GRAND BAL
REVALENTAARABICA
P OPERIROH E.
baivqceHmTcÔurtrai
AVIS.
Bibliographie.
État-civil d Ypres,
Marché dYpres.
Société des Anciens Pompiers
DE LA VILLE D'YPRES.
LOCAL: Rue du Séminaire.
AVIS.
DIMANCHE 7 MARS 1897,
a 9 heures du soir,
Paré, Masqué et Travesti.
Cartes prises d'avance 1 CAVALIER 1.50 FR.
DAME:
1.00 FR.
n CAVALIER 2.50 FR.
Cartes prises au guichet q/m/ie 2 00 FR.
(Succursale d"Yprès).
A partir du l'Avril prochain les bureaux
de la Succursale de la Banque de Courtrai
Ypres, seront ouverts aux heures indiquées ci-
après.
Pour la caisse d'épargne et le service
d'agence de la Société Générale de Brux
elles tous les jours de 9 heures
midi
B. Pour les opérations de Banque et de
change de 9 heures midi et de S
heures 4 heuressauf le Samedi
où les bureaux seront ouverts de 9
heures 1 heure et de 3 heures 4 heu
res.
Les Dimanches et j oars de
Tête les bureaux seront fer
més.
La fête la IPlxilliarmoitié.
Les membres de la Société Philharmonique
ont passé, Dimanche dernier, quelques heures
bien agréables.
Le programme de la soirée était des plus allé
chants. Il se composait de deux opéras comiques:
Les noces de Jeannette de V. Massé et La Poupée de
Nuremberg d'Adam, et d'une opérette de Delibes.
Les oeuvres représentées n'étaient pas, il est
vrai, des primeurs et dataient de longtemps,
mais il est de la musique qui ne vieillit pas et
qu'on écoute toujours avec le même plaisir.
Parmi les artistes qui prêtaient leur concours
la soirée, nous en avons trouvé quelques-uns
que nous avions déjà plusieurs fois entendus et
dont nous avions pu apprécier le talent. Mme
Théry, toujours charmante, a rempli avec beau-
oup d'art et de sentiment le rôle de Jeannette
et celui de Bertha. Elle e3t toujours la chanteuse
élégante dont on doit admirer et la diction et les
vocalises.
Pour MM. Nossent et Fontaine, nous no pou
vons que confirmer les éloges que nous avons
déjà faits de leur beau talent. Ils possèdent un
haut degré l'art de plaire au public qui ne man-
que j amais de les applaudir avec enthousiasme.
MM. Désirant et Darvis étaient pour nous de
nouvelles connaissances.
Le premier est un artiste de grande valeur. Il
possède une voix de ténor superbe et phrase
ravir. De plus il a une qualité que bien peu de
chanteurs possèdent. Celle de se faire bien com
prendre. On ne perd aucun9 parole de son chant
et rien n'est plus agréable au public. C'est un
acteur accompli et dans ses deux rôles de Jean et
de Milher il a été réellement admirable. Nous
spérons que, souvent encore, nous aurons Je
laisir de l'entendre et de l'applaudir.
M. Darvis aussi a droit tous nos éloges. Il a
empli le rôle de Fortuné dans deux vieilles gardes
vec beaucoup de naturel et de talent.
Le pianiste accompagnateur M. Lauwens s'est
montré excellent musicien par la manière dont
il a rempli sa tâche bien modeste il est vrai mais
cependant très-difficile. Il a contribué pour une
large part la réussite de la soirée.
Avant de terminer, nous devons mentionner
l'exécution faite par quelques élèves de la Phil
harmonie MM. Questroy, Benoot, Yandenkerk-
hove et Degruyter. Ces jeunes gens ont donné
des preuves d'aptitude musicale, et il ne tient
qu'à eux de devenir de bons instrumentistes.
Cela dépendra de leur exactitude suivre les
excellentes leçons de leurs professeurs.
Sociélé Philharmonique de
Poperinghe.
Lundi 8 Mars 1897,
6 heures du soir,
représentation extraordinaire
donnée par la troupe du Théâtre flamand de
Gand sous la direction de M. H. Gevaert.
TWEE STRAATJONGENS,
groot beroemd drama in 7 tafereelen, naar het
fransch les deux gosses buitengewoon
succès aan de schouwburgen van Parijs,
Brussel, Antwerpen, Rotterdam, Amster
dam, enz.
N. B. Grand repos après le 3ma tableau.
Le Répertoire des Sociétés par actions
Indispensable tout capitaliste, rentier ou
homme d'épargne. Renferme environ 3,000 noti
ces consacrées aux valeurs cotées officiellement
ou non en Bourse de Bruxelles.
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Comme Beaucoup de personnes
souffrent de l'estomac, nous nous faisons un de
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Mariages
Segers, Théophile, tapissier et Devos, Sylvie,
ménagère. Ghesquiere, Arthur, journalier et
Duflou, Irma, journalière. - Laçante, Henri,
journalier et Lebou, Éveline, dentellière.
Yandenbulcke, Arthur, tailleur de pierres et
Tasseel, Céline, repasseuse. Beun, Camille,
tailleur et Odent, Marie, tailleuse. Yuylsteke,
Ernest, tailleur et Bollaert, Eulalie, tailleuse.
Vandevyver, Hector, journalier et Dezitter,
Eugénie, tailleuse. Verhaeghe, Henri, col
porteur et Duyck, Hélène, servante. Spille-
boudt, Herman, boucher et Delahaye, Alix, sans
profession.
Décès
Mahieu, Aloïs, 28 ans, sans profession, céli
bataire, rue Longue de Thourout. Pattin, Ca-
thérine, 79 ans, sans profession,célibataire, Nou
veau Marché au Bois. Vandermeoren, Uranie,
22 ans, journalière, épouse de Bau, Pierre,
rue de Menin. Vermeersch, Charles, 70 ans,
colporteur, veuf de Cooren, Cécile, rue de Me
nin. Guilini, Marie, 74 ans, sans profession,
veuve de Laforce, Jacques, rue de Menin.
Ferrand, Henri, 74 ans, sans profession, veuf
de Dehem, Julienne, rue St-Nicolas. Pareyn,
GeorgeB, 8 ans, écolier, vieux Marché au Bois.
Hoogen, Gustave, 53 ans, hôtelier, époux de
Schilders, Anne, rue de Lille. Sackenpré, Ser
vais, 56 ans, journalier, célibataire, rue de Me
nin.
50 ans d'invariable succès.
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OAIl ICA I UUo frais par la délicieuse farine de santé
DC BARRY, la
PRIX D'ENTRÉE.
du 26 Février au 5 Mars 1897.
Naissances Sexe masculin, 5, idem, féminin, 3.
Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masc. 2, Id. fém. 1.
ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains
fourrages et autres produits agricoles, vendus le
6 Mars 1897.
NATURE
DES
GRAINS ET DENRÉES
QUANTITÉS
VENDUES
KILOGRAMMES
PRIX MOYEN
par.
CENT
KIL0GR.
POIDS
DE
l'hecto
litre.
6,500
15 87
80
500
12 00
73
1,000
16 50
44
Pois
1,600
19 50
80
6,700
17 50
80
Pommes de terre
1,500
5 50
Beurre
11,836
270 00
OEufs, le quarteron
1 48
Elle guérit les constipations habituelles les plus rebelles, dyspepsies,
gastrites, gastralgies, phthisie, dysscuterie, glaires, flatus, ai
greurs, acidités, pituites, nausées, renvois, vomissements (même
eu grossesses), diarrhée, coliques, toux, asthme, catarrhe. iDfiuen-
za, grippe, oppression, langueurs, congestion, névralgie, laryn
gite, névrose, faiblesse, épuisement, anémie, chlorose, rhumatis
me, goutte, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voir, des
bronches, vessie, foie, reins, intestins, muqueuse et sang.
Pour les Convalescents, c'est la nourriture par excellenee, l'ali
ment indispensable pour réparer les forces épuisées par l'âge, le
travail ou les excès.
Elle est aussi le meilleur aliment pour élever les enfants dès
leur naissance, étant bien préférable au lait et a l'huile de foie de
morue. En usage dans un grand nombre d'hôpitaux.
Sxtrait d'une lettre de M. DÉDÉ. chimiste, Paris
Ce que m'étonne le plus, c'est sa bienfaisante influence
sur les organes digestifs, sa propriété de complète et prompte assi
milation au corps humain de bien nourrir, et développer l'appé
tit, et surtout d'a.sainir et rajeunir le sang. Ce qui surtout eu fait
un bienfait vraiment divin, c'est d'augmenter et bonifier le lait des
nourrices. Son adoption générale dans les hôpitaux serait bien
désirer. Toutes les drogues du monde combinées sont dislancées
parles propriétés curalives de la Seraient a.
Vitry-!es-Reims (Marne1, le 82 Octobre 1890.
Je fais personnellement usage de la Revalenta. et la prescris
mes malades, particulièrement dans les affections du tube digestif,
et dans tous les cas où il y a intérêt i soutenir et ranimer les
forces des malades jj'en ai toujours obtenu les meilleurs résultats.
D'L. RAVAUD.
M. le docteur Elmslie écrit: «Votre Revalenta vaut son pesant
d'or
Tours, le 2 Juillet 1891.
Messieurs, J'ai soixante-treize ans passés, et ne pouvant plus
rien digérer, par suite d'une dyspepsie déjà ancienne, je me suis
mise, en Février dernier, au régime delà Revalenta moins d'un
mois après je mangeais de tout comme tout le monde, et rien ne
me faisait mal. Mlle Gaugklin, chez les Religieuses Augustioes,
16, rue Bernard-Palissy.
La Revalenta m'a empêché de mourir depuis 18 mois j c'est la
seule chose que je puis digérer. H. Gaffino, Curé doyen de
Cette 2 Janvier 1890.
Quatre fois plus nourrissante que la viande sans jamais échauffer,
elle économise encore 50 fois son prix en médecine. En boites de
2 fr. 50, 4 fr. 50, 7 fr. 75, 17 fr. 50 6 kilos, 40 fr. Soit environ
10 cent, le repas. 100,000 cures annuelles. Aussi La Rivalknta
Chocolatée. Elle rend appétit, bonne digestion et sommeil rafraî
chissant aux personnes les plus agitées. En boites de 2 fr. 50, 4 fr.
50, et 7 fr. 75. Envoi franco contre mandat-poste. En vente
partout chez les bons pharmaciens et épiciers. De B«nnr et C«
(Limited), Londres j Bruxelles, chez E. TIMMERMANS, 2, rue
Rouppe.
Dépôt Ypres STASSIN, successeur Libotte, pharm.
DEHOUCK, pharm.
A. DELHAIZE et C<«.
