Chroniquedela ville. Neuve-Eglise. AVIS- ATTENTION LEÇONS PARTICULIERES 7*U PllaORI Depuis le l1 Août courant, les bureaux du Commissariat de l'arrondissement d'Y pres sont transférés de la rue Carton, 5, la rue d'Elverdinghe, 15. UN MONSIEUR LEBBE SOEURS, l'Anémie S'7vÏHCENT-»vïWV État-Civil d'Ypres, aux écoliers. Ecole moyenne de l'Etat Actes olïiciels. Bon rse de Bruxelles. Pour éviter toute erreur, le dentiste Maurice MEIEK, de Courtrai, a l'honneur d'in former sa nombreuse clientèle ainsi que les personnes qui au raient l'intention de venir le con sulter qu'il y a un nouveau den tiste portant le même nom et avec lequel il n'a aucune relation commerciale, qui vient Ypres deux maisons de sa demeure. 11 les prie de bien informer s ils sont chez 1 ancien dentiste Maurice M El EH, de Courtrai, qui est consulter Ypres depuis 16 ans chez Mm<> ^uve \.\N KEMMEL, Grand'Place, 5 (mai son fermée) les Lundi, Jeudi et Samedi, de 9 4 h. Avis aux mères de famille Grand choix de Broderie Suisse. rJ: k cr 3 I .se's .g g s 3 M. Albert Nyssens est né Ypres. le 20 Juin 1855. Son père y était vérifica teur de l'enregistrement et habitait rue Carton. Tous les journaux libéraux sont una nimes reconnaître que l'ancien minis tre de l'industrie et du travail avait l'estimesympathique de ses adversaires eux-mêmes. M.Nyssens laisse une veuve et quatre enfants. Ses funérailles religieuses ont eu lieu Jeudi. S'adresser au Bureau du Journal. A "YPRES. L'école moyenne se compose d'une section préparatoire et d'une section moyenne. La section préparatoire comprend six années d'études dans lesquelles on enseigne la religion, le flamand, le français, l'écriture, le calcul et le sys tème métrique, l'histoire et la géogra phie, des notions de sciences naturel les et d'hygiène, les éléments du des sin, la gymnastique et le chant. Le flamand et le français sont donc enseignés de pair dès la première an née d'études. Pour être admis dans cette section, aucune connaissance n'est exigée il suffit que l'élève ait six accomplis; une dispense d'âge peut être accordée dans des cas spéciaux. La section moyenne comprend trois années d'études dans lesquelles on en seigne la religion, le flamand, le fran çais, l'allemand, l'histoire et la géogra phie, l'arithmétique, l'algèbre et la géométrie, la zoologie, la botanique, la physique, la chimie, l'écriture, la tenue des li vres, le dessin et la gym nastique. Cette section est donc spécialement utile aux élèves qui ont achevé les étu des de l'école primaire et qui désirent acquérir une instruction plus dévelop pée, soit pour devenir des ouvriers, des patrons ou des commerçants capa bles, soit pour entrer comme commis dans une des administrations de l'Etat, de la province ou de la commune ou comme employé dans une maison de commerce. Pour être admis la section moyen ne, les élèves doivent avoir douze ans accomplis et posséder les connaissan ces enseignées dans les six années de l'enseignement primaire complet. Les élèves qui n'ont pas fait une étude préparatoire complète, peuvent d'abord achever cette étude la sec tion préparatoire de l'école moyenne. Tant la section préparatoire qu'à la section moyenne, l'éducation mora le des élèves est l'objet de soins parti culiers. La rentrée des classes en section prépara toire et en section moyenneaura lieu, le MARDI 24 SEPTEMBRE, 8 heu res du matin. Les nouveaux élèves peuvent se fai re inscrire l'école pendant toute la durée des vacances. (S'adresser pen dant ce temps rue du Séminaire, n° 2.) - Par arrêté royal du 16 Juillet la décora tion spéciale de mutualité de lre classe est accordée dans notre arrondissement Mes sieurs N. Boudry, sécrétaire de la société mutualiste reconnue les anciens élèves des écoles communales Ypres Isidore Ducor- ney, trésorier des anciens élèves des écoles communales Ypres. La décoration spéciale de mutualité de 2me classe Messieurs H Bailleul, vice- président de la société mutualis'e reconnue Ziekengilde, Wytschaete H. Belpaire, ad ministrateur de la même société H. Chris- tiaen, vice-président des anciens élèves de l'école communale Ypres. Un arrêfé royal du 9 Août approuve la délibération du conseil communal d'Ypres. adoptant un plan pour la création, en cette ville,d'un boulevard joignant la plaine d'A mour la route d'Ypres Furnes et l'ou verture d'une rue raccordant le dit boule vard la promenade publique qui entoure les installations de la distribution d'eau. t A propos de l'élaboration du Pro gramme des festivités communales, notre fameux Conseil a tenu une séance qui fera un tort immense la légen daire réputation de l'administration de Rattendonck. Un seul incident la ca ractérisera assez nettement pour que tout commentaire soit superflu Comme le poseur d'antichambre, qui se croit le premier citoyen de Neuve-Eglise,et qui n'eu est en somme que le premier polichinelle, puisqu'il n'ose prendre aucune décision sans avoir reçu l'avis préalable du préten tieux Popennchinois qui préside en sous-ordre aux destinées de la bonne ville d'Ypres, allouait le subside dû la fanfare locale une société yproise char gée de nous donner une fête musicale, la répartition de la somme attribuée fut soumise la discussion. Outre le parcours gratuit, il proposait d'accor der chaque homme la somme de 1 fr. 25 nous disons: un franc vingt-cinq centimes. A quoi l'incaricaturable Désiré j'allais dire Auguste de notre Conseil de répondre textuelle ment Een frank vijf en twintig! Dat is geen geven. Laat ons zeggen EEN FRANK DERTIG Et la motion fut acceptée et, ce qui est plus fort, elle le fut sans rire N'est-ce pas que tout commentaire déflorerait cette pays-ânerie de grog calibre N'est-ce pas que les cagots de Neuve- Eglise se font une haute idée de leurs amis Yprois Et n'est-ce pas se demanderce qu'il faut le plus admirer, ou de l'insondable imbécillité de nos aaàdministrateurs, ou de l'écœurante bassesse des Yprois qui se laissent ainsimettre prix comme du vulgaire bétail, par les plus insignifiants niais de la terre Tas d'idiots, va Ce serait peu encore si- nos édiles apostoliques se bornaient jeter la discorde parmi nos concitoyens. Mais leurs basses intrigues vont plus loin. Prévoyant que leur programme tout entier et la partie musicale spécia lement fera four, ils tâchent par tous les moyens d'éviter l'inévitable. Ils savent que les Messinois durs comme le kei dont ils descendent préféreraient se noyer corps et cuivres dans la DouveàWulverghem, plutôt que de trahir la cause de leurs séculaires amis Neuve-Eglisois et ils savent que Warnêton. quoique catho lique, s'est engagée d'honneur. Que font-ils Us envoient le plus (r) usé et le plus fin (i) de leurs diplomates pour faire la conquête de Madame la Fan fare de Wytschaete. Mais Don Juan a beau se pâmer, prendre des poses lan goureuses, esquisser son plus aimable sourire, lancer des oeillades incendiai res, Madame qui semble connaître son homme et s'en méfie juste titre, Ma dame garde une froideur polaire. Là- dessus. branle-bas général. Don Juan batcu n'est pas content et son gendre non plus. Nouvelles intrigues où un rénégat se distingue par son zèle de néophyte, un homme qui se gavait de Champagne etqui habitaitgratuitement un palais sous le gouvernement libéral. Mais quand on est traître, de quelles vilenies u'est-on pas capable Quoiqu'il en soit, ce qu'il importe de constater, c'est qu'il y a eu une majo rité de musiciens "Wytschaete pour refuser leur participation aux fêtes dirigées contre la société sœur de Neuve-Eglise et nous remercions et félicitons les gens de cœur qui ont encore gardé,par le temps de catholicisme et d'avachissement qui court, la saine no tion de l'indomptable fierté et de la dignité humaine Bravo Messieurs de Wytschaete Bravo pour les braves Et tenez bon, malgré tout. En niet ko m en zulle, ten zijmet schuifletten Même manège Kemmel. Mais inu tile de parler de cette phalange, dont la réputation n'a pas franchi la côte de la montagne.Quand on est de Kemmel, on y reste, on y baille et on y meurt. C'est bête comme tout, mais c'est ainsi. C'est, du reste, un orchestre de mé nagerie, tout bonnement. L'accompa gnement des fauves est, paraît-il,indis pensable.... tout le monde comprendra pour quelles raisons. Pour ce qui est de Nieppenos félicitations sans réserve notre sym pathique M. Godm. Bien joné, M. Godin et vive le festival du Pont-de- Nieppe, n'est-ce pas Ah mais ce qu'ons'amusera Neuve- Eglise, du 25 au 29 Août 1901 Synde folgens die Oude Chronycke, dleerste Kerremesse tan dat vuul kalote- boellje, bygenaemd die fremdsoeckerssynde die vuulvalders ende die kuupmeriers ende die kothouders ende die dronklappen ende die broodroofers ende die langhooren ende die sentebyters Oorkonden met den Ouden Tydt.) J'étais hideux tellement j'avais la figure et le corps couverts de boutons et de taches, mais grâce trois boîtes de Pilules purgatives du Dr Wal- théry, j'ai été complètement guéri dé ces éruptions dont je souffrais de puis plus d'un an. René GALIFAKD, gendarme pensionné. Le calme n'a cessé de sévir au cours de ces trois premiers jours de la semaine, les seuls que nous ayons examiner puisque la Bourse s'est octroyée quatre jours de chô mage l'occasion des fêtes de l'Assomption. Mais les cotations restent très satisfaisantes malgré l'inactivité. La Rente reprend très sérieusement bien qu'elle soit moins bien influencée cette séance 98.95. Les lots de ville sont égale ment moins fermes, tandis que le lot du Congo se ressaisit 78 après 77 3/4. Les obligations sont sans changement. Aux banques l'animation fait complètement dé faut. L'Outremer, après une tentative de relèvement, revient 99 1/2 La Caisse Commerciale cote 372 1/2. Le Chemin du Congo fléchit 1607 1/2 et 5225. Le com partiment des tramways est achalandé et soutenu, de même que la rubrique charbon nière, tandis que la sidérurgie manifeste des velléités de recul. Cockerill tombe 1987 1/2 et Sarrebrùck 5962 1/2. Le restant de la cote est sans affaires, si ce n'est les affai res coloniales qui dénotent 'pourtant quelque lourdeur cette séance. L'ordinaire Haut- Congo fait 1702 1/2 et la Katanga 1314. Il n'est rien dire du compartiment étranger qui est moins animé que jamais. G. Krolikowski, Agent de change et Directeur de la Finance Pratique Marché-aux-Herbes, 99, Bruxelles. AUX JEUNES FILLES PALES et ANÉMI QUES, et en général toutes les person nes faibles, il suffit de 2 3 boîtes de Pilules du Dr JEtapliatil pour avoir appétit, teint frais, vigueur et santé parfaite. i de faire connaître tous ceux qui sont atteints d'une maladie de la peau, dartres, eczémas, boutons, dé mangeaisons, bronchites chroniques, ma ladies de la poitrine, de l'estomac et de la vessie, de rhumatismes, un moyen infaillible de se guérir promptement ainsi qu'il l'a été radicalement lui-même après avoir souffert et essayé èn vain tous les remèdes préco nisés. Cette offre, dont on appréciera le but humanitaire, est la conséquence d'un vœu. Ecrire par lettre ou carte postale M. VINCENT, 8, place Victor-Hugo, Gre noble, qui répondra gratis et franco par courrier, et enverra les indications deman dées. 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Baeyens, Esther, rue de Mohcou. Deman, Ju lie, Quai. Aleny, Nestor, rue Lon gue uu Marais. Mariage Vansevenant, Oscar, tailleur, et De- mey, Céline, tailleuse. Décès Michiel, Marguerite, 7 mois, Zaal- hof,enclos..— Talon, Auguste, 2 jours, rue des Tuiles. Vermeulen, Amand, 76 ans, sans profession, époux de Mit- tenaere, Amélie, rue de Menin. Viaene, Léonie, 26 ans, ménagère, épouse de Deusser, Louis, rue de Me- nm. Vermeulen, Marie, 71 ans, mé nagère, épouse de Waterbley, Charles, rue deJPilkem. Van Peteghem, Mé- lanie, 71 ans, sans profession, veuve de Van Waerebeek, Auguste, chaussée de Poperinghe. Leclercq, Joseph, 23 ans, télégraphiste, célibataire, rue Courte du Marais. OOOOOOOO acaooooooG'i T"1 O O O (jsj an o o o o o so <5^5^000000 t~- o o o t— o -5-8 -r- O O O Ci o o O O O o O O O O O O Ci O O O O O OO •g p s I OJ S - Z X. - Jec V s s S 2^- TZ r- s o «y I c/3 i- S. pa o

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Le Progrès (1841-1914) | 1901 | | pagina 3