«LA LUMIÈRE» MELROSE Attention CHEVEUX. chez M. VANDERSTUYFT, État-civil <T Ypres, RÉGÉNÉRATEUR Mr et Mme Maurice MEIER, de i%3oixscK*on, Coairtrai, ont l'honneur d'informer le public, qu'un nouveau dentiste, courant de maison en maison pour le nettoyage des dents et l'arrangement des pièces dentaires, vient de se fixer non loin de leur demeure mal gré la similitude du nom et de la profes- Marché d'Ypres. REVALENTA ARABICA sion, ils n'ont aucun rapport commercial avec cette personne. Comme précédemment, Mr et Mme Mau rice ME1EIY sont consulter journelle ment chez eux,2,ruc<leIMoii§cron, maison porte cochère (près de la prison). Ils n'ont même ni fils, ni frère, ni pa rent qui représente leur maison. Ils prient donc les personnes qui ont l'intention de les consulter de s'informei s'ils sont bien chez Mr et Mme Maurice MEIER, 2, rue de Mouscron et de faire attention aux réponses qui leur sont faites. M. Meier a l'honneur d'informer l'hono rable public qu'à la demande de sa nom breuse clientèle, il sera consulter trois jours de la semaine, les Lundi, Jeudi et Samedi, de 9 4 lj'2 heures de relevée, chez Mrae Veuve Van Kemmel, Grand'- Place, n° 5, Ypres. Les becs Incandescence de Sont en vente YPRES RUE CARTON, N# 33. II^1 ET yillT guérison certaine des Cli UllC ItUI I f cors aux pieds les plus anciens et les plus douloureux par le BAUME du Dr Noël 1 fr. Pharmacies Socquet, Libotte et Donck. favori des Pour rendre aux cheveux gris ou décolorés leur couleur et beauté ^primitives ainsi que leur vitalité et brillant. Fr. 2-50 le flacon, Ypres, chez Raymond Omme- slagh, parfr, 55, Grand'Place. HOUBLONS. Alost, 25 Mai. La tendance de notre mar ché est devenue plus ferme pour le houblon d'A- lost 1895, et dans le courant de la semaine der nière, il s'est présenté plusieurs acheteurs 29 fr. par 50 kil. pour des lots de 25 balles en mar ques de contrat mais ces ordres n'ont pu être exécutés, défaut de vendeurs ces conditions. Les détenteurs se tiennent très réservés, et pour le moment il n'est guère possible de contracter l'un ou l'autre achat en marchandise disponible ou livraison courant de ce mois, un prix moin dre que 80 fr. Le houblon d'Alost de la prochaine récolte, li vraison Octobre-Novembre, est coté 45 46 fr., avec vendeurs retirés. Le temps, qui reste aride avec des nuits froi des, est préjudiciable la croissance des jeunes plantes de houblon, qui présentent en outre beau coup d'inégalité, la suite des dégâts occasion nés dans un grand nombre de plantations parles pucerons. Il en résulte que l'aspect actuel de nos houblonnières ne donne généralement pas gran de satisfaction, mais cette situation peut toute fois se modifier avec un changement favorable dans la température. Ouest de Mons 340. Les actions zincs sont plus calmes Austro belge en baisse 1280. Cuivres de Lerida montent 76,50. En actions glaceries grande fermeté Courcelles monte 675. Roux (priv.) 255. St-Roch Auvelais 940. En actions industrielles diverses marché animé, Acétylène pur (Pictet) très voulues priv 126,25 ordinai- resà252,50. Aluminium très recherchées 512,50. Acétylène (Ragot) très fermes cap, en hausse 107,50,parts fondateurs 108. Eclairage du Cen tre (ordre) 360. Gaz de Rio (priv.) 595. Métal lurgique 149. West Austraiiau recherchées 37,50. Wagons Lits en hausse 537,50. Les habitants de la paisible commune de Bor- re, près d'Hazebrouck (Flandre française), ont été mis en émoi, Jeudi, par un horrible drame. Entre Hazebrouck et Borre, 200 mètres envi ron de la ligne du chemin de fer d'Hazebrouck Lille, se trouve une ferme habitée par M. H. Deswarte, cultivateur, sa femme, Cathérine Ri vez, âgée de 62 ans, et la sœur de cette dernière, Sophie Rivez, âgée de 65 ans Depuis quelques jours, la femme Deswarte donnait des signes d'aliénation mentale, mais pa raissait calme. Jeudi matin, M. Deswarte tra vaillait dans un champ près de la ligne du che min de fer. Au bout d'un certain temps, étonné de n'avoir vu ni sa femme, ni sa belle-sœur, il regagna son habitation. Au moment où il allait entrer, sa femme sor tit, l'air hébété, les yeux hagards. M. Deswarte lui demanda où était sa sœur. On juge de son émotion lorsque sa femme lui répondit Ma sœur, je l'ai assassinée Le malheureux fermier se précipita dans la maison. Un horrible spectacle s'offrit ses yeux: sur le plancher, M110 Sophie Rivez était étendue au milieu d'une mare de sang la tête était pres que détachée du tronc. Pendant que le fermier, stupéfait la vue de cette scène affreuse, restait comme cloué sur le sol, la femme ne cessait de répéter J'ai assas siné ma sœur J'ai assassiné ma sœur Oq ne put lui arracher d'autres paroles. Les gendarmes d'Hazebrouck se sont transportés sur les lieux Jeudi après midi L'instrument du crime, un rasoir ensanglanté, a été saisi. On écrit de Luxembourg Deux jeunes tilles, les nommées Henriette S..., 17 ans, et Marie V..., 16 ans, de Speicher, ouvriè res la fabrique d'Ehrang, avaient quitté leur besogne le 22 Mai, vers sept heures du soir. Henriette S... était rentrée immédiatement chez ses parents. Ella avait ôté ses habits de tra vail, puis avait pris deux seaux pour aller cher cher de l'eau dans la Moselle. Quelque temps après, la mère ne voyant pas revenir son enfant, se mit la chercher dans les environs, pendant que d'autres étaient, allés Speicher, la demeure de la fille S... La gendarmerie immédiatement prévenue, lit faire des recherches dans le fleuve. Vers onze heures du soir, on en retira les deux cadavres entrelacés. Ces malheureuses qui sont mortes de commun accord n'ont rien laissé transpirer de leur des sein. On se perd en conjectures sur les raisons qui ont pu les déterminer causer pareil deuil leurs familles. On recommande beaucoup aux personnes fai bles qui souffrent de vertiges, de maux de tête, de palpitations, de névralgies de prendre la Pi lule du Doctenr Hapliaël. C'est le seul remède capable de les guérir en peu de jours. Pharmacies Socquet, Libotte et Donck. chirurgiens-dentistes-spëcialistes, rtIC Decrock Emile, journalier et Lahaye Emma, dentellière. Duflou Vaière, maçon et De Co- ninck Félicie, ménagère. Petteloot Amand, chauffeur et Humez Philomène, couturière. Denutte Auguste, ébéniste et Bouschaert Eudo- xie, dentellière. Dehaerne Julien, couvreur de tuiles et Jacques Marie,couturière. Michiel Adolphe, tailleur et Ruffelet Céline, couturière. Laconte Georges, plafonneur et Ûethoor Ma rie, couturière. Wolters Charles, tisserand et Knockaert Emma, dentellière. Missinne Fir- min, journalier et Ingels Marie, dentellière. D'haene Camille, menuisier et Bondawe Hélène, repasseuse. Taut Marie, 48 ans, sans profession, épouse de Lahaye, Théophile, rue longue de Thourout. De vos Pélagie, 75 ans, sans profession, épouse de Vanacker, Léonard, rue de Thourout. Van- crayelinghe Cathérine, 78 ans, sans profession, veuve deVergraoht, Amand, rue longue de Thou rout. Lievens, Virginie, 69 ans,sans profession, veuve de Boyaert, François, rue de Menin. Découverte en 1846. 50 ans (un Demi-Siècle d'invariables succès. Arrondissement d'Ypres (Société anonyme 12, Place Rouppe, Bruxelles) Le plus beau diadème de la nature est une opnlente chevelure. Chei 1m Coiffeurs et Parfumeurs. Dépôt: 28 Bue Etienne Marcel, Puis. -ir-'ijjaaUJjrjOD, II. Affaire mystérieuse. du 22 au 29 Mai 1896. Naissances Sexe masculin, 9, idem, féminin, S. Mariages Décès Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masc. 0, Id. fém. 2. ÉTAT indiquant les quantités el le prix moyen des grains, fourrages el autres produits agricoles, vendus le 30 Mai 1896. NATURE DES GRAINS ET DENRÉES QUANTITÉS VENDUES KILOGRAMMES PRIX MOYEN par CENT KILOGR. POIDS Mcu DE l'hecto litre. Froment. 800 17 00 80 000 00 00 73 000 00 00 44 000 00 00 80 Féveroles 1,300 14 00 80 Pommes de terre 3,000 4 50 Beurre 21,676 216 00 OEufs, le quarteron 1 60 AiUTr TftlIO r^nduc sans médecine, sans purge el sans oflll I t A I UUo frais par la délicieuse farine de santé la DU BARRY, DE LoNDBES. Guérissant les constipations habituelles les plus rebelles, dyspepsies, gastrites, gastralgies, phthisie, dyssenterie, glaires, flatus, ai greurs, acidités, pituites, nausées, renvois, vomissements (même en grossesses), diarrhée, coliques, toux, asthme, catarrhe, influen- za, grippe, oppression, langueurs, congestion, névralgie, laryn gite, névrose, faiblesse, épuisement, anémie, chlorose, rhumatis me. goutte, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins, inlesùns, muqueuse, et saug. Elle est également le mcill.ur alime it pour élever les enfants dès leur naissance, étant bien préférable au lait et a J'huile de foie de morue. En usage dans un grand nombre d'hôpitaux. Vitry-les-Reims (Marne le 22 Octobre 1890. Je fais personnellement usage de la Revalenta, et la prescris mes malades, particulièrement dans les affections du tube digestif, et dans tous les cas où il y a intérêt soutenir et ranimer les forces des malades {j'en ai toujours obtenu les meilleurs résultats. DrL. RAVAUD. M. le docteur Elmslie écrit Votre Revalenta vaut son pesant d'or Tours, le 2 Juillet 1891 Messieurs, J'ai soixante-treize ans passés, et ne pouvant plus rien digérer, par suite d'une dyspepsie déjà ancienne, je me suis mise, en Février dernier.au régime de la Revalenta moins d'un mois après je mangaais de tout comme tout le monde, et rien ne me faisait mal. Mlle Gaugelw, chez les Religieuses Augustines, 16, rue Bernard-Palissy. Mont-Dore, le 8 Octobre 1895. Ma fille, âgée de dix-huit ans, était atteinte d'une dyspepsie fla- tulenle et d'anémie, son estomac ne pouvant digérer même les ali ments les plus légers. En désespoir de cause je l'ai m se au régime delà Revalenta c'est la seule nourriture qu'elle a prise pendant six mois aujourd'hui elle est rétablie, et je suis heureux de vous témoigner ma reconnaissance. - Pouzet-IIont, Propriétaire. La Revalenta m'a empêché de mourir depuis 18 moi» c'e»t la seule chose que je puis digérer. h. Gaffi.no, Curé doyen de Cette 2 Janvier 1890. Quatre fois plus nourrissante que la viande sans jamais échauffer, elle économise encore 50 fois son prix en médecine, et répare les constitutions les plus épuisées par l'Age, le travail ou les excès quelconque». En boites de 2 fr. 50, 4 fr. 50, 7 fr. 75, 17 fr. 50 6 kilos, 40 fr. Soit environ 10 cent, le repas. 100,000 cures an nuelles. Envoi franco contre mandat-poste. Eu vente partout chez les bons phtrmtrieus et épiciers. Do Barkt. et C* (Limited), Bru xelles, chez TIMMERMANS, 2, rue Roupie. Ypres STASS1N. successeur Libotte, pharm. DEHOUCK, pharm. A, DELHAIZE el O,

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Le Progrès (1841-1914) | 1896 | | pagina 3