COURSES D'YPRES société; des anciens pompiers G o n c e r t-T a b a g i e de l'ecole d'équiwion. 2800 Francs «le Prix. ville d'ypres. Wervicq. Le 18 Juin. tin 2Mai 1905, Dimanche 4 Juin 1905, 2 heures, TROT MONTÉ, ATTELÉ ET AU GALOP Ten bnreele van dit blad POSTRAART aan ÎO cent. Iiet stuk. Révision des listes Électorales. Le Collège des BourgmestreetEehe- vms de la ville d Ypres porte la con naissance du public, quen conformité de I article 55 du code électoral, il sera procédé, du lr Juillet au 31 Août pro chain, la révision des listes des ci toyens appelés participera I élection des membres des Chambres législati ves. du Conseil provincial et du Con seil Communal, du lr Mai 1906 au 30 Avril 1907. Suivant l'article 54- de la même loi, tout citoyen est invité produire, avant lel' .Tuillet, au Se crétariat Communal, les titres de ceux qui, n'étant pas inscrits sur les listes en vigueur, ont droit l'electorat, ainsi que de ceux qui, ne figurant sur ces listes que pour un nombre insuf fisant de votes, ont droit des votes supplémentaires. Les citoyens ont intérêt observer cette recommandation, afin déviter, autant que possible, les réclamations devant le collège et devant la cour d appel. Les Bourgmestre et Ecbevins, R COLAERT Le Secrétaire. M GORRISSEN En aveu Déficit <ie 22 millions Le gouvernement et l'armée. IV instgeveude loesland. Chronique judiciaire. Il n'y a pas de meilleure preuve que le témoignage des gens d'Y près. Voir l'état-civil la ime page. xante-quinze ans, de F usine gaz de la ville une compagnie privée. A cette occasion, les tribunes étaient remplies de vwnde, qui manifesta son mécontente ment en traitant les conseillers de vo leurs et en sifflantLa poltce a dû faire évacuer les tribunes au milieu d un grand tumulte. DE LA VILLE D'Y PRES 8 1/2 heures du soir. PROGRAMME. 1» Partie. 1 Pacificateurmarche mil. H. Moerman. 2 Sonateadagio-allegro, Beethoven orchestrée par M. H. .Vloerman. 3. Polonaise de concertChopin, orchestrée par M. H. Moerman. 4. Espana, yalse, Chabier. arrangée par Waldteutfel. 2me Partie. 1. La pluie d'or, Bouillon, pour clarinette par M. N Billiau. 2. Si vous saviezTagliafico. romance par M. A. Maes. 3. Fantaisie variée, Brod. pour Hautbois par M. R. Moerman. 4. a) Murmures de laforêtLiszt. b) Cherzo en si bémol mineur, Chopin, pour piano par M H. Moerman. 5. Les Adieux, Goltermann. pour violoncelleparM C. Christiaen. 6 J'aime rêver, Tagliafico. romance par M A. Maes. avec le bienvaillant concours Pour leB engagements s'adresser au Secrétariat du Trotting-Club, chez A. Gernay, 56, rue de Buda, COURTRA1. kan men de bekomen van het root Procès, Décoration civique. La médaille de 3ecUsse est décernée A MM. Brabants, veilleur de nuit de Popennghe Gerber, messager-concier ge, îd Xj *r< 1906 1907. Ypres. le 15 Mai 1905. Notre Echevin des finances s'obstine ne pas vouloir admettre, que l'on discute ses actes politiques et adminis tratifs, ainsi que ceux de ses collègues du Conseil communal. Il est bien entendu que leurs faits et gestes ne doivent être ni examinés. ni critiqués par le commun des mortels, pour la raison bieu simple que, grâce l'active intervention de notre Echevin des finances, tout ce qu'ils font est parfait!? Un de nos amis a poussé le sans-gêne aussi lojn, de se permettre de poser M. l'Echevin des finances une série de 17 questions très précises, qui pour la plupart, n'exigeaient pour toute répon se, qu'un simple oui ou non. Vous croyez peut-être, que M. l'E chevin des finances a profité de cette occasion propice pour confondre ses ad versaires politiques Grave erreur Depuis quatre mois, M. l'Echevin des finances, garde de Conrard le silence prudent, se conten tant de s'écrier, le cas échéant u C'est idiot i Ce sont des incapablesdes déséquili brés, des fous Arguments irréfutables, nous en convenons bien volontiers, et qui sans doute feront passer la postérité le nom de ce grand homme Qui sait, si un jour, sa ville adoptive, dans un sublime élan d'admiration et de reconnaissance n'élèvera ce génie une statue 11 est vrai que des grincheux trou vent 1° que ce procédé contraste sin gulièrement avec ses défis et ses provo cations en duol oratoire, d'il y a quel ques mois 2° Que l'argument invoqué au der nier alinéa de sa lettre du 1 Février 1905 (voir Journal d'Ypres) se retourne contre lui-même 3° Qu'enfin, s'il ne se décide pas répondre point par point aux questions posées c'est pour cause Nous espérons, que M. l'Echevin des finances ne voudra pas rester plus longtemps sous le coup de ces appré ciations rien moins que flatteuses. AJIon3, mon brave Echevin du nerf A vous, la parole Le succès obtenu par la première journée de conférences a décidé la Li gue Nationale de Propagande Libérale préparer immédiatement l'organisation d'une 2ejournée libérale analogueàcel- le de Dimanche dernier. La date fixée par le bureau estcelledu 18Juin, c'est- dire le Dimanche après la Pentecôte. Il y aura ce jour là une nouvelle série de conférences dans les provinces qui doivent élire des députés en 1906, mais on aura soin de choisir pour chaque réunion une autre commune que celle où l'on a donné la conférence du 7 Mai. En outre, la Ligue Nationale ne veut pas négliger le mouvement des idées libé rales dans les autres provinces qui out élu leurs députés l'année dernière et manifesté d'une façon aussi brillante le réveil du parti libéral. Un certain nombre de conférences auront lieu éga lement dans le Hainaut, la province de Liège, le Limbourg et la Flandre orien tale. L'enthousiasme soulevé par la manifestation de Dimanche dernier permet d'espérer un succès plus gran diose encore pour le 18 Juin f De la Gazette de Huy, ces lignes con vaincantes au sujet de l'admirable ges tion financière du gouvernement cléri cal M. de Smet a déposé sur le bureau de la Chambre l'exposé de la situation générale du Trésor public au ltr Janvier 1905. Le document vient d'être publié il comprend les exercices clos de 1902 et 1903 et les prévisions pour l'exercice 1904. Nous en tirons ces chiffres Francs. Pour 19i>2 l'Eial a encai-sé 627,730,060-08 La même année il a dépensé 615,356,076 21 D'où, pour 1902, un boni de 12,393,983 87 Pour 1903 l'Etat a encaissé 632,346,106-63 La même année, il a dépensé 627,975.368-34 D'où, pour 1903, un boni de 4,370,538 29 Pour 1904, les prévisions s'établissent com me suit Dépenses 692,359,716-26 francs. Kecettes 670,430,805-60 francs. Déficit 21,820,910-66 francs. Donc, le boni de 12 millions en 1902 se réduit 4 millions en 1903 pour se transformer en 1904 en un déficit de près de 22 millions. Telles sont les révélations que nous font le?, documents officiels présen tés par le ministre lui-même. Et dire que d'autre part en cette même année, la dette s'est encore grossie du chiffre respectable de plus de t;JT mil lions Voilà qui donne singulièrement rai son aux prévisions de M de Lantsheere un membre de la droite cependant qui déclarait que nous courrions la banqueroute Décidément, nous pouvons dire que nous avons la tête du gouvernement un financier génial Le Journal de Liège publie l'articulet suivant, qui donne une haute idée de la situation de l'armée, telles que l'ont voulue les cléricaux Le nouveau régime militaire, tout en nous donnant une armée insuffisante en temps de guerre, nulle en temps de paix, est ruineux. Aussi le département de la guerre ne dispose t il pas des ressources suffi santes pour couvrir les dépenses exi gées par l'organisation actuelle. De là les congés sans solde en quelque sorte obligatoires, et l'affai blissement des effectifs Mais ce manque de ressources a eu d'autres conséquences plus graves, qui étaient restées inconnues jusqu'ici. Fendant les derniers mois de l'an née dernière, l'intendance n'ayant plus de ressources, a été obligée de liquider ses réserves, sinon la nourriture de l'ar mée n'aurait pas été assurée. Et elle a dû acheter ensuite tout ce qui concerne son administration cré dit sur l'exercice de cette année. Ue fait sensationnel donne croire que, vu l'état des finances, les dépen ses relatives la mobilisation out été radicalement suspendues et que les magasina sont vides comme les arse naux. C'est une question que l'on se pose avec angoisse dans les milieux militai res... Si quelque confiit surgissait sou dain qu'adviendrait-il Bref, nous pouvons affirmer que faute de ressources, l'intendance, pen dant les trois derniers mois de l'année dernière, a été obligée de liquider ses réser ves, alors que, réglementairement,elles doivent toujours subsister, renouvelées au fur et mesure de leur épuisement pour être maintenues globalement in tactes Voilà où nous ont conduit vingt an nées de régime clérical. Il est doulou reux de devoir le constater au moment où l'on va fêter le 75'' anniversaire na tional. Aan aile personen die liunne ledige uren willen toewijden aan volksverzekeringen, ge- makkelijk vverk, Iiet isgenoeg te kunnen leze.i en schrijven. Opziener zet op de lioogle. Selirijv naar La Populaire, hamenw. Maat- schappij, 18, Julius Van Praeistr., Rrussel, die in drie jaren meer dan 8 millioen zaken verwezenlIjki lieefl staat liare agenten een hoog komraissieloon tee, en een aftochts-pen- sioen kunnende beloopen tôt 2 fr per dag Geen borg, nu noeb later. Cour d'assises de la Flandre Occidentale. En vertu d'une ordonnance de M. le président Van Maele, ft premier prési dant de la cour d'appel de Gan I, en date du 16 Mai, la troisième session des assises de la Flandre Occidentale, se tiendra Bruges^ le Lundi 10 Juillet 1905, dix heures du matin, sons la présidence de M. le conseiller De Bie. Tj n o Nous désirons appeler votre attention sur l'un des points principaux de tou tes ces causeries faites avec le public. On cite toujours les exposés des gens d'Ypres. Un homme habitant l'Alle magne pourrait peut-être vous envoyer ce sujet une lettre éloquente et rem plie de vérité mais vous préféreriez sans doute, n'est-ce pas, en recevoir une d'un habitant de votre ville. Rien de sensationnel. Quand on est malade et que l'on prend le remède voulu, il est tout naturel d'obtenir un résultat satisfaisant. Mme Eveline Lepaire-Michiels, 6, rue des Trèfles, Y'près, nous dit Je souffrais énormément des reins de puis plus de six mois, surtout quand je devais me baisser, les douleurs étaient alors très aiguës, je n'avais plus que peu de sommeil et encore était-il bien agité, je n'avais plus de repos et me levais toute harassée et les mem bres engourdis, j'avais toujours des maux de tête et des vertiges, mes uri nes étaient chargées et je perdais tout appétit les soins et les remèdes ne m'étaient d'aucune avance, je ne savais plus que faire et me désespérais quand je voulus prendre des Pilules Foster pour les ReinB dont on parlait beau coup et que je cherchai la Pharmacie Becuwe Ypres. A ma joie étonnée, dès le troisième jour, je me sentis bien soulagée de jour en jour mon état s'améliora vue d'œil, si bien qu'en moins de quinze jours, j'étais enfin guérie. Un petit mot aux femmes Beaucoup de vous semblent être constamment indisposées peut-être souffrez-vous de douleurs sourdes daas le dos, de malaises ressemblant l'affaissement, de migraines ou de surexcitation des nerfs. Ne vous hâtez pas d'en conclure que vous êtes atteintes d'une de ces maladies auxquelles les femmes sont Biqettes. Un grand nombre de ces pré tendues u maladies de femmes ne sont autre chose qu'une affection des reius. Il se peut que vous soyez irrita bles, nerveuses ou abattues, mais ne perdez pas courage et cessez de penser des maux imaginaires, ce sont peut- être vos reins qui sont en jeu. Pour quoi ne pas vous en assurer Assurez-vous qu'on vous donne les Pilules Foster pour les Reins s de la même espèce que celles qu'à eues Mme Lepaire-Michiels. On peut se leB procurer dans tontes les pharmacies raison de 3 fr. 50 la boîte ou de 19 fr. pour 6 boîtes ou franco par la poste en taisant la demande la Pharmacie Anglaise de Ch Delacre, 50-52, rue Goudenberg, Bruxelles. Dépôt géné ral pour la Belgique. (1) ooooooo sn a.O iuO aO O O O O -Ci XWflîOOhO-» -r- «r* o o t— <?1 oooooooo oovaoosftou- X Vlî X o O c - O O <3^ o o o o O O 00 o o o o o o 00 Q- •£- 2 g =r A Ji= - ?E% 5? 5 2 S 02 O'i o ■jï a. a. n o

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Le Progrès (1841-1914) | 1905 | | pagina 3