w instgevende toestand. rflRSNC ATTENTION WCTÉt État-Civil cTYpres. Secours aux affligés. Le bilan de la séparation. DE BEUKELAER S HOPJES. Théâtre des Galeries La Revue (les Galeries. Pour éviter toute erreur, le dentiste Maurice \!K!idl, de Courlrai y a l'honneur d'in former sa nombreuse clientèle ainsi que les personnes qui au raient l'intention de venir le con sulter qu'il y a un nouveau den tiste portant le même nom et avec h qui I il n'a aucune relation commerciale, qui vient près deux maisons de sa demeure. Il les prie de bit n informer s'ils sont clie/. l'ancien dentiste Maurice M El LU, de Courtrai, qui est consulter près depuis 10 ans chez Mn" Veuve V.W K.LMMKL, Grand'Place, 5 (mai son fermée) les Lundi, Jeudi et Samedi, de 9 4 li. Il n'a ni frère, ni fils, ni parent chargé de représenter sa maison AVIS. ci 2 1 Markten. 4. Scène comique. 5. Mouvements avec drapeaux pour pupilles. 6 Morceau pour piano, par M. V. 7 M. A. Deraedt, chanteur de genre, dans son répertoire 8. GRAND BALLET VILLAGEOIS. L'article qui suit sera peut-être la raisondu soulagement d'un grand nom bre de souffrances ici Ypres et nous ne pouvons qu'apprécier l'esprit de gé nérosité qui a gui lé notre voisin par ler et faire cette révélation dans l'inté rêt commun. Mra* V9 Van Beselaere, 4, rue de l'Arrosage, Ypres, nous dit C'est avec reconnaissance que je puis dire que c'est grâce aux Pilules Foster que je fus enfin guérie en moins de quinze jours de temps d'un affreux mal de reins qui me faisait souffrir le martyre depuis plus de deux ans et qui avait résisté tous les soins et remè des dès le matin j'étais toujours fati guée, je me sentais faible sur mes jam bes, j'avais des éblouissements, j'étais fiévreuse, c'est avec peine que j'arri vais faire mon ménage, car le moin dre effort m'était pénible et lorsque je voulais me courber les souffrances étaient atroces, je me désespérais de ne pouvoir arriver au moindre soulage ment, lorsque je fis usage des Pilules Foster pour les Reins que vend la Pharmacie Becuwe. Je fus soulagée dès les premiersjours et maigre mes septante et un ans, il me semblait être tout rajeunie, j'étais plus courageuse, je pouvais faire enfin ma besogne sans fatigue et rues douleurs étaient complètement disparues mon heureuse satisfaction Je certifie exact ce qui précède et vous autorise le pu blier. Exigez bien les véritables Pilules Fo»ter pour les Reins dont l'efficacité est universellement connue elles sont uniques dans leur genre surtout ne vous laissez pas substituer une imita tion avec un nom plus ou moinB appro chant. On peut se les procurer dans toutes les pharmacies raison de 3 fr. 50 la boite ou de 19 fr. les 6 boîtes ou franco par la poste en envoyant le mon tant voulu au Dépôt Général pour la Belgique Pharmacie Anglaise, Oh. Delacre, 50 rue Ooudenberg, Bruxelles Méfiez-vous des imitations, exigez la signature James Foster surcliaque boî te. P. Y. 5. L» loi sur la séparation des églises et de l'Etat a été votée par le Sénat fran çais, par 181 voix contre 82. Voici comment un catholique, M. Henri des Houx, apprécie cette loi. Les douleurs qui toujours accompa- Ïnent les détachements ont pris fin. /irrévocable est accompli. Les liens qui, eu France unissaient l'Église et l'Etat sont rompus. En tout temps, ils avaient toujours quelque peu gêné l'u ne et l'autre partie contractante. De puis quelques années, ils devenaient intoléiables, Un régime qui aboutissait la va cance indéfinie de près de 20 pour 100 des diocèses ne peut être vraiment re gratté par les catholiques sincères. Au reste, il n'est plus temps de récri miner ou de se lamenter Les catholi ques français se trouvent en face du fait accompli. Avant même d'adopter les résolutions que leur commande le nouvel état de choses, ils doivent se rendre compte de ce qu'ils perdent et de ce qu'ils gagnent L'Eglise de France perd le caractère d'établissement officiel, subventionné. Ses ministres de tout ordre n'auront plus rang de fonctionnaires. Après cinq ans, ils ne jouiront plus de l'usage gra tuit des palais et des presbytères afl'ec tés leur logement, et, lorsque le temps aura éteint les derniers survi vants du clergé actuel, aucun évêque, aucun prêtre ne bénéficiera des alloca tions publiques. Cette perte semblera douloureuse surtout ceux dont l'âme n'est pas en flammée du pur zèle apostolique, ceux que, récemment, haranguait avec tant d'éloquence un de nos pins bril lants évêques, et qui cherchaient sur tout dans le sacerdoce l'avantage d'une vie paisible, modestement rétribué-, honorée sans grands troubles et sans violents tracas La loi apportera un changement aux habitudes du clergé séculier, chose tou jours pénible. Mais quand les souve nirs du fonctionuansme ecclésiastique se seront pieu peu effacés, quand l es- prit apostolique aura été ravivé par I épreuve, nul doute que les prêtres, at tirés au sacerdoce par une héroïque vo cation, ne se sentent rehaussés en di gnité et largement consolés par les fruits plus abondants de leur labeur sacerdotal. Il arrivera certainement aussi que, dans les diocèses pauvres, le nombre des paroisses subira une sensible dimi nution. Les associations cultuelles s'é- tendroDt sur de plu6 vastes territoires II faudra se résigner parcourir de plus longues routes pour distribuer ou rece voir les bénédictions religieuses. La foi saura bien redresser les sentiers tor tueux et franchir les montagnes Surtout dans les premiers temps, il est certain que le recrutement du cier ge sera plus difficile. Faut-ils'en affli ger La qualité suppléera la quanti té. Lorsqu'un jeune lévite aura accepté volontairement une mission ingrate, dépourvue de tout privilège, de tout avantage matériel et de tout honuear officiel, celui-là sera un bon prêtre et les récompenses intérieures ne lui man queront pas. Beaucoup estiment déjà que ces per tes apparentes constituent de véritables gains. Encore ne faut-il pas méconnaître les avantages réels et même matériels que la loi apporte l'Église de France. Elle garde la jouissance perpétuelle et gratuite des édifices du cuite, qui représentent uu immense capital. Daus les pays où le culte a toujours été li bre, où lus concordats sont restés in- counus, ces cathédrales, ces églises ont coûté des sacrifices énormes aux fidè les. Sans doute, beaucoup des temples catholiques de France ont été élevés, surtout avant le Concordat, par les co tisations des croyants. C'est donc justi ce de les attribuer perpétuellement la destination voulue par leurs fonda teurs. Mais n'est-ce rien que ce respect de la justice N'est-ce rien que la pos session reconnue du patrimoine reli gieux légué par la foi des ancêtres m Combien les gains moraux l'empor tent sur les gains matériels Voici l'Eglise de Frauce affranchie de la tutelle de l'Etat, si répuguaute ses principes, ses lois fondamentales. Par l'ai ticle 4, les associations dont l'existence eera reconnue sont celles qui se conformeront aux règles d'orga- nisatiou générale du culte c'est-à- dire celles qui seront formées, pour l'Eglise catholique, suivant, les règles du droit canon, auxquelles leC'oncordat avait apporté de si graves infractions. Les évêques seront nommés par le pape et choisis souverainement par lui parmi les candidats présentés par les chapitres. Plus de distinction entre les curés doyens et les desservants plus besoin de l'agrément de l'Etat pour les premiers, plus d'humiliante amovi bilitépour les autres. Est-ce que ce n'est pas là un avanta ge infiniment précieux Est-ce que ce n'est pas un progrès, non seulement sur le régime concordataire, mais aussi sur les anciens régimes de droit régalien Est-ce que les catholiques seront insen- siblesà cet état de choses qui restaure la plénitude de l'uuité de l'Église Enfin, les articles organiques, sans cesse réprouvés par le Saint Siège, sont définitivement abolis Sans doute, la loi actuelle et le rè glement qui interviendra édictent et édicteront des mesures de police. Les sanctions pénales n'ont jamais inquiété les braves gens. Si le clergé reste fidèle ses devoirs, ces mesures ne le gêneront pas. Pour accomplir sa missiou, il n'a pas besoin d'outrager les pouvoirs publics ni les fonctionnaires civils, non plus que de se mêler aux querelles politi ques. Son domaine est celui de la conscience, du for intérieur. Son ac tion légitime s'exerce sur lésâmes. Là, personne n'aura le droit d'intervenir et de le troubler. Là, il sera chez lui, l'abridps ingérences extérieures S'il se tient fortement retranché dans l'ac complissement de ses devoirs, il exer cera l'influence la plus salutaire et la plus féconde pour le bien du pays II formera de bons citoyens et de bonnes mères de famille. Pour cela, il n'aura pas besoin de prêcher la guerre et de semer la discorde. Au contraire, il con tribuera puissamment la paix publi que. Certes, on ne saurait garantir que les pasteurs du Christ demeureront tou jours l'abri des persécutions, des tra casseries. des tribulations. 11 suffira que les agressions soient injustes et que, pour les repousser, on ait le droit d'invoquer la loi du 8 Décembre 1905 Si les catholiques savent comprendre les avantages de cette loi, s'ils savent pratiquer sag<-m nt et chrétiennement les libertés qu'elle leur concède, alors, bien mieux que le Concordat, la nou velle loi méritera d'être appelée un instrument de paix. Il ne nous appartient pas de devan cer les décisions dn Saint-Siège. Mais il est p'rmis de les désirer conformes l'intérêt deB catholiques français. Leur intérêt évident est l'acceptation de la loi Henbi des Houx. BRUXELLES Immense succès La nouvelle version de la Revue des Galeries n'est pas appelée un succès moindre que la première Re vue, remaniée,transformée la «Revue» s'est enrichie de scènes nombreuses parmi lesquelles il faut citer en pre mier lieu une très amusante parodie d'Armide, M. Cromelynck y incarne de façon inéuarrablemeut drôle un célè bre musicien bruxellois. Un événement seusationuel a été la rentrée de Ma,u Angèle Van Loo, l'en fant gâtée du public bruxellois a qui, dès le premier soir le public a réclamé le fameux Cramignou Depuis lors la joyeuse farandole re descend chaque soir dans la salle com me autrefois, M"ies Lanthenay, Efy, Oryan, Gilles, Raimbault, MMrs Colas, Lespinasse, Baltue, Manoy, MeBlin, rivalisent de verve et de gaieté. Aujourd'hui Dimanche, la revue sera donnée en matinée 2 h. et le soir 8 heures 56m® représentation. On peut retenir ses places par lettre, dépêche et téléphone 486. Aan aile personen die hunne ledige uren willen toewijden aan volksverzekeringen, ge- makkelijk werk, het isgenoeg te kunnen lezen en schrijven. Opziener zet op de hoogte. Scbrijv naar La Populaire, Samenw. Maat- schappij, 18, Juhus Van Praetstr., Rrussel, die in drie jaren meer dan 8 millioen zaken vervvezenlijkt lieeft staat hare agenten een hoog kommissieloon toe, en een aftochts-pen- sioen kunnende beloopen tôt 2 fr. per dag. Geen borg, nu nocii later. four EnfàntsrBffwdMQ'ftfcs Déclarations du 8 au ta Décembre 1903. Xaissances Dewitte, Florence, rue de Terre Deleu, Julienne, chaussée de Zonne- beke. Cooren, Ivonne, rua des Bou deurs. Degroote, Marie, chaussée de Kemmel. Verhaeghe, Léonie, chaus sée de Kemmeî. Snauwaert, Hilda, rue S! Nicolas Vanspranghe, Ger maine, rue de Lille. Hof, Marie, rue S1® Elisabeth ifariage Waselynck, Gustave, peintre, et Vandenbussche, Hélène, buandière, tous deax Y près. Décès Duflou, Jacques, 67 aue, tisserand, époux de Bartier, Philoaaène, Hoorn- werk.— Cornu, Victorine, 55 ans. sans profession, veuve de Delhaye, Hippoly- te, chaussée de Poperinghe Ooghe, Amélie, 75 ans, sans profession, veuve de Leun, Charles, rue Fr zeiioerg Decroix, Emile, 56 ans, ouvrier agrico le, célibataire, rue Longue le Timu- rout. Vanlanduyt, Hector, 32 ans, cultivateur, célibataire, rue Longue de Thourout. Degryse, Hélène, 14 ans, sans profession, chaussée de Zon- nebeke. Wecksteen, Marie, 50 aus, boutiquière, célibataire, rue des Hal les Versavel, Arthur, 3 mois, rue des Aveugles. Vanlede, Mélanie, 71 ans,sans profession célibataire, rue de Lille. Le bureau de l'Etat-Civil sera ou vert les Dimanches 24 et 31 Décem bre, de 11 12 heures, les Mardis 26 Décembre et 2 Janvier, de 9 11 heu res CO 05 a XI o 3 fc~ -o W» c </3 a) *3 - o O o S s* X C3 O Û- y; ri a; io 5 t 2 3 O- U5 v !s C/5 S a a, CC tJÏ ZJ 2 sl'oj c- O *2 S K 2 OaCOOOOO^O acr—ooooo-r-« O O O co x S s 1 a 2 2 ooooooo^ ooooo-aoo OOCÛC5COOOM O O <X> 9* O O O o o o O O O O O O CO C© Cx3 X M Cd ÛS r~ri Z s P s f- a r fr X Z C5 S n <u a> s o- a> S5 c u S tÇe c £.-3 E s- *03 C, fc-x<û.Cfc-a,ûûO Alost, 9 Dec. Tarwe, per 132 lit 50 c, fr. 00-00 toi 00-00 masteluin, 00-00 tôt 00-00 rogge, 00-00 lot 00-00 havei, 00-00 toi 00-00, Aardappelen, de 100 kilos, 10-00 toi 00-00 boler, 3 kil., 7-91 tôt 8-72 eieren de 25, 3 50 lot 3-75 Hoppe, 1'merk, per50 kilfr. 45-00 dilo 1905, 00-00, 00 andere nvrkeo, toi 43 30 tôt 00 00. Vlas, 3 kil,, 0-00 toi 0-00. Brugge, 9 Dec. Taivve, 100 kil., fr. 18-50; rogge, 16-35 haver, 19-50; gerst, 17-50 zoruergerst, 00-00. Aardappelen, 100 kil., 9- 00 tôt 0-00 boter, de kil., 2-61 tôt G-00. Vlas, 1-41. Wareguem, 9 Dec. Men rek> nt tr 100 kil. Vlas, Ir. 93-00 toi 150-00 afval, 32-00 tôt 55-00 Kortrijk, 11 Dec YViite taiwe. 100 kil., 16-25 lot 16-50, roode id. 15-50 lot 00-00, rogge, 13-00 toi 00 00 baver, 100 kil., 16-50 tôt 17-00 veldboonen, 00-00 tôt 00-00. Geele aardappelen, 100 kil., 10-60 tôt 10-50; roode, 10-75 tôt 00-0. Boter, 1/2 kil., 1-40 toi 1-43 eieren, de 25, 4-00 lot 4-10. Koolzaadolie, 100 kil., fr. 52-50 toi 00-00 zijnzaad id, 37-00 lot 00-00 koolzaad, 00-00 lot 00-00 lijnzaad 00-00 lot 00-00 kool- zaadkoek, 13-00 toi 00-00 liinzaadkoek, 19-00 lot 21-00. Suikenjen fr. 12-50 lot 13-25 pellen 00-00 tôt 00 Kortrijk, 11 Dec Veemarkt Verkoop 382 beesten. Prijs per kilo, gewiclit op voet Vaarzen 1« klas, fr. 0-80 2e id., 0-75 3' id0-68. Ossen. Ie klas, 0-80 2e id., 0-74; 3' id., 0-67 Koeien klas, 0-72; 2* id.0-65 3' ni., 0-63. Stiers 1e klas, 0-81 2' id., 0-70 3* id., 0 65. Deyuze, 13 Dec. Aardappelen, fr. 9-00 tôt 9-50 boter, de kilo. 2-70 tôt 2-90 eteren, de 26, 3-o9 toi 3-78 Afval vau vlas, Ie kwaliteit 100 kil 25 tôt 30 2- id., 20 toi 25 3* id., 15 tôt 20 4' id., 10 lot 15 Hesp, de kilo, 1-60 tôt 1-70.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1905 | | pagina 3