Revaienta du Barry.
La surdité n'est plus
SÛKUl
L'ALMANACH
HACHETTE
Institut de Jumet-Heigne près Gharleroi
SAVON
z i
2Z
AUX COMMERÇANTS.
Tué par une fourchette.
Cartes de visite
du nouvel an.
L'événement sensation
de Bruxelles et de tout
le pays.
L'événement du jour est la
Grande Mise en Vente des Soldes
d'hiver de la Maison Léonhard
TIETZ, rue Neuve. Voyez dans
les grands journaux de la capita
le tous les détails ou bien, de
mandez recevoir la liste des
occasions.
Le prix de la viande.
SANTE A TOUS
Voici bientôt
La Dépopulation
en E
tance.
lui
On nous prie d'annon
cer que IIet IInie IIE1ER
Chirurgiens-Dentistes, 2,
rue de llouscron, 2,
Courlrai, seront absents
du 12 Décembre 1907
au 6 Janvier 1908.
VIENT DE PARAITRE
que tout Belge
ENTIÈREMENT RENOUVELÉ
E. L A 11 BL\- M ATHÉE,
53, rue de Dixmude, 53,
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stricte légalité et nous devons la
vérité d'ajouter et que cette simple
mesure d'équité et d'impartialité n'a
même été observé quexgràoe aux in
stances d'un membre des Hospices, M.
M. Vandecasteele, quoiqu'elle fut
conforme la volonté clairement indi
quée de notre défunt Bourgmestre.
Depuis les dernières élections com
munales, M. Vandecasteele a donné sa
démission de membre du Conseil des
Hospices,et depuis lors les autres mem
bres de ce Conseil, tous cléricaux et
présidés par cet ultra fanatique qui est
M. G. Lebbe, ne se gênent plus, ils se
sentent les coudées plus franches et
c'est ainsi qu'ils n'ont pas tardé re
venir de la velléité d'impartialité qu'ils
ont eu lors des deux anniversaires pré
cédents de la mort de M. Berten. Ils
viennent de profiter du troisième ser
vice anniversaire qui vient d'être cé
lébré la mémoire de celui ci pour
poser l'acte de partialité révoltante et
qu'eut nettement réprouvé M. Berten
La fourniture des pains pour les pau
vres a été partagée cette fois entre les
seuIs boulangers cléricaux et tous les
autres plus ou moins connus comme
appartenant l'opinion libérale en
ont été exclus
Cette édifiante Administration .les
Ho-pices de Pop^ringhe, vrai modèle
de fanatisme, eu fait du reste bien
d'autres encore depuis qu'elle détient
le magot de M. B u ton.
C'e»l ain-i qu'elle fait recons'ruire
eu ce moment tous les bâtimeuls d'une
ferme provenant du même legs pour y
caser un fils d'un des six Messieurs qui
composent le Couseil des Hospices
De l'avis de tout le monde, c'est une
double injustice; d'abord parce que
les propriétés des Hospices doivent
être louées au plus offrant, avec garan
tie bien entendu et ensuite parce que
les travaux faire ces propriétés
doivent être mis en adjudication publi
que et non accordés aux seuls cléri
caux, surtout lorsqu'il s'agit comme
dans l'occurrence de travaux impor
tants.
D'autre part le public trouveétrange
que nos Administrateurs des Hospices
soicutsi pressés de faire construire un
nouveau corps de logis avec annexes
sur une ferme pour en faire profiter le
fils de l'un d'entre eux, alors qu'ils ne
font rien sur une autre ferme dont le
logis a été détruit depuis longtemps
par un incendie et, où, depuis lors, le
malheureux cultivateur est obligé
d'habiter dans son séchoir houblon
avec toute sa famille parce qu'il n'a
plus d'autre refuge
Ces faits sont graves et vraiment
scandaleux, et il y en a certes bien
d'autres citer charge de notre Bu
reau de Bienfaisance, dont la réputa
tion est devenue légendaire. Là tout
est arbitraire
Mais eu présence de ce qui se passe,
nous nous demaudons comment il est
possible qu'il y ait encore des gens qui
trouvent que la Représentation Pro
portionnelle n'est pas nécessaire dans
les petites localités comme la nôtre.
Tout cela n'est ce pas la preuve que
cette réforme y est au contraire plus
nécessaire que dans les grandes villes
où le contrôle existe déjà et où ces in
justices no sont pas possibles parce que
les Hospices et les Bureaux de Bien
faisance y sont administrés par des
personnes appartenant aux différents
partis
Toutefois, nous espérons que les do
léances des habitants de Poperinghe
trouveront leur écho en haut lieu.
Dès préseni, on peut se procurer
l'imprimerie EL L.aiiil>in-
JVXatlioe, 53, rue de Dixmude,
des calendriers-mementos, agendas,
recettes et dépenses, mémentos, agen
das de poèhe et autres registres pour
Tannée 1908.
Samedi soir, le jeune Lucien Leroy,
13 ans, qui fréquentait l'école deSteen-
werk, était rentré comme de coutume
chez ses parents qui habitent Nieppe,
près de la frontière belge, et s'amusait
avec ses frères et moeurs, quand il s'en
fonça par mégarde les pointes d'une
fourchette dans le poignet.
Un médecin pausa la plaie, mais
Lundi celle-ci s'envenimait et Mer
credi le jeune garçon, atteint croit-on,
du tétanos, expirait daos d'atroces
souffrances.
Ou sait que chaque année il s'en
expédie des millions,ce qui occasionne
la poste un travail considérable.
Les personnes qui désirent que leurs
cartes subissent le moins de retard pos
sible, feront bien de les déposer, non
pas d^ns les boîtes-bornes, mais bien
aux guichets des bureaux de poste, et
d'en former, sous un croisé de ficelle,
deux paquets comprenant, ie premier,
les cartes pour la ville ou le canton
postal, le second, celles pour d'autres
destinations.
Il est recommandé aussi, tout spé
cialement, de coller les timbres d'af
franchissement l'angle droit supé
rieur de l'adresse des envois.
Le public est également prié de sur
seoir, si possible, l'envoi de prospec
tus, catalogues, circulaires, etc., pen
dant la période du renouvellement de
l'annéô.
A propos de la protection douanière,
il résulte de statistiques officiel les que le
prix de la viande n'a jamais été aussi
élevé que pendant ce secoud semestre.
La viande de bœuf, dépecée, valait
par kilogramme, 1 fr. 68 en 1905 1 f r,
75 en 1906 aujourd'hui 1 fr. 81.
Même progression pour le veau en
1905, 1 fr. 96 en 1906, 2 fr. 10 en
1907, 2 fr. 11.
Le mouton eu 1905, 1 fr. 63 en
1906, 1 fr. 70 en 1907, 1 fr. 74.
Seul, le prix du porc a diminué de
puis l'an dernier en 1905, 1 fr. 38 on
1906, 1 fr. 60 en 1907, 1 fr. 53 La
hausse sur.le bœuf aété la plusseusible.
En supprimant le régime établi la
frontière hollandaise, ou obtiendrait
une diminution immédiate assez impor
tante 11 n'y faut pas compter, M. Hel
leputte partageant les sentiments de
M. Van der Bruggen et étant un pro
tectionniste convaincu.
sans purge et sans frais, par la délicieuse farine
de santé, la
Elle guérit les constipations habituelles les
plus rebelles, dyspepsies, gastrites, gaslral-
gies, dysenterie, glaires, aigreurs, acidités, pi
tuites, nausées, renvois, vomissements, diar
rhée, coliques, toux, asthme,catarrhe, mfluen-
za, grippe, bronchite, oppression, congestion,
névrose, faiblesse, épuisement, anémie, chlo
rose, rhumatisme, goutte, tous désordres de la
vessie, foie, reins, intestins et sang.
Pour les convalescents, c'est la nourri
ture par excellence, l'aliment indispensable
pour réparer les forces épuisées par l'âge, le
travail ou les excès. Elle est aussi le meilleur
aliment pour élever les enfants, qui la pren
nent avec plaisir quand toute autre nourriture
leur répugne.
M. le Dr Elmslie écrit ce sujet Votre
Revaienta vaut son pesant d'or
Extrait d'une lettre de M. DÉDÉ. chimiste,
Paris
...Ce qui m'étonne le plus, c'est sa bien-
faisante influence sur les organes digestifs, sa
propriété de complète assimilation au corps
humain de bien nourrir et développer l'a
petit, et surtout d'assainir et rajeunir le sang.
Ce qui en fa il un bienfait, vraiment divin, c'est
d'augmenter et boni fier le laii des nourrices
Son adoption générale dans les hôpitaux se-
rail désirer. Toutes les drogues du monde
sont distancées par les propriétés curatives de
la Revaienta
En boites de 2 fr. 50, 4 fr. 50, 7 fr. 75.
17 fr. 30 6 kilos, 40 francs Soit environ 10
c. le repas. Envoi franco contre mandat-
poste M KALCKER W'iELEMANS, 2, rue
Rouppe, Bruxelles chez tous les bons phar
maciens et épiciers.
Ypies. Libotte, pbarra.
Dehouck, pharm.
Gaimant, pharm.
la demi-Décembre. Les froids voDt
sans doute nous débarquer un des ces
matins. Toujours est il qu'ils ne sont
pas encore venus. L'hiver sera peut-
être rigoureux, comme on l'avait pré
dit- En tous cas, l'autre moitié de la
prophétie ne se réalise pas il n'a pas
été précoce ces ^burs derniers, nous
avons eu même une température d'été.
Une fois de plus, on voit combien
sont trompeurs les signes dont de pré
tendus savants ou de simples ignorants
tirent pronostics. Les oiseaux migra
teurs obéissent aux dates et non des
avertissements qui leur révèlent les
temps prochains.
Les temps moites et humides que
nous traversons sont détestables pour
la santé publique, plus pernicieux que
ne sont les gelées. Mais ils ont cela de
bon qu'ils n'arrêtent pas de travaux
et qu'ils n'apportent, pas la misère les
souffrances dont on a l'appréhension
pour elle en cette saison.
Il faut donc s'en réjouir, malgré les
rhumes, les indispositions et le reste.
Lire l'intéressant article publié aujourd'hui
la quatrième page de notre journal.
Nouveaux cris d'alarme. Les cruautés
de la statistique
On lit dans les Débats
Le Journal officiel a publié ce ma
tiu le rapport annuel du ministère du
travail sur le mouvement de la popula
tion en Franco en 1906. Les constata
tions n'en sont pas plus encourageantes
que pour les années précédentes. Sans
doute nous n'en sommes pas encore
la dépopulation proprement dite, bien
que le mot soit passé dans l'usage.
L'excédent des naissances sur les décès
a été de 26,651 Tan passé. Mais cet
excédent tend visiblement disparaî
tre. Celui de 1906 est seusibiemeut in
férieur aux précédents. Il n'est que la
moitié de l'excédent moyen de la der
nière décade (56,464) et, depuis 1902
notamment, la décroissance suit une
marche progressive qui ue laisse guère
dé place un espoir de relèvement.
Les optimistes essayent de se raccro
cher l'illusion que la mortalité pour
rait être réduite. Elle peut l'être, en
effet, mais il est bon de remarquer
qu'elle Ta déjà été sensiblement, et
que le chiffre des décès de Tan dernier
est inférieur la moyenne des dix an
nées antérieures. La mortalité infanti
le, celle sur laquelle on se flatte de ga
gner le plus, n'est pas si considérable
qu'on paraît se le figurer. Il meurt
120,000 enfants de moins d'un an. On
peut en sauver un certain nombre, et
tout ce qu'il est humainement possible
de faire en ce sens doit être tenté
mais les quelques milliers de jeunes
vies humaines qui sont susceptibles
d'être ainsi prolongées, ne sauraient
modifier essentiellement notre situa
tion démographique. Même si tous nos
806,000 nouveau-nés franchissaient le
cap de la première enfance, notre
accroissement de population serait en
core bien modeste, en regard de celui
des nations voisines. L'Allemagne comp
te peu près deux millions de naissan
ces. Contre ce fait brutal, aucun rai
sonnement ne saurait prévaloir.
Concours de la CHICORÉE F.C. JACOBS. 5000 fr.
de prix, l'n prospeclusd i us chaque paquet.
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bain, la cuisine, le mé
nage, partout il est
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Voir la suite des articles la 4e page
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