«LA LUMIÈRE» Attention Menin. La réalisation d'un beau rêve. AVIS IMPORTAIT. Vaudersiuyft»DeTOji, RÉEÉNÉRATEUR FAVORI des CHEVEUX- Mr et Mme Maurice MEIER, État-civil d Ypres, Marché dYpres. REVALENTA ARABICA que des trams de plaisir partant de Paris, Bru xelles, Anvers, Liège et Ostende-Gand, Beront organisés chaque mois. Pour renseignements et emplacements, écrire la direction, 44, avenue Saint-Pierre, Mons, (Belgique) Une agression. Nombreuses personnes blessées. Cette agression s'est produite sur le territoire de Menin. M. Léon Catry, le plus grièvement atteint, porte deux larges blessures au côté gauche de la tête ces blessures ont dû être causées par un marteau. Deux arrestations ont été opérées. Explosion. La vitrine et des vitres du premier étage ont volé en éclats. Les bijoux exposés ont été projetés au milieu du pavé. Le trottoir a été fort endommagé les dégâts, qui ne sont pas encore évalués, sont très importants. Aucun accident de personne n'est déplorer. Les nombreux lecteurs qui sont atteints de mauvaises digestions, de crampes, de vomisse ments ou de constipation seront heureux d'ap prendre qu'ils peuvent se guérir facilement et peu de frais, en prenant la Pilule du Docteur \Valt.hLéry9 pendant quelques jours. Société Anonyme Belge d'Inckndescence. Si vous voulez voir CL4ÏIS prenez le bec LA LUMiÈSiE Economie de gaz 50 p. Garantie lumière blanche sans reflet verdâtre Pouvoir éclairant 65 bougies et connu pour le plus solide et le Ilicillcaif. Le bec completavec placement: 12 Manchon de rechange pris au dépôt fr. 2-00 domicile, fr. ^-50. Fournit également tous appareils gaz. Seul dépositaire pour Ypres et environs BUE CARTON. Fr. 2-50 le flacon, Ypres, chez Ray mond Ommeslagh, parfr, 55, Grand'- Place. chirurgiens-dentistes-spécialistes, 2, B*UC «le Mouscroii, Coartrai, ont l'honneur d'informer le public, qu'un nouveau dentiste, courant de maison en maison pour le nettoyage des dents et l'arrangement des pièces dentaires, vient de se fixer non loin de leur demeure mal gré la similitude du nom et de la profes sion, ils n'ont aucun rapport commercial avec cette personne. Gomme précédemment, Mr et >ime M vu- kick M El EH sont consulter journelle ment chez eux,2,rue<lcifloiiscroii, maison porte cochère (près de la prison) Ils n'ont même ni fils, ni frère, ni pa rent qui représente leur maison. Ils prient donc les personnes qui ont l'intention de les consulter de s'informer s'ils sont bien chez Mr et Mme M au kick iMEIEB, 2, rue de Mouscron et de faire attention aux réponses qui leur sont faites. AI. Meier a l'honneur d'informer l'hono rable public qu'à la demande de sa nom breuse clientèle, il sera consulter trois jours de la semaine, les Lundi, Jeudi et Samedi, de 9 4 I j'2 heures de relevée, chez \lme Veuve Van keminel, Grand'- Place, n° 5, Tpres. Soenen, Félicie, 34aus,sans profession, épouse de Tyberghein, Alphonse, rue S' Jacques. Gorrissen, Norbert, 13 ans, étudiant, rue de Stuers. Gilliam8, Henri, 26 ans, employé de commerce, époux de Fertinel, Marie, rue St- Jacques. Cnockaert, Aimée, 26 ans, servante, célibataire, rue de Menin. Verhelst, Pierre, 69 ans. jardinier, veuf de Focquenoy, Lucie, Brielen extra-mnros. Messiaen, Cathénne, 75 ans, dentellière, épouse de Dosomer, Louis, Plaine d'Amour. Cavel, Virginie, 74 ans, dentellière, célibataire, rue des Chiens Pie- ters, Léonie, 31 ans, colporteuse, épouse de De- bruyne, Ferdinand, S1 Pierre extra muros. Desmidt, Eugénie, 55 ans, marchande de pois sons, veuve de Fiers, Léopold, rue Longue du Marais. Découverte en 1846. 50 ans (un Demi-Siècle d'invariables succès. Arrondissement d'Ypres Mardi. Hier soir, plusieurs personnes de Linselles qui s'en retournaient chez elles ont été assaillies par une bande de malfaiteurs et ont reçu des blessures qui ne sont pas sans in spirer d'inquiétude. Jeudi. Le compteur gaz installé chez Mme Amel, bijoutière, rue de Lille, Menin, a fait explosion Mercredi soir. M. Emile Gautier, l'éminentchroniqueur scientifique, vient de consacrer dans le Petit Journal toute une causerie l'acétylène. Notre confrère pronostique lui aussi une véritable révolution dans l'éclairage. Grâce au carbure de cal cium, le rêve si longtemps caressé du gaz chez soi se trouve réalisé. M. Gautier parle encore au futur, lui, et voici pour quoi Le carbure de calcium, écrit-il, a une telle affinité pour l'eau que la plus petite goutte le met en toliu et qu'il suf fit même qu'il y ail un tant soit peu d'humidité dans l'air autour de lui pour qu'il se décompose spontanément et dé gage flots son acétylène. D'où ia nécessité de discipliner préalablement, d'une façon précise et sûre, ce dégagement tumultueux dont les capricieuses variations pourraient engendrer des pressions excessives et dangereuses. D'où la nécessité de régler au tomatiquement le débit de l'eau, la décomposition du sel et le débit du gaz, ce qui ne se peut faire qu'au moyen d'une lampe spéciale, conçue et construite tout exprès, et dans laquelle il ne devra pas entrer une parcelle de cuivre, l'acétylène ayant le tort de former avec ce métal un composé explosit. Tant que ce brûleur idéal n'aura pas été réalisé, l'em ploi de l'acétylène sera fatalement restreint, en dépit de ses mirifiques avantages. Mais il sera réalisé demain. Non pas demain, le problème est résolu déjà, mais point par le brûleur comme le suppose M. Gautier. Dans cette voie il n'y a pas de solution quel que soit le brûleur, en effet, et si perfectionné qu'on l'imagine, il ne supprimera pas le danger d'avoir du carbure chez soi, ce terrible sel que la plus petite qoutle tfeau met en folie Un temps humide suffit pour produire des dégage ments de nature empester tout un appartement, le rendre inhabitable. Le seul moyen de faire disparaître le danger, c'é tait de supprimer le carbure, et c'est ce qu'a fait M. Raoul Pietet. Grâce aux procédés du célèbre profes seur, on pourra désormais se procurer l'acétylène pur liquide. Ce n'est plus le gaz en paquets, en paquets toujours prêts dégager des flots de gaz toxiques, capables de former un composé xplosif en s'associant au cuivre, c est la lumière en bouteille, n'offrant pas plus de dan ger que l'eau de la ville, la lumière brillante comme le soleil que l'on pourra avoir toute heure en aussi grande quantité que l'on voudra en tournant un simple robinet. Et comme on comprend M. Gautier s'écriant devant la réalisation de ce que l'on considérait comme un beau rêve lointain Décidément, le Progrès n'est pas comme la Justice: il n'est pas boiteux Aussi un groupe de capitalistes n'a-t-ii pas hésité fonder uue société anonyme pour l'exploitation des bre vets du célèbre chimiste, sur les indi ations duquel on va créer des usines dans les principales villes du conti nent. Et c'est pour réaliser ce projet, appelé un grand succès, c-oyons-nous, que la société met en vente neuf mille titres de 100 francs qui, outre l'intérêt de 5 p. dT, ont droit 20 p. c. dans les bénéfices éventuels. Pour rendre aux cheveux gris ou décolorés leur couleur et beauté primitives ainsi que leur vitalité et brillant, chez coureur, et r»rfu- Cours. Dépôt a6 Rue Etienne Marcel. Paris. du 20 au 27 Mars 1896. Naissances Sexe masculin, 4, idem, féminin, 5. Décès Enfants au-dessous de 7 ans Sexe raasc. 0, Id. fém. 2. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 28 Mars 1896. NATURE des GRAINS ET DENRÉES quantités vendues kilogrammes prix moyen par cent kilogr. poids meu de l'hecto litre. Froment 1,300 16 75 80 Seigle 000 00 00 73 Avoine 300 14 00 44 Pois 800 16 50 80 1,600 16 00 80 Pommes de terre 4,500 4 50 Beurre 13,603 240 00 OEufs, le quarteron 1 57 ÇA NTÉ A TflllÇ ren<*ue sans roédeciue. sans purge et sans OR 11 IL R I UUO frais par la délicieuse farine de santé la DD 8ARRY, DE LONDRES. Guérissant les constipations habituelles les plus rebelles, dyspepsies, gastrites, gastralgies, phthisie, dyssenterie. glaires, flatus, ai- greurs, acidités, pituites, nausces. renvois, vomissements même en grossesses), diarrhée, coliques, toux, asthme, catarrhe, influeu- za, grippe, oppression, langueurs, congestion, névralgie, laryn gite, névrose, faiblesse, épuisement, anémie, chlorose, rhumatis me, goutte, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins, intestins, muqueuse, et sang. Elle est également le meilleur aliment pour élever les enfants dès leur naissance, étant bien préférable au lait et l'huile de foie de morue. En usage dans un grand nombre d'hôpitaux. Vitry-les-Reims (Marne le22 Octobre 1890. Je fais personnellement usage de la Revalenta, et la prescris mes malades, particulièrement dans les affections du tube digestif, et dans tous les cas où il y a intérêt soutenir et ranimer les forces des malades j'en ai toujours obtenu les meilleurs résultats. Il' L. RAVAUD. M. le docteur Elmslie écrit Votre Revalenta vaut son pesant d'or Tours, le 2 Juillet 1891 Messieurs, J'ai soixante-treize ans passés, et ne pouvant plus rien digérer, par suite d'une dyspepsie déjà ancienne, je me suis mise, en Février dernier, au régime de la Revalenta moins d'un mois après je mangeais de tout comme tout le monde, et rien ne me faisait mal. Mlls Gaugklix, chez les Religieuses Augustines, 16, rue Bernard-Palissy. Mont-Dore, le 8 Octobre 1895. Ma fille, âgée de dix-huit ans. était atteinte d'une dyspepsie fla- tulente et d'anémie, son estomac ne pouvant digérer même les ali ments les plus légers. En désespoir de cause je l'ai m se au régime delà Revalenta c'est la seule nourriture qu'elle a prise pendant six mois aujourd'hui elle est rétablie, et je suis heureux de vous témoigner ma reconnaissance. - Pouzet-Uont, Propriétaire. La Revalenta m'a empêché de mourir depuis 18 mois c'est la seule chose que je puis digérer. H. Gafpino, Curé doyen de Cette 2 Janvier 1890. Quatre fois plus nourrissante que la viande sans jamais échauffer, elle économise encore 50 fois son prix en médecine, et rénare les constitutions les plus épuisées par l'âge, le travail ou les excès quelconque^. Eu boîtes de 2 fr. 50, 4 fr. 50, 7 fr. 75, 17 fr. 50 6 kilos, 40 fr. Soit environ 10. cent, le repas. 100,000 cures an nuelles. Envoi franco contre mandat-poste. En vente partout chez les bons pbarmacieus et épiciers. Do Barst, et C* (Limited), Bru xelles, chez TIMMERMANS, 2, rue Roup >e. Ypres STASSIN, successeur Libotte, pharm. DEHOUCK. pharm. s A. OELHA1ZE et C".

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Le Progrès (1841-1914) | 1896 | | pagina 3