«LA LUMIÈRE» Le Secours. Contre les accidents rëpabatehb REPARATRICE MIMEOGRAPHE CHEVEUX GRIS Maison Goethals, FLAIWAND-GOETHALS, A VENDRE coiffeur Nécrologie. Cours public. Chronique judiciaire. Conseil communal d'Ypres. PLUS SUPERBE OCCASION. station Entrée triste, qui impressionne singu- ièrement les gens qui viennent voir notre ville. Mardi ont eu lieu les funérailles de M. Alfred Decoene. Le graud nombre de personnes pré sentes témoignaient de la sympatnie dont jouis sait le défunt. Nous sommes heureux de pouvoir constater Sue la jeunesse a tenu faire Alfred Decoene es funérailles dignes du brave camarade et ami qu'elle perdait. MM. Edmond Vandaele et Paul Lesaffre, por- ;eurs d'une splendide couronne, précédaient le cercueil. Le corps était porté par MM. Maurice Bagein, Jérôme Boyaert, Florent Mailliard, Alfred Van daele, Maurice Weckesser et François Hoflack. MM.Emile Bartier, Auguste Brunfaut,Eugène Creton et Firmin Nouwynck tenaient les coins du poêle. Au cimetière,deux discours ont été prononcés, le premier par M. Eugène Creton, au nom du Rapid-Club, le second par M. Ernest Nolf, au nom des nombreux amis du défunt et des anciens élèves du Collège communal. Voici le discours de M. Eug. Creton Messieurs, Au bord de cette tombe, avant que la terre ne recouvre la dépouille mortelle de celui qui fut notre ami, permettez-moi de venir pronon cer quelques mots d'adieu au nom du Rapid-Club Yprois. i) Au matin de la vie, au moment où l'exis tence s'ouvrait pour lui heureuse et riante ALFRED DECOENE s'est vu emporté par la mort impitoyable. n D'un cœur excellent, d'un caractère la fois conciliant et ferme, Alfred était doué de toutes les qualités si rares qui font l'ami précieux, le camarade estimabléentre tous, le sociétaire ac compli. Le destin a de ces amères dérisions en dési gnant la mort les meilleurs. Rien, non rien n'a pu arrêter les progrès de la fatale maladie qui le minait ni les tendres soins, ni le sublime dévouement d'une mère. Sa mort frappe douloureusement en plein cœur une famille qui l'aimait de toute la force de son âme, sans parler de sa malheureuse mère dont il sera jamais regretté et pleuré cette mort frappe aussi une société où tous nous l'a vons connu toujours le mot pour rire aux lèvres, et où sa gaîté si vive et spirituelle le faisait re chercher de nous tous. Pauvre ami adieu adieu Jette un regard sur cette terre, tu nous verras réunis ici dans une pensée commune, celle d'honorer ta mémoi re, de perpétuer ton souvenir Adieu Alfred, au nom de tes camarades adieu Nous apprenons avec plaisir que M. 0. Mélon, docteur en philosophie et lettres (langues roma nes) et professeur au Collège de l'Union com mencera Vendredi 7 Février7 heuresune série de 6 ieçons sur les Origines de la littérature fran çaise. Nous ne pouvons qu'approuver l'initiative qu'ont prise MM. les professeurs du Collège. Les basses et perfides attaques du Journal tfYprcs ne peuvent leur enlever le courage et l'énergie qu ils mettent répandre chez les Yprois l'enseignement supérieur. Aussi M. Mélon peut-il s'attendre un public nombreux qui té moignera par sa présence que les Yprois esti ment les eflorts de MM. les professeurs du Collège de l'Union. Aflaires électorales. On se rappelle la sortie de ces bandes de stok- slagers cléricaux, une quinzaine de jours avant nos élections communales, et les violentes ba garres provoquées par ces doux agneaux. Ces affaires ont eu leur épilogue, Mardi der nier, devant le Tribunal correctionnel de céans. La plus importante des causes appelées était celle dans laquelle étaient impliqués les sieurs Jules Baus, Victor Allaer, Arthur Louwyck, tous trois prévenus d'avoir donné des coups ayant occasionné une incapacité de travail Alphonse Caestecker et Alphonse Luyten, pré venu d'avoir donné des coups Charles Wolters. Les trois premiers prévenus étaient défendus par Mtre Begerem et le dernier par Mtre Nolf. Le Tribunal correctionnel a condamné le prin cipal meneur le sieur Jules Baus, lOO francs d'amende ou. un mois d'emprisonnement 5 le second prévenu a été acquitté Arthur Lou wyck s'est vu octroyer 50 francs d'amende ou 15 jours d'emprisonnement et Alphonse Luyten en a été quitte par 26 lianes d'amende ou 8 jours de prison. Mtre Nolf s'était constitué partie civile solidai rement contre les trois premiers prévenus. Le Tribunal a accordé 50 francs de dommages- intérêts. 2. Finances communales compte 1894. 3. Id. Budget 1896, dépôt. 4. Bureau de bienfaisance compte 1894 et budget 1896. 5. Hospices civils: compte 1894 et budget 1896. 6. Bureau de bienfaisance prêt hypothécaire. Le crime de Warnôton. Nous avons dit qu'un individu accusé par la rumeur publique d'être l'auteur du crime com mis au hameau de S1. Yvon avait été arrêté. Cet individu, le sieur Florimond Casteele, qui n'a pu fournir l'emploi de son temps dans la nuit du crime a été longuement interrogé par le parquet d'Ypres. On annonce qu'il aurait fait des aveux com plets. V oleixr tué. On écrit de Poperinghe La nuit dernière un voleur s'était introduit chez Pierre Caura. Celui-ci, en entendant du bruit, s'arma d'un fusil, et fit feu sur le voleur, qui était en train d'enlever les lapins Le malfaiteur avait reçu le coup dans la tête et tomba inanimé sur le sol. Il avait cessé de vivre. C'est un nommé Léon G..., un ancien repris de justice. AVIS IMPORTANT. Société Anofivmc Belge de l'Incadescencc. Si vous voulez voir CLASK prenez le bec BjA ËLËJ.HSiÈBtE Economie de gaz 50 p. Garantie lumière blanche sans reflet verdâtre Pouvoir éclairant 65 bougies et connu pour le plus solide et le meilleur. Le bec complet avec placement: 12 francs. Manchon de rechange pris au dépôt fr. 2-00 domicile, fr. 2-50. Fournit également tous appareils gaz. 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Le Progrès (1841-1914) | 1896 | | pagina 3