Cyclistes
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Pourquoi
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Colonial Rubber
Camille Brillon,
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aux élèves de
l'Ecole moyenne de l'Etal
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étrangers, qui paient des droits
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La correspondance
Anglo-Belge.
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k MUNICH, PIUSEN, BOCK,
BAVIÈRE, FARO, LAMBIC,
Accident de travail.
conseiller, yprois, au sujet de la ligne
d'Ypres Bailleul M. le Maieur,
en réponse, l'intéressante question,
s'est empressé de dire qu'il allait
convoquer les communes intéressées.
Nous est-il permis de demander au
Journald'Ypres, le moniteur de l'hô
tel de ville, si suite a été donnée
7
la promesse faite M. Biebuyck.
Nous sommes curieux de savoir si
cette promesse n est pas allée rejoin -
dre toutes les autres, dont il n'est
plus question depuis des années.
La façon de M. le Maieur, de con
tenter les interpellateurs par des pro
messes fallacieuses dépasse toute
mesure permise nous avons vu
presque tous les jeunes conseillers,
désirant rendre quelque service
leur ville natale par certaines propo
sitions de travaux nécessaires et uti
les, bernés dans les hauts prix, soit
avec la promesse d'étudier sérieuse
ment la question, soit avec celle que
des démarches: urgentes en haut lieu
auront lieu avec la volonté d'aboutir.
Cette façon de se moquer de son
public, qui jusqu'ici a si bien réussi
M. le Bourgmestre, sera-t-elle encore
longtemps tolérée Aux conseillers
yprois, qui désirent avec nous, l'ave
nir et la prospérité de la ville, d'exi
ger la construction des lignes ferrées,
qui doivent y contribuer, c'est Jeur
devoir espérons qu'ils n'y failliront
pas. Ils sauront faire comprendre
M. Colaert, que s'il est beau d'être
poperinghois, il est de son devoir
cependant de veiller aux intérêts
Yprois, en sa qualité de Bourgmestre
de la ville d'Ypres.
Nous lisons dans Le Petit Belge du
Mercredi 29 Juillet 1908
11 s'agit de M. A. Merghelynck, d'Ypres,
qui vient de mourir en léguant un château
et ses collections nos académies. M. Du-
mont-Wilden, le silhouette dans la Province,
lui et ses collections, qui faisaient partie
intégrante de sa personnalité
C'était en vérité, un singulier bonhomme,
ce Merghelynck, un de ces personnages ori
ginaux comme on n'en rencontre plus qu'en
province et qui aurait fait la joie d'un Balzac.
11 avait réuni, dans un vieil hôtel d'Ypres,
sa ville natale, tous les vieux meubles, tous
les vieux bibelots, toutes les vieilles défro
ques du XVIII" siècle qu'il avait pu décou
vrirai n'y avait mis ni beaucoup de goût, ni
beaucoup de discernement. A côté d'un ba
hut délicieux ou d'une horloge digne de
Versailles, on voyait un abominable tableau,
malencontreuse production de quelque ob
scur barbouilleur de village. Des bibelots,
des bouteilles armoriées, des porcelaines,
parfois très belles, s'entassaient pêle-mêle
sur les tables, avec l'obsession un peu pué
rile de la reconstitution exacte. Et cela arri
vait cependant donner une certaine im
pression. On se serait cru, en parcourant
cette vaste demeure, bondée d'antiquailles
depuis la cave jusqu'au grenier, dans la
maison d'un de ces dilettantes maniaques
comme il y en eut beaucoup dans la société
désœuvrée du XVIII® siècle, collectionneurs
de porcelaines, amateurs d'estampes, ajpa-
•teurs d'antiques.
Si beaucoup des pièces de l'Hôtel Mer
ghelynck offraient du reste l'image d'un
entassement un peu saugrenu, il y en avait
aussi de très réussies, telle une chambre
coucher aux trumeaux en grisailles, où l'on
voyait méthodiquement rangés dans une
armoire les habits, les vestes et les chausses
d'un illusoire propriétaire, et où l'on pou
vait même admirer, soigneusement déposés
sur une chaise, l'habit, le chapeau et l'épée
de ce mystérieux gentilhomme. Ce qui ache
vait l'illusion, c'était l'extraordinaire phy
sionomie des deux vieux domestiques
l'homme et la femme, qui conduisaient le
visiteur. Eux aussi. Us avaient l'air de dater
du XVIII® siècle, marchant petits pas,
méfiants et trotte-menu ils vous condui
saient dans l'hôtel avec une inimaginable
lenteur, une lenteur qu'autorisait du reste
la consigne du propriétaire. Celui-ci, en
effet, prévenait les visiteurs qu'il était inu
tile de s'impatienter la porte quand on
avait sonne une fois. La longue station que
l'on avait faire sous le porche étant moti
vée par l'obligation où pouvaient être les
gardiens de surveiller d'autres visiteurs.
Cela durait quelque fois plus d'une demi-
heure, mais comme on était prévenu, on
pouvait aller au cabaret d'en face,..
....Tout le monde pouvait visiter cet
hôtel-musée, tout le monde, sauf les gens
d'Ypres. Car M. Merghelynck nourrissait
contre tous ses concitoyens une solide ran
cune, une de ces rancunes provinciales, qui
ne cessent qu'avec l^vie. Cela tenait une
affaire de famille laquelle on peut faire
allusion sans être indiscret, le héros lui-
même ayant pris soin de la raconter tout au
long dans une brochure. M. Merghelynck
s'était marié sur le tard et contre le consen
tement de la famille, laquelle est nombreu
se et influente. Or, les gens d'Ypres, dans
cette querelle, avaient presque unanimement
pris le parti de la famille. Ils n'avaient mé
nagé ni leurs brocards, ni leurs commérages
ce nouveau marié que semblait guider
l'âme ironique et fantasque du diable As-
modée, lequel est préposé, comme on sait,
au soin des mariages saugrenus.
Si l'Académie de Belgique conserve
l'hôtel-musee d'Ypres son actuelle désigna
tion, qu'elle garde les deux gardiens et
l'écriteau. Elle doit bien cela l'âme bou
gonne et bienveillante de M. Arthur Mer
ghelynck, écuyer.
r
V
1,4 (ti.-tribillion d- s prix aux élèves
de i'Kc >Ih ui'-y nue Dm l'Etat. a Y pi es,
a n ru iiHii Lundi 3 Août, 10 heures du
matin, aux Halles
Nous enir igeons tous les partisans de
l'enseignement officiel assister cette
soleqniié.
LVxpo-ition des arts et métiers ou
verte aux Halles partir du 2 Août
bneii'lra beaucoup de succès.
L'exposition restera ouverte au pu
blic pendant, toute la ri iréerie la fête
communale.
Nous apprenons qu'un léger droit
d'entrée sera perçu et qu'il y aura une
tombola.
Le Conseil communal de notre ville
s'est réuni hier soir, 5 heures.
Voici les objets qui figuraient son
ordre du jour
1° Musée compte 1907.
2° Harmonie Communale subside
extraordinaire.
3° Voirie alignement, de la rue du
Passage expropriations.
4° Chemius de fer vicinaux dépla
cement des voies aux abords de la sta
tion convention.
5° Propriétés cominuuales V6ntede
terrains sis au boulevard de la Station.
6° Propriétés communales terrains
de l'ancienne usine gaz demande
d'achat.
7° Hospices civils vente de terrains
Y'pres a) Porte des Uécollets
ohaussée de Menin.
8° Bureau de bienfaisance cession
d'un bail.
Nous donnerons le compte rendu de
cette séance dans notre prochain nu
méros.
-5
LES TUBES COURSE COLONIAL
SONT LES MEILLEURES
La dernière correspondance diplomatique
échangée entre les gouvernements belge et
anglais, au sujet du Congo, sera publiée
Lundi prochain simultanément Londres
et Bruxelles.
La droite de la Chambre s'est réunie,
Jeudi matin, 10 h. 1/2, au Palais de la na
tion, sous la présidence dè AI. Cooreman,
pour s'occuper du débat sur la loi coloniale.
Vingt-cinq membres seulement avaient ré
pondu l'invitation des questeurs, MM-
Desmaisières et van Limburg-Stirum, mais
MM. Woeste et Beernaert, les deux leaders
de la droite, étaient présents, ainsi que les
ministres MM. Schollaert, Renkin, Davi-
gnon et Helleputte.
La discussion a porté sur la nécessité,
signalée par les membres du gouvernement,
de ne pas suspendre le présent débat et de
ne se séparer qu'après le vote du traité de
reprise et de la loi coloniale. Aucune oppo
sition ne s'est manifestée sur ce point.
L'on s'est occupe de certains articles
amendés de la loi coloniale et un débat as
sez long s'est produit au sujet du contre
seing ministériel et de la faculté donnée au
Roi de créer pour 15 millions de Bons du
Trésor.
En ce qui concerne le contreseing minis
tériel, le gouvernement déposera un amen
dement dont il a indiqué le sens et qui dif
férera très peu de l'amendement de M. Hy-
mans. L'amendement gouvernemental
aurait reçu un accueil très favorable auprès
des membres qui assistaient la réunion de
la droite.
Quant la publication de la dernière cor
respondance diplomatique échangée entre
la Belgique et l'Angleterre, M. Schollaert a
annoncé qu'elle sera publiée incessamment
et qu'elle sera de nature donner satisfac
tion tous.
On a soulevé la question des séances du
matin, mais l'on n'a pris ce sujet aucune
décision. M. Cooreman, président, se met
tra en rapport avec des membres des divers
groupes, de façon arriver siéger le ma
tin, une fois par semaine. On pourrait ren
voyer les interpellations, qui n'intéressent
que quelques membres de la Chambre,
étant donné qu'elles n'ont trait, pour la
plupart, qu'à des questions d'intérêt local,
une séance qui se tiendrait le matin. On
pourrait, de cette façon, poursuivre le Mar-
di après-midi le débat sur le Congo.
La droite proposera de limiter le temps
de parole pour certains articles et plusieurs
membres ont annoncé qu'ils se contente
raient de résumer les observations qu'ils
comptaient présenter au cours du présent
débat.
L'impression qui se dégage de la réunion
est que l'on pourrait de la sorte terminer la
discussion avant le 15 Août.
Monsieur le cycliste, avant voire départ.
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rose, rhumatisme, goutte, cous désordres de la
vessie, foie, rems, intestins et sang.
Pour les convalescents, c'est la nourri
ture par excellence, l'aliment indispensable
pour réparer les forces épuisées par I âge, le
travail ou les excès. Elle est aussi le meilleur
aliment pour élever les enfants, qui la pren
nent avec plaisir quand toute autre nourriture
leur répugne.
M. le D' Elmslie écrit ce sujet Votre
Revalenta vaut son pesant d'or
Extrait d'une lettre de M. DE DÉ. chimiste»
Paris
...Ce qui m'étonne le plus, c'est sa bieu-
faisante influence sur les organes digestifs, sa
propriété de complète assimilation au corps
humain de bien nourrir et développer l'an-
pétit, eî surtout d'assainir et rajeunir le sang.
Ce qui en fait un bienfait vraiment divin, c'est
d'augmenter et bondier le lait des nourrices
Son adoption générale dans les hôpitaux se-
rait désirer. Toutes les drogues du monde
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g SP'5 S s
u O) OvD O OJ
Cs* VD a. bé CL Cû
a
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Emile Talon, plombier zingueur, rue
de Boesinghe, et Charles Waterbley,
maçon, rue de la Plume, s'apprêtaient
Jeudi dernier, vers 10 heures du matin,
descendre de l'étage supérieur au
rez de-chaussée de la maison en con
struction de M Moncarey, place de la
gare, lorsque l'échelle sur laquelle ils
se trouvaient glissa Ces deux hommes
perdirent l'équilibre et tombèrent
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Tî), Bue <le l'Institut JUMET près Charleroi
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