demande Agents Pianos Derdeyn. ATTENTION! l/ICTÉE D'HUILE D'OLIVES DE NICE État-Civil d Ypres. Concours de photographie L'assertion d'un voisin. ne cause monstrueuse. Variétés. CHII1AY. Importante maison Marchés. ClaesBijvoegsel aan de bijdrage tôt een Hagelandsch idioticon. Gent, Sifler, 1904 in 8". Coopman en Broeckaert Biblio graphie van den vlaamschen strijd. Ie deel. Gent, Sifter, 1904 in-8°. Revue des bibliothèques et archive» de Belgique 1903 4 Renaix, Leherte Courtin 9 fasc. in 8°. Th. Sevens Oorkonden Kortrijk aanbelangende. Kortnik, Beyart, 1904 broch. in-8° (Don du biblre). J.-B. Dugardyn Het tijdvak der van Eycks. Brugge, De Plancke, 1904 broch. in-8°. (Hommage de l'auteur). Entretiens sur la Belgique contem poraine. Brux V Larcier, 1904 in-8° (DondeM.Alb Biebuyck) Gust. Segers Onze taal in het on- derwys. Gent. Stô'er, 1904 in-8°. Jaarboek der kon. vlaamsche acad. Gent, Siffer, 1904 in-8°. (Communique). De Beukelaer's Cocoa Cakes biscuit nouveau Le Touring Club de Belgique a orga nisé un concours de photographie pour des vues, sites, etc. pris exclusivement dans la Flandre Occidentale II y a 600 fr. de prix Conditions Fournir au moins 5 et, au plus 20 photographies en triple exem plaire (minimum de dimension 9 x 12.) Pour les agrandissements un seul exemplaire suffit. Les photographies, sous enveloppe cachetée, doivent être envoyées avant le 1" Novembre prochain au Touring Club, Rue des Vanniers, 11, Bruxelles. Nous espérons que nos photographes prendront en grand nombre part ce concours important. Pour plus amples renseignements, voir Bulletin du Tou nng Club, mois de Mars 1904. Nos lecteurs doivent admettre deux choses importantes, d'abord que ce qui suit est arrivé Ypres et peut facile ment être coustaté et ensuite qu'il y a une grande différence entre l'opinion exprimée dans les journaux de la loca lité par un habitant d'Ypres et celies qu'on peut voir tous les jours dans les mêmes journaux et qui ont été expri mée» par des personnes d'une autre vil le. Mme Valérie Ommeslag, 123, rue de Lille, Ypres, nous dit Je me plai gnais des reins depuis bien cinq ans, j'a vais de si violentes douleurs surtout quand je devais me baisser que j'en avais peine me retenir de crier sou vent j'avais des vertiges, des sueurs en même temps que des frissons, mes nuits étaient sans sommeil et mon lever j'étais toute lasse et brisée, j'avais per du courage car malgré tous les remè des essayés je n'obtenais aucun soula gement dans mon état, aussi quand j'entendis dire tant de bien des Pilu les Foster pour les Reins je voulus aussi les essayer et en cherchai une boîte la pharmacie Becuwe, Ypres. Graud bien m'en prit car l'effet fut des plus appréciables de jour en jour mes souffrances diminuaient et je me «entais de mieux en mieux, si bien qu'à présent il me semble être enfin réta blie. Je certifie exact ce qui précède et vous autorise le publier. Quand vous avez mal au dos, c'est que le danger commence. Le mal de dos est la première et sûre indication de la maladie des reins. Les Pilules Foster pour les Relus guérissent le dos souffrant en guérissant les reins qui sont par-dessous, car ce sont les reins réellement qui font mal et non le dos. Assurez-vous qu'ou vous donne les Pilules Foster pour les Reins de la même espèce que celles qu'a eues Mme Ommeslag. On peut se les procurer dans toutes les pharmacies raison de 3 fr. 50 la boîte ou de 19 fr. pour 6 boî tes ou franco par la poste en faisant la demande la Pharmacie Anglaise de Oh Deiacre. 50-52, rue Goudenberg, Bruxelles Dépôt général pour la Belgi que. (9) Depuis Mercredi se déroulent devant la cour d'assises de Hambourg les péri péties du procès sensationnel intenté la femme Wiese, inculpée d'une série horrible de forfaits. Le procès a attiré une foule énorme aux audiences. A mesure que le drame judiciaire se déroule l'intérêt s'accroît La cour a, en effet, sérié les divers cri mes reprochés la femme Wiese et cel le-ci apparaît de plus en plus comme ie monstre face humaine qui se débat dans les mailles de la justice vengeres se. Elle comparait vêtue de noir. Un voi le épais lui enveloppe la tête au point de ne laisser apparaître qu'un coin de la figure. La pâleur de la face apparaît sinistre sous ce voile noir, mais les yeux vifs et inquiets fouillent l'auditoire, courent du public la cour, puis la table où sous un drap sont cachés les funèbres débris de ses petites victimes Après l'interrogatoire d'usage, le président de la cour adresse l'accusée les paroles suivantes Accusée, il s'agit ici d'une affaire monstrueuse, une affai re si grave que rarement la justice hu maine en rencontra de semblable Vous savez que si une partie seulement de l'accusation est établie une peine sévè re, la plus sévère du code criminel, vous sera appliquée Vous avez nié vo tre culpabilité au cours de l'instruc tion, mais vous vous êtes tellement contredite que les plus terribles accu sations apparaissent comme fondées. C'est en vain que vous avez essayé d'expliquer la disparition des nom breux enfants confiés vos soins Vous avez forgé de véritables romans pour échapper aux accusations précises, mais inexorables, du juge d'instruc tion. Le moment est venu d'alléger votre conscience par des aveux sans détours. Si vous avez encore une conscience, c'est elle que je m'adresse Certes, le tribunal ne pourra pas éviter les justes sanctions, mais pour le pécheur repen tant il existe encore un moyen de grâ ce. Je vous demande donc Vous re connaissez-vous coupable des faits arti culés par l'accusation Elle a regardé le président de la cour un moment puis distinctement Non, je n'ai pas fait disparaître d'enfant, je n'ai pas tué d'enfant, je n'ai rien fait La première affaire est la disparition de la petite Bertha Blanck, née le 26 Février 1903. Sur le sort de cette enfant la femme Wiese a successivement four ni dix-sept versions différentes. Elle prétend finalement que l'enfant a été remise un Dr Franck, amant de sa fil le Paula. Mais elle ne sait ce qu'est de venu ce Franck. Des témoins vien dront établir que l'enfant remise d'a bord une femme Wulfing fut rap portée par celle-ci car on ne lui paya qu'un mois de nourrice, soit 25 fr Ls lendemain de son retour chez la femme Wiese, la petite Blanck avait disparu. L'inspecteur criminel Medo, chargé de faire des recherches, vient affirmer que le personnage nommé Franck est de meuré introuvable. Il pense cependant que Franck est un nom d'emprunt ca chant un personnage que la penr du scandale retient seule loin du prétoire. Interrogée, la femme Wiese se canton ne dans son sys ème de défense Pour un deuxième enfant, le petit Klotzsche, né le 9 Octobre 1902, il est établi qu'il a également disparu. La femme Wiese a remis les papiers con cernant l'enfant une femme Schwec- ke et celle-ci envoya son propre enfant dans un orphelinat où il mourut tous le nom de Klotzsche. Il y a donc eu sub stitution d'état-civil pour dissimuler la disparition d'un enfant. Interrogée, la femme Wiese, recon naît la substitution mus accuse son mari d'avoir tué l'enfant aprè" l'avoir souillé. Il s'agit ici d'un mensonge au dacieux car, brouillée avec son mari* qui la gênait, la femme Wiese, n'eût pas hésité a dénoncer ce prétendu cri me et, sans recourir l'empoisonne ment, elle se trouvait débarrassée de son mari. Pour étayer cette accusation monstrueuse, la femme Wiese a simulé une correspondance secrète avec son mari. Sur une feuille de papier elle écrivit quelques mots ayant trait au meurtre d'un enfant et plaça le papier dans la poche d'une codétenue qui al lait être libérée. Elle savait que sa co détenue serait fouillée sa sortie et que le papier tomberait ainsi entre les mains de la justice. Pour un troisième enfant, le petit Schultheis. né le 31 Décembre 1902, l'accusée prétend qu'elle le céda une famille viennoise nommée Ziegler A l'appui de son assertion, elle citait plu sieurs témoins qui auraient servi d'in termédiaires ou qui auraient en con naissance de la cession. Or, tous les té moins cités se récusent 'Ils ne connais sent pas la famille Ziegler et n'ont ja mais entendu parler du petit Schul theis. Le témoin Berg, qui aurait assis té aux conciliabules, oppose un démen ti énergique. Pendant la déposition de la mère du petit Schultheis, celle-ci est prise d'une violente attaque et il faut la conduire hors de la salle. Pour un quatrième enfant, le petit Sommer, né le 23 Décembre 1902. la femme Wiese a donné successivement plusieurs explications insoutenables. Enfin elle prétend que le petit Sommer est en Amérique, sans pouvoir fourufr aucune preuve l'appui de son dire. D'autres témoins viennent parler d'en fants confiés a la femme WTese Mais celle-ci soigna si mal les petits êtres que leurs mères vinrent les rechercher peu de jours après. L'accusation n'a pas retenu les der niers faits. Elle prétend que les enfants disparus out été tués par des in,ecti«. .is de morphine et ensuite incinéréB par l'accusée. De Beukelaer's Crème Suisse biscuit nouveau! La Manufacture brevetée Der deyn Frères Rou ler», vient de se distinguer dans l'Exposition locale de la Gilde des Métiers, où elle a obtenu la plus haute récompense pour ses pianos et son pédalier séparé breveté. Médaillé d'or et diplôme de 1" classe avec la plus grande distinction lr prix pour l'étalagé le mieux choisi. 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Le Progrès (1841-1914) | 1904 | | pagina 3