Attention a REVALENTAARABICA État-civil <TYpres, Marché d'Ypres. 8 a P Un tremblement de terre Sin-le-Noble (Nord). Amour paternel. Un cas d'abnégation paternelle vraiment extraordinaire a profondément impressionné la ville de Linarès (Espagne), il y a quelques jours. Le Petit Provençal raconte un incident drôle qui s'est produit dans une épicerie de la rue Va- cou, Marseille. Vers midi, un épicier, M. Flégier, voyait en trer dans son magasin deux Tunisiennes. A l'épi cier qui s'empressait d'aller au-devant d'elles, elles firent comprendre par signes qu'elles dési raient acheter des figues de belles figues qui figuraient dans la vitrine. Ne soupçonnant aucune traitrice, M. Flégier remit aux deux Tunisiennes ce qu'elles demandaient, et celles- ci, en retour, posèrent Bur le comptoir un beau louis. Au moment où l'épicier s'apprêtait prendre la pièce d'or et leur rendre la monnaie, ne voilà-t-il pas que l'une des Tunisiennes, ouvrant son corsage, mit nu un de ses seins, gonflés de lait, et s'en servit pour asperger le digne maga sinier. Aveuglé par cet arrosage imprévu qui était dirigé en pleine figure, M. Flégier, quoique couvert de lait, n'y vit que du bleu. II lâcha la pièce d'or que l'autre Tunisienne ramassa prestement, ainsi que les figues et un paquet de bougies, et quaud il eut repris ses sens et qu'il s'aperçut qu'il ne rêvait pas le ma gasin était vide les deux Tunisiennes s'étaient enfuies Furieux d'avoir été joué par deux étrangères, le brave homme se mit leur poursuite et les conduisit au commissariat de police. Mr et Mme Maurice M El EU, chirurgiens-dentistes-spceialistes, I*UC l'honneur d'informer le public, qu'un nouveau dentiste, courant de maison en maison pour le nettoyage des dents et l'arrangement des pièces dentaires, vient de se fixer non loin de leur demeure mal gré la similitude du nom et de la profes sion, ils n'ont aucun rapport commercial avec cette personne. Comme précédemment, Mr et iMme Mau Ils n'ont inêirie ni fih, ni frère, ni pa rent qui représente leur maison. Ils prient donc les personnes qui ont l'intention de les consulter de s'iuformes s'ils sont bien chez Mr et Mine Maurice iMLILK, 2, rue de Mouscron et de faire attention aux réponses qui leursonl faites. M. Meier a l'honneur d'informcrl'honn- rable public qu'à la demande de sa nom breuse clientèle, il sera consullcr Irois jours de la semaine, les Lundi, Jeudi et Samedi, de 9 4 1|2 heures de relevée, chez iM,ne Veuve Va h Kcifttnel, Grand'- Place, n" 5, Y pi es. Tant de personnes ont le sang vicié et souf frent de dartres, de boutons, do démangeaisons, etc., qu'il est bon de rappeler aux lecteurs que la Pilule purgative du Dr Waltliéry est le seul remède qui guérisse radicalement, en peu de jours, les vices de sang et les maladies de peau. Pharmacies Socquet,LibotteetDonck,à Ypres et Monteyne Poperinghe. Pour vos Articles Photographiques, Appareils, Objectifs, Papiers et tous accessoires adressez-vous chez Laboratoire la disposition des clients Appareils de toutes marques et de tous prix. On y trouve aussi grand choix Lunettes, Thermomètres pour le beurre, Fantaisie, Mer cerie, Quincaillerie fine. Room, Joseph, tailleur, et Poodts.Joséphine, couturière. Gisquiere, Clémence, 54 ans, vachère, épouse Kestelyn, Pierre, rue des Boudeurs. Vlae- minck, Jean, 32 ans, sans profession, veuf Bou- chaert, Marie, rue S' Jean. HOUBLONS Les crus d'Alost 1896 restent cotés de 20 21 fr. par 50 kilavec acheteurs réservés pour des lots de contrat d'une certaine importance, mais avec quelque demande pour la consommation de la brasserie qui persiste, toutefois, n'ache ter que de petits lots au fur et mesure de ses besoins. Le houblon de Poperinghe 1896 reste offert 18 et 20 fr par 50 kil. avec peu ou point d'ache teurs. Les transactions en houblon d'Alost de la pro chaine récolte n'ont eu aucune importance dans le courant de la semaine écoulée, et le prix de 43 fr., auquel il se présente quelques vendeurs en huit marques de contrat, livraison Octobre-No vembre, n'attire, pour le moment, sérieusement pas l'attention des acheteurs. La situation des plans en terre ne donne, jus qu'ici, lieu aucune plainte, mais les travaux préliminaires dans les houblonnières ne sont pas encore poussés activement. - 00 00 Cfi I3C LU ta ta w S CL >- I 2 S 25 S S £c- 3?= r o-— a o oj S §2! &12 g s .2.-3 60 6C 0 Sx X 0 0 h Mardi matin, vers huit heures et demie, un tremblement de terre, dû aux travaux souterrains de la Compagnie des mines d'Aniches. s'est fait ressentir dans toute la com mune de Sin-le-Noble. Des lézardes se sont produites aux murailles, des cheminées ont été renversées les habi tants, effrayés, se sont précipités au dehors de leurs mai sons qu'ils craignaient de voir s'écrouler sur eux. Il n'y a point eu d'accidents de personnes. D'après ce qu'on communique au journal madrilène El Impartial, un journalier, marié, avait accompagné le 11 courant, l'unique fils qui lui restait (l'aîné étant mort Cuba le mois dernier), l'hôtel-dc-ville où avait lieu le tirage au sort des recrues. Ayant appris que le jeune homme venait de tirer un mauvais numéro, le journalier monta au second étage de l'édifice et d'une lenêtre se précipita dans le vide. Le malheureux fut ramassé l'état de cadavre. Dans une de ses poches on trouva un billet ainsi conçu Ma mort est volontaire. Puisque la loi exempte du service militaire le fils unique d'une veuve, par ma mort je mets le mien dans le cas d'être exempté. I sein de la Tunisienne. i ■iut)eeeccot*w»— de lloiisci'on, Coudrai, ont rice M FIER sont consulter journelle ment chez, eux,®, ructlcMosiscron, maison porte cochère (près de la prison Fl. BARTIER, rue an Beurre, 19, Ypres. du 26 Mars au 2 Avril 1897. Naissances Sexe-masculin, Videra, féminin, S. Mariages Décès Enfants au-dessous de 7 ans Sexe roasc. 0, Id. fém. 0. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains fourrages et autres produits agricoles, vendus le 3 Avril 1897. NATURE QUANTITÉS PRIX MOYEN POIDS M"" VENDUES par DE DES CENT l'hecto GRAINSET DENREES KILOGRAMMES KIL0GR. litre. Froment 7,800 15 50 80 Seigle 100 12 00 73 400 16 50 44 Pois 000 00 00 80 Féveroles 000 00 00 80 Pommes de terre 1,700 5 50 Beurre 16,031 235 00 OEufs, le quarteron 1 45 50 ans d'invariable succès. ÇAMTÉ A TflllÇ rendue sans méiieciue, sans purge et sans oflrl I L fl I UUO frais par la délicieuse farine de santé 1IU DARRY, la Elle guérit les constipations habituelles les plus rebelles, dyspepsies, gastrites, gastralgies, phthisie, dyssenterie. glaires, Hatus, ai greurs, aridités, pituites, nausées, renvois, vomiss meuls (même en grossesses), diarrhée, coliques, tout, asthme, catarrhe, influen- za, grippe, oppression, langueurs, congestion, névralgie, laryn gite, névrose, faiblesse, épuisement, anémie, chlorose, rhumatis me, goutte, tous désordres de la poitiinc, gorge, haleine, voit, des bronches, vessie, foie, reins, intes:ins. muqueuse et sang. Pour les Convalescents, c'est la nourriture par etcellenec, l'ali ment indispensable pour réparer les forces épuisées par l'âge, le travail ou les excès. Elle est aussi le meilleur aliment pour élever les enfants dès leur naissance, étant bien préférable au lait et a l'huile de foie de morue. En usage dans un grand nombre d'hôpitaux. Extrait d'une lettre de M. DÉDÉ, chimiste, Paris Ce que m'étonne le plus, c'est sa bienfaisante influence sur les organes digestifs, sa propriété de complète et prompte assi milation au corps humaia de bien nourrir, et développer l'appét tit. et surtout d'a sainir et rajeunir le saQg. Ce qui surtout en fai- un bienfait vraiment divin, c'est d'augmenter et bonifier le lait des nourrices. Son adoption générale dans les hôpitaux serait bien désirer. Toutes les drogues du monde combinées sont distancées par les propriétés curatives de la Revalenta. Viiry-les-Reims (Marne le 22 Octobre 1800. Je fais personnellement usage de la Revalenta. et la prescris mes malades, particulièrement dans les affections du tube digestif, et dans tous les cas où il y a intérêt soulenir et ranimer les forces des malades (j'en ai toujours obteuu les meilleurs résultats IKL. RAVAUi). M. le docteur Elmslie écrit: Votre Revalenta vaut son pesant d'or Tours, le 2 Juillet 1891. Messieurs, J'ai soixante-treize ans passés, et ne pouvant plus rien digérer, par suite d'une dyspepsie déjà ancienne, je me suis mise, en février dernier, au régime de la Revalenta moins d'un mois après je mangeais de tout comme tout le monde, et rien ne me faisait mal. Mll« Gaogelih, chez les Religieuses Augustiues, 16, rue Bernard-Palissy. La Revalenta m'a empêché de mourir depuis 18 mois c'est la seule chose que je puis digérer. II. Gaffi.to, Curé doyen de Celle 2 Janvier 1890. Quatre fois plus nourrissante que la viande sans jamais échauffer, clic économise encore 50 fois son prix en médecine. En boites de 2 fr. 50, 4 fr. 50, 7 fr. 75, 17 fr. 50 6 kilos. 40 fr. Soit environ 10 cent, le repas. 100,000 cures annuelles. Aussi La Revalenta Chocolatée. Elle rend appétit, bonne digeslion et sommeil rafraî chissant aux personnes les plus agitées. Eu boites de 2 fr. 50, 4 fr. 50, et 7 fr. 75. Euvoi franco contre mandat-poste. Eu vente partout chez les bons pharmaciens et épiciers. Do Baret et C» (Limited), Londres Bruxelles, chez E. T1MMERMANS, 2, rue Roup;e. Dépôt Ypres STASSIN. successeur Libotte, pharm. DEHOUCK. pharm. A. DELHAIZE et C>«. Alost, 29 Mars. Malgré le calme avec deu cours fléchissants qui, depuis deux ou trois se maines est le caractère prédominant du com merce de houblon dans la plupart des pays étrangers, notre propre marché ne s'est pas sen siblement modifié pendant ces derniers temps. 3 CM a o s Qh —■H c« UJ 45 -N Q= a or X PI O M O UJ Ixl cA ZZ J (A <D i z cgm S tf) LU ce a «2 c ol 3 3 O -a c l. a i- 3 .O ■r> 3 O s.« 3 V G C Q* u _l2 o j: r *3 Q) W O >B"! Q - O c -a g-§ 3 :r _n rz 3 I C5 s a G C S" o S O.-*"® ---a e co"2 O >,c p s— Cfi O xrx O «o T3 Î3 2 x EL'E CL 3 3 O 3 t. S® a 'f> 3 m t C 3 S L.Jrfl g S 3 £-3-0 <2 o 3 O r tfl 3 rf) o w ZP TFi L. CZ Zm* C 3 o:»"® 3 o V 3 2 5 Ê.N3 -r.* O LO - - g 3 O s -r 3 o C îaf. rz C 3 d aa.=:-3<-3<! 3 m "3 tf) (A (A tA (fl O 3 3 O 3 l l l m r*-» 3 3 3 3 3 aaasa C/l 'A O CZ 3 ai - 3 H® «j pJH O 3 Si 3 "3 a~S. t/) O 3 a O 75 Cl.n2 O co S .g: S -o 8 c-e O t£ O 5 3 SJ l— O L. 3 O a. o g s T3 3 tn o S S- v t- O es 3 «o V- es saj s p*

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Le Progrès (1841-1914) | 1897 | | pagina 3