Revalenta du Barry.
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Voir la» unité «les
articles la Ie page
Nous lisons dans l'Echo du Luxem
bourg
Quelques notes rétrospectives.
L'excursion s'est poursuivie et terminée,
conformément au programme arrêté, favo
risée pendant (oute la durée, par un temps
splendide.
Les excursionnistes ont emporté de leurs
pérégrinations travers notre contrée une
excellente impression due en premier lieu
aux charmes de la nature si pittoresque du
Grand Duché, l'intérêt très grand des
choses observées, la bonne entente, an
courant de sympathiequi n'a cessé d'exister,
depuis le premier jour jusqu'au dernier,
entre tous les participants, et aussi l'ac
cueil si cordial des personnes qui ont bien
voulu faire les honneurs do leur home
aux étrangers.
ce dernier point de vue, les excursion
nistes garderont le meilleur souvenir de leur
passage dans la charmante et paisible de
meure de M le Dr Grégorius d'Attert, des
aimables souhaits de bienvenue de M. et Mme
Ensch-Tesrh. dans leurs salons tout jonchés
de fleurs superbes en l'honneur des dames,
de la cordiale r éception de la Gesellschaft
Luxemburger Naturfreunde au local du
Casino luxembourgeois et de M. et M"1'
Klein en leur demeure.
A
L'Administration communale d'Arlon re
présentée par MM. Erisch-Tesch, Router,
Oh. Hubert et Dr Grégorius ont fait d'une
manière charmante aux visitpurs les hon
neurs du Belvédère de S' Donat M. J. B
Sibenaler, avec sa onne grâce et son talent
accoutumés leur a montré et expliqué les
choses remarquables de notre Musée archéo
logique, les comités locaux de l'Extension
Arlon et Luxembourg leur ont servi de
guide pour la visite des deux villes A tous
ces Messieurs, les excursionnistes sont heu
reux de présenter l'expression de leur vive
reconnaissance.
a r
Un exemple e. tre beaucoup d'autre des
leçons de choses présentées au cours de
l'excursion une bien jolie petite plante qui
se trouve sur les murs de nos jardins, et
rencontrée dans la flore des remparts de
Luxembourg, le dernier jour de l'excursion,
donne Melle Wéry, docteur en sciences
naturelles et professeur aux cours supérieurs
de la ville de n, ..ndioo, l'ut.ii de faire
une causerie charmante dont voici la sub
stance
La LINA1RE CYMBALAIRE (linaria
ryrribalaria) n'a que des rameaux très grê
les, très souples et pendants, incapables de
soutenir loin du mur les feuilles qui doivent
pourtant, pour remplir leurs fonctions nour
ricières, recevoir en plein les radiations so
l-ires. Or, si l'on examine un assemblage de
plantes, on constate que toutes les feuilles
sont bien posées plat, de manière rece
voir le maximum de r»yons de plus, les
feuilles quoique placées des plans d ff'é-
rents, ne se recouvrent nullement et se dis
posent comme un groupe de personnages que
le photographe placerait au mieux pour
qu'ils puissent apparaître tous dans l'épreu -
ve photographique. A cause de l'inégal espa
cement des nœuds sur les tiges enchevê
trées. et toujours pour éviter le recouvre
ment par les feuilles l'avant plan, de celles
qui sont en arrière, le? feuilles sont d'iné
gale gr ndeur un large espace corres
pond une large feuille, tandis que dans un
espace [dus petit, il s'en intercale une de
moindres dimensions C'est cette disposi
tion des fend es propre assurer la plante
le maximum d'effet utile dans la nutrition,
disposition qui se rencontre d'ailleurs très-
lréquemment dans les arbres et les arbustes
de nos forêts que les biologistes ont donné le
t otn pittoresque de Mosaïque foliaire.
Pour assurer sa reproduction et la pro
pagation de son espèce, et te plante présen
te «s dispositions plus curieuses encore
D'abord comme dans beaucoup d'autres
fleiir->, la fécondation se fait par l'intermé-
itiaire des insectes qui sont attirés par les
couleurs très-vives de la jolie fleurette, elle-
même bien en vue, portée comme elle l'est,
sur une assez longue tige en avant de la
plante l'insecte averti par ses yeuxsait
qu'il trouve au fond de l'éperon un nectar
sucré en puisant ce suc au fond de la corol -
Je, il charge son dos du pollen des étamines,
et en visitant d'autres fleurs le dépose sur
le stygmate et assure la fécondation. Ce
n'est pas sans raison, comme on le voit,
que la fleur attire l'insecte qui, d'ailleurs,
retire bon profit de sa visite. C'est de
l'entente cordiale n bien comprise et qui
profite aux deux alliés Mais ce n'est pas tout
encore la fécor dation accomplie, si les
rhos°s restaient en l'état, si le fruit, résul
(it de la fécondation de la fleur, restait
l'avant plan comme celle-ci, bien peu de
graines parviendraient se fixer au reur qui
constitue l'habitat préféré de la plante. Aus
si après la fécondation, la tige du fruit exé-
cute-t elle un mouvement tournant de ma
nière mettre maintenant les graines l'a
bri des feuilles, et par sa croissance dans
cette direction opposée, elle ne manque pas
de pousser les graines dans les anfractuosi-
tés, les petites cavités que présente la surfa
ce irréguhère du mur ainsi elle leur donne
un point d'sppui convenable et leur as-tire
une situation favorable leur germination
et leur développement.
Est-il rien de plus aimable qu'une leçon
sur un sujet aussi intéressant, devant es
plantes irémet qui en donnent la démons
tration vivante, et lorsque, au charme du
sujet lui-même, se joint relui de la voix qui
l'expose, voix persuasive, parole coloree,
animée d un enthousi sme bien sincère.
H
Voici titre d'indication, les professions
exercées par les excursionnistes de l'exten
sion.
Deux médecins
Un médecin vétérinaire
Un dentiste
Deux professeurs
Un ingénieur de charbonnage
Un ingénieur-industriel
Un conducteur principal des Ponts et
Chaussées
Un rentier
Un météorologiste l'Observatoire
Un étudiant en pharmacie et sa jeune
dame.
Deux étudiants
Des dames appartenant l'enseignement
moyen et primaire Bruxelles
Un comptable
Un libraire éditeur
Un pharmacien retraité et ses demoiselles.
C'est tout une mosaïque professionnelle.
Il y a autant de diversité quant l'âge. Les
localités représentées étaient surtout Bru
xelles et ses faubourgs, Ypre«, Bruges.
Morlanwel'., La Hestre. Soignies, Nivelles,
Arlon, Luxembourg
Au dîner d'adieu, l'hôtel Clesse, M,
Jung, le si populaire et si aimable chef de
station de Luxembourg, membre très actif
du comité local d'extension, a dans un élo
quent discours, rendu un chaleureux hom
mage aux organisateurs et aux directeurs
de l'excursion, particulièrement M. le
professeur Klein qui. quoique appartenant
une auDe '-xtension. n'a pas hésité mettre
au service de notre œuvre de vulgarisation-,
son vaste savoir, son talent d'organisation,
tout son dévouement
Inutile de dire que les remerciements
qu'il lui a adressés ce sujet ont été souli
gnés d'unanimes applaudissements.
M"'1" Wery s'est fiite dans la même séan
ce, l'interprète dis membres auditeurs et
cils l'a fait avec autant de cœur qu'elle en
met nous raconter les péripéties de la vie
des plante-' qu'elle affectionne tant
Nou« avons le plaisir d'annoncer nos lec
teurs que les ext nsionnistes arlonaisauront,
l'hiver prochain, la bonne fortune d'entendre
Mette Wery traiter un sujet de biologie
végétale.
Le comité de l'Ext- nsion s'est aussi assu
ré le concours d - M. Vincent, météorologis
te l'Obs irvatoire, bien connu par _son
talent de vulgarisateur
-o- -Q-~ pk.tw
N'oubliez pas que pour faire une bonne lasse «le
café il faut y .«jouter de la CIII',0 Ét. F. C. JACOBS.
*ans purge et sans frais, par la délicieuse farine
de sanié la
Pour les convalescents, c'est la nourri
ture par excellence, l'aliment indispensable
pour réparer les forces épuisées par l'âge, le
travail ou les excès. Elle est aussi le meilleur
aliment pour élever les enfants, qui la pren
nent avec plaisir quand toute autre nourriture
leur répugne.
M. le D' Elmslie écrit ce sujet Votre
Revalenta vaut son pesant d'or
C'est avec le plus grand plaisir que je con-
firme l'efficacité de la Revalenta, remède
simple et toujours sans danger, dans les con-
slipations opiniâtres et invétérées et les diar-
r liées, où il piotluu l'effet de régulariser les
fonctions intestinales puis dans les fièvres
hectiques, surtout après la rougeole en un
mot, c'est un réel adjuvant dans toutes les
maladies où la nutrition est lésée.
Docteur Stein,
des facultés de Leyde (Hollande)
et de Moscou.
Messieurs, Lorsque j'ai commencé faire
usage de votre délicieuse farine, je ne pou-
vais plus rien supporter les aliments reve-
naient incessamment, le creux de l'estomac
toujours gonflé. Le manger me revenait dans
la bouche pleines gorgées, et lorqu'il n'y
avait plus rien dans l'estomac, je vomissais un
acide comme du verjus, ce qui m'était toutes
mes forces. Depuis que je fais usage de votre
Revalenta, mes forces reviennent de joui en
jour.
J. Payar, Saint-Arnaud.
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Vandenbussche, Agnès, rue du Vieux
Lapin Lamoot, Simonne, rue du
Temple. Beele, Henriette, chaussée
de Dixmude. - Coppens, Auguste, rue
des Boudeurs Maerten, Maurice,
rue des Boudeurs. Ulareboudt, Ju
lien, rue des Boudeurs. Kerrinckx,
Blanche, rue du Passage. Timper-
mau, Gérard, chaussée de Dickebusch.
- Godderis, Maurice, rue d'Elverdin-
ghw. Gisquiere, Lucien, Kalfvaart.
Mariage
Sagon, Camille, tourneur de fer,
veuf de Dubois, Marie, et Tydtgat,
Marie, sans profession tous deux
Y près.
Décès
Buysse, Ivon. 79 ans, sans profession,
veuf de. rue des Boudeurs. Mer-
lier, Marie, 52 ans, sanB profession,
célibataire, rue Wenniuck. Nyssen,
Marte, 39 ans, sans profession, céliba
taire, chaussée de Poperinghe.
Daniels, François, 42 ans, surveillant
I école de Bienfaisance de l'Etat,
époux de Seegers, Marie, chaussée de
Menin. Staess9n, Camilla, 15 jours,
rue la Bouche. Motnié, Marie, 45
ans, dentellière, célibataire, Nouveau
Chemin S' Jacques. Bonté, Henri, 5
mois, rue des Boudeurs. Lapeere,
Apolonie, 90ans, sans profession, veuve
de Gaston, Aimé, rue Wenninck.
Mille. Herminie, 23 ans, dentellière,
épouse do Goemaere, Victor, chaussée
de Zonnebeke. Barroo, Barbe, 65
ans, dentellière, veuve de Deweer,
Léopold, rue de l'Ecosse.
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