La surdité n'est plus Revalenta du Barry. Institut de Jumet-Heigne Lettre de reconnaissance. Question de M. Nolf. Réponse du Ministre. - La Douche. Conclusion. Voirie urbaine. Nomination. STAND. A YPUES Dans la Gendarmerie. SOCIÉTÉ DES ANCIENS POMPIERS SANTÉ A TOUS De même que l'or est le plus pur de tous les métaux, le SUNLIGHT SAVON est le plus pur de tous les savons. Pour la blanchisserie, le bain, la cuisine, le mé nage, partout il est sans rival. POPERINGHE. Le Concert de la Philharmonie. 79, Itue île l'Institut JL'MET près Charleroi Le Journal d'Ypres du 4 Mai 1907pu blie l'adresse de gratitude envoyée par le Comité de l'Association catholique M. de Smet de Naeyer A Monsieur le Comte de Smet de Naeyer, Ministre des Finances et des Travaux publics. Monsieur le Ministre-, Le Comité de l'Association Catholi que et Conservatrice de l'atroudisse- ni-nt d'ïpres vient de décider, dans sa réunion plénière de ce jour, de vour exprimer l'immense regret que lui iu- spire la retraite du Cabinet que Vous présidez Cette décision, prise l'unanim té de ses membres, sera approuvée sans aucun doute par notre assemblée géné rale, qui se tiendra prochainement, et accueillie favorablement par l'opinion Catholique de l'arrondissement. Le Comité se fait, en même temps, un devoir de rendre hommage nos Députés qui ont constamment soutenu un gouvernement digne de notre con fiance et de celle du Pays entier. Nou6 n'oublierons jamais les immen ses services rendus par le Ministère de Smet de Naeyer la chose publique, spécialement dans des périodes agitées où l'ordre était menacé. C'est en gran de partie, ses initiatives et ses ef forts que nous devons la paix sociale et la prospérité dont jouit le pays. Nous tenons vous témoigner notre re connaissance d'avoir décidéVan dernier Vachèvement du canal de la Lys VYper lée. Si les travaux ne sont pas commencés nous avons la conviction qu'ils le seront bientôt, suivant les études que le Gouverne ment actuel en a faites. Le Ministère que vous avez présidé, Monsieur le Minisire, emportera dans sa retraite la sympathie, la reconnais sance et le dévouement de notre Ar rondissement. Daignez en donner l'as surance vos honorables Collègues, et leur dire tout le regret que nous éprou vons de les voir se retirer un moment où ils étaient appelés rendre encore de grands et nombreux services au pays et la Cause Catholique. Agréez, Monsieur le Ministre, pour vous et vos honorés Collègues, avec l'expression de uos regrets, celle de nos sentiments les plus distingués. Pour le Comité Le Secrétaire, Le Président, E. Struye. E. Fraeys. Et maintenant revenons la réa lité. Lin crédit de 400,dOO fr fut inscrit au budget de l'année 1906 pour Taché vement du caual de la Lys TYperlée et le 80 Avril 1907, M. le Ministre des Travaux publics, dans une lettre qui fut publiée, fit savoir aux députés ca tholiques de l'arrondissement d'Ypres qu'il avait chargé le service des ponts et chaussées de la Flaudre Occidentale de lui soumettre d'urgence des pro positioDsen vue de l'exécution titre d'essai d'un tronçon du canal dans la grande tranchée. L'honorable ministre ne voudrait- il nous faire connaître A Quelle est parmi les proposi tions qui ont été soumises, celle qui a été adoptée B. Quelle est l'importance des tra vaux prévus GQuand le département compte en commencer l'exécution Il a été reconnu que, même au cas ils auraient, donné pleine satisfaction, les essais de soutènement en sable pour lesquels des propositions m'avaient été soumises ne fourniraient aucune con clusion pratique certaine pour résoudre 11 questiou très délicate de l'achève ment du canal de la Lys l'Yperlée dans des conditions convenables de s'abilité En conséquence, il a paru inutile de faire procéder aux dits essais, et en vuede l'achèvement du canal, j'ai pres crit la prompte étude d'une solution radicale qui écarterait toute crainte de nouveaux éboulements. x se Nous savions que nos députés clé ricaux étaient sans la moindre in fluence nous savons aujourd'hui que leurs bons amis du ministère n'hésiunt pas se ficher d'eux. Depuis longtemps notre Collège échevinal néglige de faire entretenir le chemin longeant les côtés Est et Sud de la Plaine d'Amour. Aussi, différentes époques des plaintes se sont produites ce sujet. 11 y a deux ans, M. le Conseiller Vanderghote s'en étant fait l'écho au sein du Con seil communal, y déposa et appuya une pétition émanant des habitants du Marché au Bétail et de la dite Plaine, demandant la mise en état du même chemin. La pétition fut renvoyée au service des travaux publics pour examen et rapport, mais celui-ci n'y a donné jusqu'ici aucune suite. Auj ourd'hui le chemin est, en divers endroits, un infect bourbier. C'est, pitié de voir les pauvres chevaux traîner travers les profondes orniè res des chariots dont les roues s'en foncent jusqu'au moyeu. De plus, par suite du charriage dans de pareilles conditions, un cer tain nombre de noyers plantés des deux côtés du chemin ont été détruits et d'autres fortement endommagés. Cette incurie, ce manque de soin est une honte pour nos maîtres, d'autant plus qu'ils possèdent les ressources et les matériaux nécessai res pour faire cesser ce scandale. A voir l'état pitoyable des chemins l'intérieur de la ville, on peut se faire une idée de ce que doit être la voirie sur son territoire rural. Aussi ceux-ci donnent-ils souvent lieu des plaintes de la part de MM. les con seillers D'Huvettere, Lemahieu et autres. Alors qu'au vu et su de tout le monde, l'entretien est totalement négligé et que la surveillance fait partout défaut, notre maïeur, pour donner le change l'opinion publique, ose se vanter d'arrêter les comptes communaux avec de notables excé dents sur l'ordinaire et faire l'éloge du service des travaux. De qui se moque-t-il donc Par arrêté royal du 30 Décembre 1907, notre concitoyen, M. Prosper Angillis, du bureau des postes d'Ypres, est nommé commis-chef. Toutes nos félicitations. Nous lisons dans Y Union, organe des Sociétés de Tir de Belgique Notre Président a transmis Mon sieur le Ministre de l'Intérieur la requête suivante Bruxelles, le 17 Mars 1908. Monsieur le Ministre, Nous avonsl'honneur d'attirer votre bien veillante attention sur la situation qui est faite la ville d'Ypres au point de vue de la pratique du sport patriotique du tir. Depuis une quinzaine d'années, le stand de tir qui existait dans cette ville se trouve fermé, ayant été déclaré dangereux. Depuis lors, de nombreuses démarches ont été fai tes auprès des autorités communales pour obtenir la création d'un stand nouveau. Des pétitions ont été remises au Bourgmes tre. M. le major Ligy, chef de la garde ci vique, a adressé des demandes pressantes l'administration de la ville, tant dans l'in térêt de la garde civique que dans celui de la garnison. Ces démarches ont été accueil lies avec la plus grande bienveillance et la promesse fut faite diverses reprises qu'à bref délai le stand serait établi. Malheureusement ces promesses se sont renouvelées sans qu'elles se soient accom plies encore, quoique la ville possédât un terrain propice une installation de tir et qu'un crédit de 30,000 francs fût régulière ment inscrit au budget annuel pour la construction du stand. Les tireurs d'Ypres nous ont chargés, Monsieur le Ministre, de vous soumettre leurs desiderata. Ils attendent de votre haute influence une intervention qui puisse hâter la solution qu'ils espèrent depuis si long temps. Nous joignons cette requête, Monsieur le Ministre, une copie du rapport adresse le 25 Novembre 1905 par M. le major Ligy au Conseil communal, ainsi que plusieurs nu méros d'un journal local qui sont de nature vous éclairer sur cette question. Nous nous faisons volontiers les inter prètes des vœux des tireurs d'Ypres car nous estimons que l'établissement d'un stand dans cette ville est un travail de pre mière utilité. Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l'expression respectueuse de nos sentiments les plus dévoués. Le Président de l'Union des Sociétés de Tir de Belgique, Major F. van den Corput. Le Secrétaire-général, Comte R. de Ribaucourt. Où allons-nous Telle est la ques tion que l'on est en droit de se poser en présence d'un fait dont l'authenti cité nous est affirmée par des per sonnes dignes de foi. Dans les Flandres, la suite de fréquents vols commis dans les égli ses, des patrouilles de gendarmerie circulent la nuit dans les localités où se sont accomplis ces méfaits. Et sait-on de quelle façon nos pan dores doivent faire attester leur pas sage et viser leurs constats Par le curé de la localité. Décidément, ces Messieurs du cler gé sont considérés en terre flamande comme des fonctionnaires et des fonc tionnaires supérieurs aux autorités constituées. La Société des Anciens Pompiers de la ville d'Ypres donnera le 12 Avril courant, 7 1/2 heures du soir, un beau Concert suivi de Redoute. Nous en publierons le programme dans notre prochain numéro. Lira l'intéressant article publié aujourd'hui la quatrième page de notre journal. sans purge et sans frais, par la délicieuse farine de santé, la Elle guérit les constipations habituelles les plus rebelles, dyspepsies, gastrites, gastral gies, dysenterie, glaires, aigreurs, acidités, pi tuites, nausées, renvois, vomissements, diar rhée, coliques, toux, asthme,catarrhe, înlluen- za, grippe, bronchite, oppression, congestion, névrose, faiblesse, épuisement, anémie, chlo rose, rhumatisme, goutte, tous désordres de la vessie, foie, reins, intestins et sang. Pour les convalescents, c'est la nourrie ture par excellence, l'aliment indispensable pour réparer les forces épuisées par l'âge, le travail ou les excès. Elle est aussi le meilleur aliment pour élever les enfants, qui la pren nent avec plaisir quand toute autre nourriture leur répugne. M. le Dr Elmslie écrit ce sujet Votre Revalenta vaut son pesant d'or Extrait d'une lettre de M. DÉDÉ. chimiste, Paris ...Ce qui m'étonne le plus, c'est sa bien - faisante influence sur les organes digestifs, sa s propriété de complète assimilation au corps humain de bien nourrir et développer l'a >- petit, et surtout d'assainir et rajeunir le sang Ce qui en fait un bienfait vraiment divin, c'est d'augmenter et bonifier le lait des uournces. Son adoption générale dans les hôpitaux se- rail désirer. Toutes les drogues du monde sont distancées par les propriétés curatives de la Revalenta En boites de 2 fr. 50, 4 fr 50, 7 fr 75, 17 fr. 50; 6 kilos. 40 frams Soit environ 10 c. le repas Envoi franco contre mandat- poste M KALCKER WIELE <i ANS, 2 lie Rouppe, Bruxelles chez tous les bons phar maciens et épiciers Ypres Libolte, pharm. Deliouck, pharm. Gaimant, pharm. o o io o o o o o osnuiooscooî r-XXOOhO'- oo oo ^4 «>«>000000 000000000 OXXOOhC- -n -r- o <5"4 o o o o o o ce o o o o o o r— 1— v <x> tfl as c/2 g a 2 I 5® o .2>SS s- o va> o oj cb rJ! ci- cl a o s ce s 3 W O Le grand concert donné par la Phil harmonie, Dimanche, a été une soirée artistique des mieux réussies. Les dif férents morceaux d'harmonie du aplen- dtde programme de ce concert de choix ont été dignement appréciés. L'Ouver ture, Erwinn, fantaisie, Duo de flûtes et la belle Valse pour Tuba, ont été exé cutés avec une grande virtuosité par les solistes; les roulades de clarinette, les fusées des flûtes et les jolies brode ries de tuba, tout a été rendu la per fection et un grand souci des nuances. Sonorité brillante, homogénéité par4 (INSTITUT DU Dr L DÛGNIAUX, SPÉCIALISTE.) Hernies, Varicocèle, Hydrocèle cure radicale sans bandage pour la vie, en 10 15 jours, par procédés spéciaux absolument [ersonnels, ayant fait leurs preuves depuis 15 ans. 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Le Progrès (1841-1914) | 1908 | | pagina 3