je POUR LES MALADES ATTENTION! État-Civil d Ypres, OS L'ESTOMAC. Bourse de Bruxelles. 16 ans chez Ylme Veuve AN kl\IMLL, Grand'Place, 5 (mai son fermée) les Lundi, Jeudi et Samedi, de 9 4 h nrniiirr institut prive oooooooo O O O O O an O O oo a» o o o -vo s* yn o o o o o o r--^oooooo o o o o o <r r- kiauterwein de lluberl Ullrich. Figure maigre el pâle, anémie, affaiblissement I P iïriillprwpin d VPinl bouteilles fr. --60 et 3-50 dans méfier des contrefaçons C'est, de toutes les œuvivs de l'i'Iastre fomancier, la plus attachante, la plus pas sionnante. M. Piet"re Berton, l'auteur de Zaza et l'un des auteurs des Deux Gosses en j tiré une pièce admirable, tout en respec tant avec une scrupuleuse dévotinn la créa tion exquise de Maupassant. La pièce a obtenu un énorme succès,con sacré par toute la presse, car C'est du Théâtre du vrai Théâtre comme a dit un de nos plus éminents confrères de la critique parisienne. Depuis longtemps on n'avait vu une aussi bonne pièce, pour établir une comparaison jl faudrait remonter au Maître de Forges ou même La Dame aux Camélias. Elle peut être vue par tout le monde, ce qui n'est pas un mince mérite l'heure ac tuelle. Rien de plus passionnant que l'histoire de cette petite Yvette restée pure en dé pit du milieu où elle a été élevée et qui pré féré mourir plutôt que d'être une fille entre tenue. Tout s'arrange heureusement et la reciu d'Yvette est récompensée. D'sons quelques mots de la pièce Au 2me tableau, l'action se déroule dans an salon, celui de la Marquise Obardé. la mère d'Yvette, là évolue un bataillon de jo lies femmes tout habillées par les grands couturiers de Paris Le 4me tableau, qui est grand specta cle, se passe dans l'île de la Grenouillieu. C'est un pittoresque grouillement de cano tiers et de canotières qui s'interpellent, chantent, *e renvoient avec verve des laz zis, que couronne un piquant quadrille. Commencé (fans une note si ga'e le fa- b'eau se termine par une scène de la plus suave mélancolie et l'on voit Yvatte telle une biche blessée fuir dans l'ombre crépus culaire celui qu'elle aime tandis que du loin tain arrivent par bouffées les échos de la joie faite de jeunesse et d'ardente vie des canotiers et des canotières. Dans le 5me tableau se déroule entre Yvette et sa mère, une scène poignante, c'est puissamment posé, un problème social que peut seul résoudre la pitié. Au 6me tableau, Yvette, retirée dans sa chambre, s'axphysie. pendant que sons ses fenêtres, dans le jardin, les fêtards, hôtes de la maison, se grisent de Champagne et de folles parole^. Le contraste est troublant de tant de pureté agonissant côté de tant de corruption pour ne pas en être souillée - Et tandis que le corps d'Yvette se soulè ve dans de suprêmes spasmes, Servigny, par l'amour de qui elle meurt, l'ensevelit .«ous une pluie de H-urs lancées du jard u Cet acte a soulevé la salle lors de la pre mière au Vaudeville et chaque soir, par la suite, l'enthousiasme a rpdoublé C'est une trouvaille scènique comme en ont rarement les dramaturges, même les plus expert» et ici l'émotion est d'autant troublante qu'elle s'amolit doucement lorsque Yvette, sauvée, revient la vie dans les bras de ce lui qu'elle aime. Mais, nous en avons trop dit, nous nous sommes laissé entraîner plus loin que nous ne le voulions dans un élan de communica- tive admiration. En somme, nous avons en perspective quelque belles représentations, d'autant plus qu' Yvette sera représentée par la tournée Monçharmont. Tout le monde connaît M. Monçharmont, l'iinpressario de Madame Sans-Gêne, les deux Gosses, du Vieux Marcheur, du triom phal Cyrano de Bergerac, de la jeunesse de Louis XIV, de la Clairière, etc., enfin de tous les grands succès dramatiques de ces dernières années inutile donc d'insister sur son nom. Il s'est assuré le concours d'une troupe de tout premier ordre composée de vingt- deux artistes appartenant aux principaux Théâtres de Paris. La mise en scène est identique celle du Vaudeville. Nous sommes persuadés que le public de notre ville, se rendra avec empressement aux représentations d1 Yvette par la troupe de M. Monçharmont. au Théâtre Royal des Galeries, S1 Hubert, (Bruxelles) Mous donnerons incessamment la date de 'a première de ces représentations. aux gens faibles et anémiques. Si vous voulez récupérer la force, la vi gueur et une santé parfaite, prenez la Rjlule du D I. La boîte 1 fr. '5 dans toutes les bonnes pharmacies. L*.«iui«* pi'atiqiM'* «rolim«»iita- tlon avec la TourheAlélas- se par les mc»ialn*es culti vateurs «le la Fédération des Associations Rurales de (iôttingae. Re*ULTATS. RAPPORT OU PRÉSIDENT. L'i section d'agriculture de la Fédération de ottiogue avait s m piogramme de détermi ner la valeur et les effets de la tourbe-mélasse dans le régime alimentaire du cheval. Dans ce but des expériences pratiques, sur une grande échelle, ont été faites un nombre fort consi dérable de nos sociétaires aussi bien de la pe tite que de la grande culture y ont pris part, voalant contribuer personnellement et active ment l'élucidation d'une question qui inté resse un si haut degré notre agriculture na tionale. Tous les résultats de ces essais et les obser vations y relatives ont été recueillis et collatio- nés sans aucune exception ni la moindre réticence. De ce référendum, il ressort avec pleine certitude 1° Qu'on peut sans danger ni inconvénient quelconque faire intervenir, dans la ration journalière du cheval, au moins un kilogram me lourbe-mélassç de bonne qualité (20 tourbe, 80 mélasse) 2" Que jusque 1 kilogramme tout au moins, la tourbe-mélasse remplace absolument la mê me quantité de bonne avoine 3° Que par celte substitution, l'état général du cheval (force musculaire, énergie au travail, santé) non seulement reste parfait, mais que le poil devient meilleur et plus brillant 4" Que chez les chevaux sujets aux coliques et indigestions, les cas deviennent plus bénins et plus rares, voire même finissent par dispa raître complètement. Il reste déterminer ultérieurement de la même façon pratique jusqu'à quelle quantité maxima de tourbe-mélasse on peut aller avec avantage et profit. Les expériences deGôltingue, envisagées au seul point de vue de l'économie, prouvent un gain de fr. 36,50 par cheval et par an, résul tant de la différence de prix entre l'avoine fr. 0,18 le kil. et delà tourbe-mélasse 0,08 centimes. Vu le sérieux et l'absolue concordance des résultats constatés en faveur de la tourbe-mé lasse, c'est une véritable faute que de n'en point retirer les heureuses conséquences qu'ils comportent pratiquement. Abstraction complète étant faite du double intérêt qu'il présente pour la culture bettera- vière, l'ensemble de nos expériences démontre que la tourbe mélassée est un excellent fourra ge et fort économique, et qu'à ces titres il a sa place marquée jusque dans les écuries les moins importantes, même là où l'on ne cultive pas la betterave sucrière. Les doutes exprimés ça et là, notamment par les dépositaires de théories, l'endroit de la valeur et des bons effets de la tourbe-mélas se, doivent céder devant la réalité affirmée de toutes parts et reconnue de la manière la plus strictement exacte par la pratique. Aucune spéculation doctrinale ne peut tenir devant des laits positifs et tangibles. La spécieuse ob jection qu'on lui fait quant sa pauvreté re lative en certains principes nutritifs n'offre rien de neuf et signifie peu de chose, au fond il n'y a pas de praticien qui admettra que la teneur analytique d'un aliment soit l'unique critère qui doive guider son choix. Si c'était vrai, l'ordonnance générale de l'alimentation des animaux serait tout autre qu'elle n'est. En fait, les propriétés diététiques d'un fourrage, sa saveur au goût, son volume, sa capacité pour absorber et retenir les liquides et d'au tres facteurs encore, on! eu certaines circon stances une iijlluence si prépondérante quoi que indirecte sur son rendement nutritif réel que tous calculs basés sur la seule théorie peuvent être déroutés et renversés. Que ce sou l'une ou l'autre de ces cau ses connues ou inconnues qu'on doive faire remonter les effets absolument remarquables de la tourbe-mélasse dans l'alimentation du cheval, peu importe toujours est-il que le témoignage des faits ne laisse plus de place qu'à une dénégation systématique. C'est maintenant au tour de la science d'en trouver l'explication avec le principe vouloir continuer, sous couleur de théorie chimique, d'ergoter sur la signification de faits patents et irréfragables ne pourrait que nuire la notion de la vraie critique scientifique. Il va sans dire que pour la tourbe-mélasse aussi bier, que pour les autres articles lourra- gers du commerce, le cultivateur doit veiller n'accepter qu'une marchandise de qualités et de teneur irréprochables. La Société Centrale d'agriculture de l'Empire a très sagement at tiré l'attention publique sur ce point important la garantie ou pourcentage en mélasse ou du sucre, ce qui vaut mieux. Certes, l'usage des fourrages mélassés pré sente un intérêt considérable pour toute l'agri culture en général, mais cet intérêt est absolu ment hors pair pour les cultivateurs de bettera ves. Aussi, dans les circonstances actuelles si précaires où ils se débattent, leur laisser igno rer le puissant moyen que la consommation animale des mélasses met dans leurs mains pour faire disparaître du marhé d'immense quantités de sucre, c'est se rendre coupable par omission d'une véritable et grande injusti ce envers eux. Retnshof, 12 Décembre 1901. L. Bôdecker, Président de la section d'agriculture des Associations Kurales de Côtttingue (Blatter fur Zuckerubenbat, 24 Déc. 1901 n" 24). TOURBE-MELASSE, brevet Sciiwartz, 3Ô/41 °/0 de sucre nourriture de 1" ordre pour chevaux et bestiaux. Beaudoin et Bolly, Waremme Engrais chimiques, Fourrages, Tourbe litière. La tendance générale du marché est moins favorable cette séaDce. On constate de la faiblesse en Coloniales et les fers sont plus hésitants les charbonnages cependant montrent de bonnes dispositions. Au compartiment des fonds d'Etat et des Villes, on reste dans le statu- quo. Les banques conservent leur orientation satisfaisante. Un note ce pendant un léger tassement en Ban que de Bruxelles 728,50. Les chemins de fer sont pour la plupart traités dans des conditions favorables. Les prix af fichés au groupe de tramways sans s'écarter beaucoup des précédents ont une tendance l'amélioration. Xotons entre autre l'avance de Lille 300. Les «aleurs sidérurgiques sont diversement influencées. L'alliance est mieux 675, Marcinelle et Couillet se rafleront 312,50; Cockenll est plus lourd 1940 et la Providence cède 1820 En Charbonnages la plupart des échan ges s'effectuent des prix en avance. Les Zincs sont plus faibles et les ver reries restent &tationpaires. Les valeurs coloniales perdent de leur fermeté. L'ordinaire recule 726 et l'ordinaire Katanga 1014. Aux étrangères nous relevons la bonne te nue de Rumelange 1850 et la chute de la part Parisienne 87. G. Kroliskowki, Agent de change et directeur de la Finance Pratique 17, rue Fossé aux Loups, Bruxelles. Coffee Wafers De Beukelaer chers mais exquis Pour éviter toute erreur, le dentiste Maurice MEIEB, (le Courtrai, a l'honneur d'in former sa nombreuse clientèle ainsi que les personnes qui au raient l'intention de venir le con sulter qu'il y a un nouveau den tiste portant le même nom et avec lequel il n'a aucune relation commerciale, qui vient près deux maisons de sa demeure.. Il les prie de bien informer s'ils sont chez l'ancien dentiste Maurice MI'.IEH, de Courtrai, qui e»t consulter Y près depuis Il n'a ni frère, ni fils, ni parent chargé de représenter sa maison. HERNIES w DE haye, a (Parcelles. Guérison radicale de toutes les hernies, en quelques jouis et sans bandages pour toute la vie pr le Docteur De Haye, spécialiste p' hernies. Plusieurs milliers de guérisons sans un seul insuccès depuis 10 ans. Paie ment après guérison. Le Docteur DE HAYE, de Colrcelles, est cliirurgien- chef de service l'Hôpital de Fomaine- l'Evêque Téléphone 23. Cfl (D KD 5* o o 3 "-Z tL Z o O O *5}. G"! OOOOOC.OO -H «C- O O O 1 13 O cL C s cr 31 g> U Jïg d a <13 S b£- F •M C/3 U3 Z3 •-Ë5 ^3 H C=3 O O O O O iO 30 o c? o o c r- G-l 13 t u i_ rz =3 cr O) "O c/2 13 ce 13 5 jj I jo bB'ô .22 S 3 "53 c *13 o 13 W du P au 8 Août 1902. Naissances Donche, Arthur, rue Longue de Thourôtlt. Didier, Agnès, rue de Menin. Vrielinck, Berthe, chaussée de Poperinghe. Jacques, Robert Kallvaarl. Deleye, Hecior, chaus sée de Kemmel. Neirinek, Léon, rue de Dixmude. Mariages Lameire, Emile, peintre de voitures, et Craye, Marie, repasseuse. Buseyne, Ernest, pâtissier, et Spinnewyn, Jeanne, tailleuse Mollez, Henri, forgeron, et Bartier, Emtna, sans profession. Simoens, Maurice, jour nalier, et Cooreu, Marie, dentellière. De llaerne, Ernest, menuisier, et Berlier, Christi ne, tailleuse Bartier, Camille, boulanger, et Vissers, Valentine. buandière. Duîloti, Lire la Niiite lit 4e paire. A tous ceux qui, p.ir un refroidissement ou une i .ip'ition de reslomic. par Pu wige d'Ndimènls diffi ciles digérer, trop chauds ou trop froids, ou p ir une m toière de vivre |i*rcgulière, se sont attiré une maladie d'estomac telle que Catarrhe d'estomac, crampes d'estomac, maux d'estomac, digestion difficile ou engorgement on recommande par !a préseule un bon remède domestique, dont la vertu eurative a été éprouvée depuis de longues années. C'est le remède digestif et dépuratif le Ce Krâ'iterwi'in est préparé avec de bonnes herbes, reconnues comme curatives, et du bon vin 11 fortifie et vivifie tout l'organisme digestif de l'homme sans être purgatif. Il écarte tous les troubles des vaisseaux sanguins, purifie le sang de toutes les matières nuisibles la santé et agit avantageusement sur la formation nouvelle d'un bon sang. Par l'emploi opportun du Krauterwein les maladies d'estomac sont le plus souveut étouffées dans leur germe et on ne devrait pas hésiter de préférer son emploi d'autres remèdes forts, mordants tt ruinant la santé. Tous les symptômes, tels que maux de tête, renvoisardeurs dans le gosier, fia- tuositè soulèvement de cœur, vomissements, etc., et qui sont encore plus violents quand il s'agit de maladies chroniques d'estomac disparaissent après un seul emploi COU Si I D'il IOI1 Ct l0l,les ses s ,iles «k;sagréablcs telles q le coliques, oppression I battements de cœur, insomnies, ainsi que les congestions au foie la rate et les affections hémorrho/dales sont guéries rapidement et avec douceur par l'emploi du Krauter Aein Le Krauterwein empêche toute i.idig stion. donne un essor au système de diges tion et fait disparaître de I estomac et des intestins toutes le» matières in.niva ses par une légère selle. sont souvent la suite (l'une mauvaise digestion, d'une consli ulion incomplète du sang et «l'un état maladif du foi»-. Lors de manqu complet d'appétit, affaiblissement nerveux émotions, de fréquents maux de tète, insomrtie. les malades dépérissent souvent doucement. Le a Krauterwein donne une impulsion nouvelle la nature la pluj affaiblie Le Krauterwein augmente l'appétit, active la di gestion et l'alimentation, raffermit les tissus, hâte et améliore la formation du sang, calme les nerfs agités et donne aux malades de nouvelles forces el une nouvelle vie. De nombreuses attestations et lettres de remerciement le prouvent. I^L, i lYiatltLI eiII St veild |es pharmacies d'Ypres, Menin, Wervicq, Comines, Warnèton, Poperinghe, Dixmude, Ledeghem, Roulers, Houpli- nes, Armentières, BailleuJ, ainsi que dans les pharmacies de toutes les grandes et petites localités de la province de la Flandre Occidentale et de toute la Belgique. En outre, les pharmacies d'Ypres expédient aux prix originaux partir de 3 bouteilles de Krantenvem dans toutes les localités de la Belgique. Exiçer Kriiuterwein «le ILul>ert Ulli-ielx Mon Krauterwein r n'est pas tin r.-me le secret il est composé de vin de Malaga 450 0 esprit devin 100.0, glycérine 100,0. vin ronge 210,0, jus de sorbier sauvage 150.0. jus de cerises .550 0 fetionil, anis. auoée ginsenf; améric, racine de gentiai e. racine de eilmus aa 10 0. Mêler ces sub- lances.

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Le Progrès (1841-1914) | 1902 | | pagina 3