État-Civil d'Ypres, >-• Bourse de Bruxelles Société La Concorde Nomination. Les léles de Cou rirai en 1902. La Gazette A COURTRAI. (Correspondance particulière de La Gazette L'Avenir de Courtrai b Fêtes de 1902. i\lementos et Agendas pour 1902 Correspondance de Co mines. "Warnêton. Brabançonne dédiée La Royale Barnum de Warnêton. i. II. III. Cartes de visite. Bandes 5 centimes Bourse de Bruxelles. G. Krolikowski. hao/calc l'Anémie ^unixiRK o u la voix, au nom du donateur qui n est plus là pour le faire, contre cet acte, lequel prouve une fois de plus, combien peu on res pecte en certains cas les volontés aussi nette ment exprimées des bienfaiteurs disparus de la scène de ce monde. C'est cbose pleine d'enseignements pour ceux qui auraient des velléités de disposer, après leur mort, de collections artistiques en faveur des pouvoirs publics Veuillez agreer, Messieurs, l'expression de mes sentiments distingués. (signe) A. MERGHELYNCK. DU 24 DÉCEMBRE 1901. De notre correspondant spécial La liquidation qui a commencé hier par la réponse des primes pèse encore sur les transactions. On ne pouvait d'ailleurs espérer la moindre activité la veille des fêtes. Le Métropolitain reste fixé 557, la Parisienne vaut en core 262 Le Brésil reste statioonaire 6o 9/16 et les valeurs espagnoles ne modifient guère leurs cours. C'est également le calme qui domine encore au comptant La rente est fort dépréciée, Ie série 99 et 2e série 99.15. L'aspect du compartiment des banques n'a pas changé L'Africaine 61 1/4 et l'Outremer 320 et 80 1/2, sont encore discutées. Les chemins de fer sont fer me mais peu travaillé. Chemin du Congo 1582 1/2 et 4925. Les tramways n'augmentent guère leur clientèle. Economiques 329 et Mutuelle 90. Il y a un peu moins d'animation au groupe sidérurgique. Cockerill reste ferme 1950 et l'ordinaire Tôleries d'Anvers est toujours bien demandée 62.50 Les charbonnages restent au même ni veau. Carabinier 300 et Sacré Madame 3495. Les zincs répètent leurs anciens cours et les glaces ne valent pas mieux. Les éclairages obtiennent quelques de mandes mais on continue négliger les diverses. Les coloniales subissent un recul notable. Katanga ordinaire 1335. Enfin les étrangères maintien nent leurs positions non sans difficultés. I». VAN DEKERKHOVE, agent de change près de la Bourse de Bruxelles Directeur de la Belgique Financière60, chaussée de Louvain, Bruxelles T1 'pnone 3U17 et 4UZb)se tient la dispo sition de nos lecteurs pour leur four nir tous les renseignements nécessai res sur toutes les valeurs figurant aux Bourses de Bruxelles et de Paris. Vé rification gratuite de tous les tirages. AVhist Clul). Lundi 16 Décembre, un solo schlim annoncé a été gagné par le sympathi que membre, M. Auguste Lesafl're, avocat. Le Président d'honneur du club, dans une improvisation éloquente et pleine d'humour, a présenté l'heu reux gagnant les cordiales félicitations de la Société, rappelant que c'était la troisième fois que M. Lesaifre gagnait pareil jeu, deux fois au temps où il était encore étudiant. Un veinard, quoi N B. Le présent communiqué n'étant pas signé, le Progrès n'en a pas fait l'in sertion, il y a huit jours. P. Oussière. Par arrêté royal du 6 Décembre 1901, M. Merghelynck, commissaire d'arrondissement Ypres est nommé membre de la commission adminis trative de l'Institution royale de Mes sines pour un nouveau terme de sept années qui expirera le 31 Décembre 1908. AVIS. Monsieur le Bourg mestre de la ville d'Y- pi'es recevra, le Jonr de 1 iVu, de 11 heures raidi. Les pharmaciens de notre ville n'en ven iant pas, je vous prie de m'envoyer de suite 10 boîtes de Pastilles pectora les du D Waltliéry. Je les trouve souveraines contre les rhumes et les affections de gorge et de poi trine. Ci-joint 2 dollars. Em. Delauuoy. Chicago Amérique. Qui sème le vent, récolte la tempête Le s Journal d'Ypres la suite du Bien public et de tous les journaux catholiques fanatiques, intolérants, in transigeants et sectaires, veut que l'on donne un cachet cl nco-religieux aux têtes nationales qui seront célébrées l'an prochain, Courtrai. en commé moration de la bataille des Epérons d'Or. Enlever aux fêles jubilaires de Cour- trai tout cachet religieux dit le Jour nal d? Ypres, c'est en amoindrir la portée en tronquer la raison d'être et en compro- mettre le succès. (Sic) Quand ce jour nal catholique nous aura donné sur tous les termes de cette phrase des ex pirations que nous demandons' impé rieusement, nous discuterons. Seule ment nous prévenons charitablement notre contradicteur que nous exigeons de lui dans cette discussion la loyauté la plus complète. C'est cette condi tion seule que nous daignerons eDta- mer une polémique avec le Journal d'Ypres. Déjà, pour l'édification de nos lec teurs, nous donnons une correspon dance de Courtrai, parue dans La Ga zette du Vendredi 6 Décembre cou rant et un extrait de VAvenir de Cour trai du Dimanche 8 Décembre. Cou ri rai, b Décembre. Les Cléricaux et les fêtes de 1902. On s'apprèle, depuis de longs mois déjà, fêter ici le 600e anniversaire de la bataille des Eperons d'Or. En Juillet 1902, on compte inaugurer le monument dû au sculpteur De reese. Il ne sera pas prêt et l'on se contentera d'une maquette, grandeur naturelle De grandes festivités sont projetées cor tège historique, mtmodrame, différents Con grès, etc. On comptait presque sur la présence de la reine de Hollande Le Comité organisa teur disposera, en 1902, de plusieurs centai nes de mille francs. L'administration 3vait fait appel aux libé raux pour constituer, en dehors de tout esprit de parti, le Comité central et les différents sous-comités. Après de longs pourparlers, on avait enfin abouti. Mais comme il est indispen sable de prendre des précautions avec nos bons cléricaux, nos amis ont délégué trois des leurs MM. Cillon, Felhoen et Vanlevnseele, auprès de l'administration communale, de mandant que les fêtes n'aient aucun caractère religieux m surtout aucun caractère antifran çais M. Keynaert, notre bourgmestre-député, vient de répondre aux délégués libéraux que son administration voulait rester maîtresse de l'organisation des fêtes et entendait leur impri mer tel caractère qui lui plairait, renonçant par conséquent la collaboration des éléments libéraux Cette solution était prévue. On savait de puis longtemps que le clergé de la West-Flan dre exigeait une manifestation religieuse bien plus qu'une fêle patriotique, et certains flamin gants enragés tiennent commémorer une défaite de la France, le pays de la Révolution et de la Déclaration des Droits de l'Homme. C'est absurde. Le commerce local trouve sa princinale clientèle en France. Deux cent mille de nos nationaux trouvent du travail et du pain dans le Nord français et, au risque de provoquer dans le pays un mouvement d'opi nion dont les Belges pâtiraient, on blesse une nation amie. Déjà le gouverneur de la province, M. le comte d'Ursel, avait prévenu nos édiles ei les avait mis en garde contre les exagérations fol les de nos flamingants. Rien n'y a fait. Les menées de la coterie cléricale et fla mingante effrayent tous les bons citoyens. Nos édiles sèment le vent, pourvu que no tre gouvernement ne récolte pas la tempête. Le Collège écheviual vient de remettre aux délégués des membres libéraux des comi tés des Fêtes la déclaration que voici Le Collège échevinal désire rester maître de ses décisions tant dans i'orgamsation des fêtes de Groenmghe que dans la rédaction du programme. En conséquence, il regrette de ne pas pouvoir acquiescer aux réserves faites cet égard par MM. les Délégués du parti libéral, notamment en ce qui concerne l'inscription éventuelle au programme d'une solennité re ligieuse ou d'une cérémonie pouvant être con sidérée comme telle. Apiès avoir arrêté les termes de la décla ration qui précède,le Collège échevinal n'avait plus délibérer au sujet de la composition des comités et des bureaux. La réponse suivante a été adressée l'Ad ministration communale Courtrai, le 7 Décembte 1901. Messieurs, Nous avons l'honneur de vous faire con naître que nous avons reçu communication de la délibération arrêtée par votre Collège au su jet des représentations qui vous ont été faites en notre nom qu int au caractère donner aux fêtes anniversaires de la Bataille des Eperons d'or et quant la composition des Comités chargés de les organiser. Nous inférons des termes de cette délibé ration, mis en regard des négociations qui l'ont précédée, que vous vous refusez assurer au parti libéral, dans la composition des Co mités la représentation qui lui est due et, que, d'autre part, vous entendez donner aux fêtes projetées un caractère politique et confession nel auquel il nous est impossible de souscrire. Nous avions le vif désir de contribuer par une entente commune la réussite de ces fê tes. Mais nous sommes convaincus que vos ré solutions sont de nature empêcher le con cours de la plupart de nos amis politiques. Elles sont, d'ailleurs, contraires aux engage ments qu'avait pris nvers nous M. l'Ecbevin Vandale. Dans ces conditions, nous venons vous faire connaître que nous regrettons de ne- pou voir accepter le mandat, qu'en vue de l'organi sation des fêtes, vous nous avez confié par vo tre délibération du 23 Septembre dernier. Agréez, Messieurs, l'assurance de notre considération très distinguée. Suivent les signatures. En vente au bureau du journal. M. Adolphe Baert, de Comines, nous écrit pour signaler l'attitude qu'a eue envers lui un prêtre de Comines. Vendredi 20 c4, sollicité par un heu reux père pour être parrain de son en fant il se présente l'église pour le baptême. Le prêtre qui officiait, après lui avoir demandé son nom et son adresse, a refusé de l'admettre comme parrain. Sur ce M. Baert a pris sa can- De et son chapeau et est parti. Voilà qui est fait. TouxBronchites: LE THERMOGÈNE Warnêtonnois Voyez les incapables Qui nous gouvern' depuis quelques années, Vident la bourse des bons contribuables Et font des choses vraiment insensées Ces souteneurs de la maison divine Donn't aujourd'hui des représentations Nous pouvons voir en notre hôtel-de-ville, Confessionnaux, reliqu's et médaillons. Farceurs élus par promesses, par panique, Humbles valets de tout le monde dévot, Ils attaquèrent notre vieille musique. Voulant prendre son glorieux drapeau L'heure va sonner où notre belle bannière, Reparaîtra ses loyaux enfants. Pour nous venger, la noble centenaire Chassera loin d'elle tous ses affreux tyrans. )IS Sous l'goupillon du dompteur en soutane, Tous nos édiles doiv' baisser pavillon, Ces mannequins qui lui votèrent un blâme, Doiv't aujourd'hui lui demander pardon Lrjour de l'an pour nos municipales Verra, chez eux, un acte de contrition. Tout' nos dévotes f ront amende honorable )h-. Pour obtenir la réconciliation Un Mouch Nous informons nos amis qui, aux approches de la nouvelle année, ont l'habitude d'envoyer leurs connais sances des cartes de visite affranchies d'un timbre de cinq centimes, qu'ils peuvent se procurer au bureau du Pro grès, rue de Dixmude, 53, des vendues au profit de lOEuvre du Denier des Ecoles laïques d'Ypres Ges bandes, affranchies seulement d'un timbre d'un centime, portent la mention qu'elles sont vendues o cen times au profit de l'Œuvre du Denier. La politesse ou la mode qui exige l'af franchissement des cartes de visite au moyen do timbre de cinq centimes, re cevra donc pleine satisfaction de la part de ceux qui se serviront de ces bandes et qui, de cette façon et sans frais, con tribueront créer une ressource pré cieuse pour PCEuvre dn Denier des Ecoles. AVIS aux nombreuses personnes qui souffrent d'eczémas, ou dartres ou de démangeaisons De l avis des meilleurs praticiens, il suffit de se purifier pen dant quelque temp3 le saDg avec la Pi lule antiglaireuse du Dr VV&ltlié- ry pour se guérir complètement d'un vice de sang si ancien qu'il soit. Le» séances de cette huitaine se res semblent beaucoup elles se caracté risent surtout par une bonne résistan ce en sidérurgie et une faiblesse tou jours plus grande des gros titres colo niaux. Motro 3 °/0 nationale est selon la sé rie, ou plus faible ou plus favorisé. Le Lot du Gongo rétrograde par petites étapes depuis le tirage de Vendredi dernier. Les obligations sont calmes, mais en revanche les Banques sont as sez travaillées. Le Chemin Congo per siste dans ton mouvement ascensionnel et s'inscrit en moyenne 4912 1/2. En Tramways, l'indifférence dn public res te toujours grande. Quant aux Fers, ils sont résistants en général. Cockerill figure au tableau 1940 Espérance Longdoz 192 1/2 La Providence baisse jusque 1875 et Sarrebruch jus que 6175. Les Charbonnages sont ré sistants, sans plus. A la division des Zmcs, on est un pou plus ferme En Co loniale la baisse s'accentue tous les jours. Déjà l'ordinaire Haut-Congo se traite 1200, 1210 et la Katanga 1325, 1345. Rien de saillant aux Etran gères. Au marché en Banque, nous consta tons toujours de nombreuses demandes en Comptoir International de Banque et de Change 109 1/2 et en Luabo 25. GUÉRIS ON V f«&W DE Le Seul autorise spécialement. Pour Renseignements, s'adresser chez les SŒURS de la CHARITÉ. 105, R. 8 t-Domf nique,Parla, GUINET, Pharmacien-Chimiste. 1, Passage Saulnier, Paris. Dépôt Général p' la Belgique: CH. DELACRE, Bruxelles. DANS TOUTES PHARMACIES. - Brochubk FRABCO. Dépôt Ypres Pharmacie Libotte, Marché au Beurre. du 20 au 27 Décembre 1901. Naissances Degroote, Gaston, chaussée de Kem- mel. Verhaeghe, Jérôme, rue du Lombard. Verwaerde, Wilhelmine, rue des Boudeurs. Verslyp, Oscar, Porte des Récollets. Lemàhieu, Ber- the, Wieltjestraat. Everaet, Irma, chaussée de Zonnebeke. Deweerdt, Maurice, rue des Trèfles. Burggrae- ve, Alida, Zaalhof. Décès Buverot, Amélie, 90 ans, sans pro fession, célibataire, rue de l'Hôpital S' Jean. Tresy, Germaine, 4 mois, rue Carton. Sinaeve, Marie, 10 mois, rue Basse. Desmarez, Amélie, 78 ans, sans profession, veuve de Beele, Ange, rue de l'Hôpital S' Jean. - De- nudt, Maurice, 4 mois, rue De Haerne. Verhulst. Céline, 30 ans, cabaretiè- re, épouse de Tegethoff, Auguste, ci metière S1 Jacques. Meneboo, Léo- nie, 58 ans, boutiquière, épouse de Desmidt, Auguste, rue de Lille. tfl 0 SH e» 73 -a r=-K p -a cn S o o o -T. 0 "Z X s rr jj r - X - w K X 3 zz X ZL. X S 3 5= Z S a fi S 5 -9 X *63 22 63 Z 63 P M 63 z 'SJ z OSOOOOOO® ®t—OOOOO® SSgggggw ce ifî ilî O O O O O s? 1— O O O O ZO cc^oooooee -T- -T- O O O ce 'M o O c c O C O >.7 O C O O O O I" s - 0 c 0 - s. s j- A ZZ '<5 o 6«

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Le Progrès (1841-1914) | 1901 | | pagina 3