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Les réformes postales.
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otage chez un puissant chei Congolais réfractai-
re toute alliance avec l'Etat.
M. Lapiere emmène avec lui son yeune boy
qui, pendant son séjour de huit mois Ypres,
appris lire et écrire en français et qui con
naît les métiers de coifteur et de tailleur.
Par arrêté royal du 22 Novembre 1897, la dé-
coratiou civique est décernée aux personnes ci-
après désignées, en récompense des services
qu'elles ont rendus l'occasion d'une épidémie
de fièvre typhoïde qui a sévi dans la garnison
d'Ypres, savoir
La croix de 2e classe, M. LELI, G., officier
d'administration, directeur de l'hôpital militaire
de notre ville.
La médaille de Ie classe M. Reddé, C sol
dat de 2e classe, attaché l'hôpital militaire de
notre ville.
TOUT A CREDIT CREDIT A TOUS
Meubles de luxe et ordinaires
Choix considérable de confections
M. Vandenpeereboom aime faire désirer
ses réformes. Il prend soin de les annoncer
quelque temps lavance, de telle sorte qu'on
en parle alors. Puis, après un certain temps,
on annonce qu'un projet de loi va être déposé,
ce qui fait qu'on parle encore de l'objet en
question. Enfin, le miniaire dépose son projet,
et pour une troisième fois on parle de la chose.
C'est ce qui a lieu pour la réduction cinq
centimes de la taxe des lettres transporter
dans le rayon postal.
Au mois d'Août dernier, M. Vandenpeere
boom indiquait au Parlement cinq mesures
qu'il comptait introduire dans le service des
postes. Il avait bien soin de spécifier qu il y en
avait cinq. La première, c'est celle que nous
indiquons plus haut. Les quatre autres consis
tent dans l'augmentation du poids des lettres,
dans l'institution d'une seconde distribution
quotidienne dans cinq cents communes dans
la création de nouveaux bureaux et relais, et
enfin dans l'acquisition par l'Etat des bureaux
de postes établis dans des locaux loués.
On annonce que M Vandenpeereboom vient
de faire signer par le Roi un projet de loi réa
lisant la première de ces réformes.
Vous voyez le système du ministre. D'abord,
il annonce les réformes qu'il a dans la téte.
Puis, quelques mois après il fait annoncer que
le projet pour la première est la signature du
Roi. Enfin il dépose le projet ou fait paraître
l'arrêté.
Il recommencera le manège pour les quatre
autres réformes.
Et non seulement il annonce ainsi plusieurs
fois des réformes, mais il prend chaque point
en particulier et pour chacun d'eux il répète
la chose. Il a l'air ainsi d'être toujours occupe
réformer dans l'intérêt public, tandis que ce
que le public demandait aurait pu être ac
compli depuis longtemps et avec moins de
paroles.
Chez Lambin-Mathée,
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vous avez les yeux cernés Sûr, vous ne digérez
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teuse et l'estomac embarrassé, n'est-ce pas Eh
bien, prenez la Pilule et vous
retrouverez de 6uite appétit, vigueur, et santé
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Mr et Mme Maurice UEIEK,
chirurgiens-dentistes-spéoialistes, 2, rilC
(le Iflouscroii, Courlrai. ont
l'honneur d'informer le public, qu'un
nouveau dentiste, courant de maison en
maison pour le nettoyage des dents et
l'arrangement des pièces dentaires, vient
de se fixer non loin de leur demeure mai
gre la similitude du nom et de la profes
sion, ils n'ont aucun rapport commercial
avec cette personne.
lis n'ont même ni fils, ni frère, ni pa
rent qui représente leur maison.
Comme précédemment, Mr et Mmo Mau
rice M LIER sont consulter journelle
ment chez cux,2,rilC(lC tlOUSCrOll,
maison porte cochère (près de la prison
Ils prient donc les personnes qui ont
l'intention de les consulter de s'informer
s'ils sont bien chez .Ur et .\lme Maukiok
iMEIKU, 2, rue de Mouscron et de faire
attention aux réponses qui leur sont fuites.
\i. Meier a l'honneur d'inforrneri'hono-
ruble public qu'à la demande de sa nom
breuse clientèle, il sera consulter trois
jours de la semaine, les Lundi, Jeudi et
Samedi, de 9 l|2 heures de relevée,
chez Mme Veuve Van Ivemmel, (irand'-
Place, n" 5, Ypres.
On se charge au bureau du journal de l'impression
des cartes de visite et de tous genres de travaux
d'impression tant en lithographie qu'en typographie.
HOUBLONS.
C'est la hausse qui est l'ordre du jour sur
tous les marchés producteurs. L'Allemagne
donne le ton, l'Angleterre suit. Notre marché
entre aussi dans le mouvement, mais on sent que
c'est uniquement par sympathie, car les aifaires
manquent. La culture est épuisée, et la tendance
clôture ferme. Alost 1897 fr. 29 30.
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Il pourrait se borner déposer un projet sans
l'annoncer quelque temps d'avance par deux
fois. Mais alors on ne parlerait qu'une seule
fois du projet au lieu de trois, et M. Vanden
peereboom semble désireux qu'on en parle
beaucoup.
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Bibliothèque
DES LIVRES-ÉCHANGE.
Contre la modique somme de 1 fr. 2o cent, accom
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lecteurs la collection de la Petite Bevue Internatio
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Beuve, Paul Ilervieu, Sully Prudhomme, Ponsard,
Vacquerie, H. Lucas, M"" Battazzi, Séverine, M. Sum-
mer, M. Talmegr, Beibrach, Grandmougin. J. Bameau,
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