- A. Delhaize et C°. v

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Le Progrès (1841-1914) | 1891 | | pagina 3