Répétition Générale La Compagnie Sin^f Choses et autres. LEÇONS PARTICULIÈRES Henriije el l'orthographe. Le tramway <ie Bailleul Ypres. Corps des Ponts et Cha ussées. Actes officiels. Administration des Fonts et Chaussées SOCIÉTÉ DES ANCIENS POMPIERS de la Ville d'Ypres. du Programme exécuter Blankenberghe. vient de remporter Ex position 4e Paris le Orand IPr-ix: la plus haute récompense. Ce brillant succès ne fait que confirmer la réputation universelle dont jouissent les machi nes coudre SINGER Le scandale de Messines. Un singulier minisire du travail. par tous les pêcheur? la ligne sou cieux de défendre leur amusement, le braconnage serait bientôt l'état de souvenir, nos rivières abonderaient de poissons ec le gouvernement aurait sous la main une ressource en plus. Pour finir nous nous permettrons de faire remarquer au Journal d'Y près que, lorsqu'il s'agit de notre sport, nous mettons de côté les opinions politiques. Nous sommes tout disposés agir com me nous le faisons, avec n'importe quel représentant, quelqu'opinion il appartienne, qui abuserait de notre bonne foi ou de notre confiance. Nous en connaissons malheureusement trop encore qui préfèrent imiter le Tartufe qui signe un vrai pêcheur la ligne non dupé. P. Dupé. Nul n'ignore que notre Mécène éclai ré, fuyant nos superbes fêtes commu nales, a transporté sa précieuse petite personne Heyst où la municipalité a cru devoir l'honorer en donnant le nom d'Henri Iweins une place publique, et immortaliser ainsi celui qui conduit la victoire les phalanges musicales et surtout lesphalanges politi ques. La maison du Sénateur provincial est donc hermétiquement close. Un papier collé sur la porte donne l'avis suivant Pour les commissions s'adresser vis-à- vis chez l'Hui&ier M. De Chièvre. Tout le monde peut aller le lire. Nous engageons même nos concitoyens passer rue de Menin. C'est le pendant du fameux POIL Ear lequel M. Iweins s'est rendu célè- re. Huissier s'écrit avec S s et non avec 1 s, M. le Sénateur. Nous avons demandé au Journal d'Y- pres le nom et le prénom de ce soi- disant M. Tutten qu'il accuse d'avoir excité un enfant jouer du tambour pendant le passage de la procession. Comme nous nous y attendions du reste, il se dérobe. Voulant se débar rasser de cette embarrassante question, il nous envoie, pour obtenir des expli cations, Vautorité locale qui est aussi bien renseignée que lui sur Vacte posé par M. Tutten. C'est un faux fuyant imaginé par l'organe clérical. C'est le Journal qui a lancé l'attaque, c'est au Journal ré pondre. Nous n'avons pas nous adres ser l'autorité locale, c'est le Journal d'Ypres seul qui est en cause et aussi longtemps qu'il ne nous aura pas don né le nom demandé nous lui dirons que c'est un vil calomniateur. Nous Bavons depuis toujours que la presse catholique est passée maîtresse dans l'art d'insulter et de vilipender des adversaires politiques, sous le cou vert de l'anonymat. Nous avons tou jours vu que, mise au pied du mur, elle imite Pouce-Pilate et se dérobe. C'est un procédé aussi canaille que malhonnête. Il est du devoir de la presse honnête de dévoiler ces infamies. C'est une tâche laquelle nous ne faillirons pas. Nous faisant l'écho de la rumeur publique, nous avons dit dans notre n° du 12 Août que l'autorité militaire avait fait enlever les poteaux placés l'Esplanade, par la ville, eu vue de la fête de gymnastique du 7 Août. 11 paraît, au dire du Journal d'Yprès que, pour avoir rapporté ce que tout le monde racontait, l'opinion publique nous taxe demensonge (sic et resic). (jhssons sur le mot mensonge et laissons-le pour compte la plume oxydée. Donc la rumeur publique s'est trom pée et noue aussi nous nous sommes trompés. Mais ie public, n'ignorant pas com bien sont tendus les rapports entre les autorités militaires locales et notre fameux bourgmestre, et voyant la pré cipitation avec laquelle on a apposé les affiches aprè3 que les poteaux avaient été enlevés, devait nécessairement sup poser que le génie militaire avait fait valoir ^es droits. L° public qui n'a pas, comme la rédaction du Journal d'Ypres, accès dans les bureaux de l'hôtel-de- ville pour fourrer le nez dans la cor respondance. ignorait que dès le 10' Juillet, le Collège des Bourgmestre et Echevins a demandé l'autorité mili taire l'autorisation de faire usage ie l'Esplanade et de la Plaine d'Amour le Mardi 7 Août et le Dimanche 12 Août, que ie 18 Juillet le Lieutenant-Général commandant la lre circonscription mi litaire accorda l'autorisation deman dée, et qu'une nouvelle autorisation fut déjà accordée eu vue de la fête du 9 Septembre l'Esplanade. Delà une erreur qui, ou en convien dra, est bien excusable. Mais, surprise agréable le Journal d'Ypres nous apprend que le conflit entre le bourgmestre et l'autorité mili taire n'existe que dans notre imagina tion. Nous sommes heureux de l'ap prendre. Ainsi donc il n'a jamais été défendu, depuis que M. Colaert est'bourgmes tre, de traverser les plaines d'exercice? Les habitants de l'Esplauade et de la Plaine d'Amour n'ont jamais été em pêchés de faire blanchir leur linge et de laisser courir leurs poujes sur les terrains militaires L'accès des boule vards extérieurs n'a jamais été défendu l'Ecole d'équitation Nous avions donc rêvé Et malgré tout il nous reste un dou te nous irons aux renseignements 11 n'est pas possible, connaissant M. Colaert et son caractère orgueilleux, hautain et despotique, qu'il n'y ait pas eu conflit et que ce conflit ne perdure. Le Journal d'Ypres aurait-il encore une fois mystifié ses lecteurs Nous le saurons bientôt. Il est plus facile au Journal d'Ypres d'insulter, de nous traiter de sots et de menteurs que de nous contredire. Les gros mots et les insultes ne sont pas des arguments ce sont les armes dont se servent ceux qui ne sauraient justi fier leur ridicule conduite. Des habitants de la rue de Stuers nous ont certifié avoir reçu, la veille de l'enterrement de M. Seys, la visite de la police qui les a prévenus d'avoir le lendemain matin balayer convena blement le trottoir parce que le bourg mestre allait assister l'enterrement. Nous ne pouvons mettre en doute la sincérité du témoignage de ces person nes. Nous connaissons l'orgueil in commensurable de M- Colaert et avons déjà eu des exemples du ridicule dans lequel il se complaît. Dorénavant, cher confrère, vous ré pondrez on vous ne répondrez pas. Cela ne nous fait ni chaud ni froid. Nous ne continuerons pas moins mettre au jour toutes les sottises de vos idoles. -<.s*— Dans sa séance du 27 Août, présidée M. H. Sculfort et laquelle assistait .VI. L. Vincent, préfet du Nord, ie Con seil générai du Nord a autorisé l'ou verture de l'enquête d'utilité publique concernant le tramway de Bailleul Ypres, dès que l'avant-projet régulier aura été produit, si la concession est demandée sans subvention, ni garantie d'intérêt. (1) Nous constatons avec infiniment de plaisir que l'administration municipale de Bailleul s'occupe activement du chemin de fer vicinal d'Ypres Bail leul. Noos serions heureux d'apprendre par le Journal d'Ypressi notre admi- nist a'iiin communale, très noncha lant- d'habitude, prend sérieusement cette question cœur. Nous avons vu, il est vrai, qu elle s'en est occupée, mai? ne fera-t-elle pas de cette ques tion très importante pour la ville, ce qu'elle a fait de toutes celles qui lui ont été soumises la reléguer aux ca lendes grecques C'est bien possible Ministère djs Finances et des Travaux publics Par arrêté royal du 30 Juin 1900, a été promu an grade de conducteur principal de 2e classe, M. Feneau, Vic tor, actuellement conducteur de lre classe Y pres. (1) La Croix du Nord du Mardi 2cS A >ùt 1900. Nous adressons M. Feneau nos vi ves félicitations. Par arrêté royal du 18 Juillet 1900, paru au Moniteur du 2 Septembre 1900, la décoration industrielle de lre classe est accordée MM- Hof, Léopold-Martin. Dé en 1832, fondeur en fer, Ypres Preyers, Pierre, né en 1821, chef ouvrier, Ypres. Et celle de 2me classe MM. Belettre, Emile, né en 1839, con tremaître de brasserie, Y près Bertier, Edouard, né eu 1834, contremaître, Ypres Clarisse, Henri-Louis, né en 1847, charpentier, Brielen Gadeyne, Henri, né en 1833, ga- zier, YTpres Snick, Servais Louis, né en 1842, maçon, Brielen Verdoene, Jean, né en 1819, pa veur, Ypres. Un arrêté royal du 25 Août 1900, paru au Moniteur des 3*4 Septembre 1900, approuve la délibération sui vante Le Conseil provincial de la Flan dre occidentale, Vu la loi du l"r Août et l'arrêté royal du 4 Août 1899 Vu l'article 85 de la loi provinciale, Arrête Art. 1er. Il est défendu l'approche des chevaux ou bêtes de trait attelés ou montés de faire des gestes, bruit ou tapage dans le but d'effrayer ces ani maux Art. 2. Les voies cyclables où la dé- putatiou permanente fera placer des poteaux indicateurs sont exclusive ment réservées aux piétons et aux cy clistes. Art. 3. Les chiens attelés doivent être muselés. Art. 4. Il est défendu A. D'employer comme bêtes de trait les chiens que les vices ou les infirmités apparents doivent considérer comme impropres cet usage. Les chiennes manifestement pleines sont rangées dans cette catégorie B. De faire usage de charrettes, har nais ou muselières blessaut les chiens attelés. Art. 5. Au stationnement, le chien attelé devra toujours pouvoir se cou cher librement par terre. Art. 6. Les contraventions l'article 5 seront punies d'une amende de 10 20 francs et d'un emprisonnement d'un cinq jours ou d'une de ces peines seu lement, sans préjudice l'application der articles 562, 565 et 566 du Gode pé nal. Les contraventions aux articles 1,2 et 3 seront punies des peines stipulées l'article 2 de la loi du 1er Août 1899 sur la police du roulage. Ces contraventions seront constatées par les agents énumérés l'article 29 de l'arrêté royal du 4 Août 1899 sur la police du roulage MINISTÈRE DES FINANCES ET DES TRAVAUX PUBLICS. Le Ministre des finances et des tra vaux publics, Vu l'article 30 du règlement générai de police et de navigation des voies na vigables administrées par l'Etat Revu l'arrêté ministériel du 7 Juin 1898 concernant la manœuvre de cer tains ponts situés dans les Flandres et de l'écluse marée de Gentbrugge Considérant qu'il y a lieu d'étendre au pont de Comines sur la Lys, la me sure prise, en ce qui concerne le pont de Wervicq sur la même rivière, par le second paragraphe de l'article 1er de cet arrêté Considérant, d'autre part, qu'il con vient de tenir fermés, de midi une heure et quart de relevée, les ponts si tués sur le canal de Gand Ostende Steenbrugge, dans ia traverse de Bru ges et Scheepsdaele, Arrête Art. 1er. Le 2 de l'article 1er (1) de (1) Le 2 de l'art. 1er de l'arrête minis tériel du 7 Juin 1898 paru au Moniteur du 17 portait Pour le pont de Wervicq cette fermeture sera étendue aux intervalles suivauts de 8 heures S 1/2 heures du matin et de 4 1/2 heures 5 heures du soir. l'arrêté ministériel du 7 Juin îggç modifié comme suit e-- Pour les ponts de Comines et Wervicq, cette fermeture sera étend? aux intervalles suivants de 8 8 h res et demie du matin et de 4 heure?" demie 5 heures du soir. Art. 2. L'arrêté précité est piété par un article 8bis ainsi conçu" Art. 8bis. Steenbrugge, firm*, Scheepsdaele. Les ponts du car de Gand Ostende situés Steenbr ge, dan3 la traverse de Bruges (y pris le bras contournant la ville j Scheepsdaele resteront fermés to' les jours de midi une heure et ana» de relevée. Art. 3. Le présent arrêté entrer- en vigueur partir du l'r Octoh 1900. Bruxelles, le 16 Août 1900. P. de Smet de Naeyeb données aux écoliers. S'adresser bureau du journal. L'Harmonie de la Société se rendra Blankenberghe, le Dimanche 16 Septim- bre 1900, pour y donner un Conçu i au Casino. Départ d'Y*près 6 54 hres. Arrivée Blankenberghe 9.16 hreî. Concert de 3 5 heures. Départ de Blankenberghe 5.59 h^. Arrivée Ypres 8.31 hres. p - 2me 4,25 fr. 1 nx 3™ 2,55 fr Les membres de la Société qui dés:- rent prendre part cette excursion sont priés de se faire inscrire au local de la Société, les jours de répétition ou chez M. Dehollander-Harteel, limo nadier de la Société. La liste de souscription sera définiti vement close le Samedi 15 Septembre 1900, midi. Les coupons seront remis aux ex cursionnistes, le Samedi 15 Septembre, au local de la Société, cl 9 Jmou.vaa Au soir ■5k $k SAMEDI 15 SEPTEMBRE 1900, 8 1/2 heures du soir, T^Vis. M. H. HENNAERT, Archéologuee'. Antiquaire Ypres, rue de Boesingh^ n° 8, achète de la main la main le» gravures anciennes coloriées(aqna- teinte), celles en manière noire etaa burin du XVIIIe siècle, des Française et Anglaiseainsi que leep36' tels et gouaches de la même époque- De Beukelaer's MADEIRA dans du lait Le meilleur aliment pour enfants arriéres Nous lisons ce propos dans le Pt& Bleu du Jeudi 6 Septembre 1900 D M. Surmout, ministre du travail- paraît être un homme charmant- f jamais le féminisme triomphe, me. mes les députées n'auront pas a plaindre de sa bienveillante urbanité- Au fond, M. Surmon est un 6ClT? que aimable, qui parfois fait preuve volonté, mais qui, malheureusem81-^ couvre souvent les actes les pluS 1 qualifiables. Jugez-en

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Le Progrès (1841-1914) | 1900 | | pagina 2