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3 votes, soit 3176 électeurs disposant
de 5585 votes.
Chambre des représentants, 1866 1
vote. 1085 2 votes, 706 3 votes, soit
3652 électeurs disposant de 6144 vo
tes
Commune, 1682 1 vote, 610 2
votes, 216 3 votes, 443 4 votes, soit
2951 électeurs disposant de 5322
votes
Lors de l'inventaire des manuscrits
laissés par M. de Spoelberch de Lo-
venjoul, on a découvert une fable
sans nom d'auteur. De qui émane-
t-elle De prime abord, on était
assez porté l'attribuer au bon La
Fontaine dont c'est un peu la maniè
re mais pas la meilleure les gra
phologues toutefois sont unanimes
déclarer que ce n'est pas son écriture.
Alors quoi De Champmesli On a
bien vite abandonné celte attribution
de Florian En effet, il y a quelque
parenté, mais bien éloignée, entre le
dit écrit et ceux de l'émule du grand
fabuliste sous le rapport pastoral
mais ça manque de la naïve simpli
cité qui est la caractéristique du gra
cieux Florian. Quoiqu'il en soit,
nous profitons de l'occasion qui nous
est offerte d en donner la primeur
nos lecteurs.
el le mon loti
Guillot était un berger
Qui laissait désirer.
On eut beau le lui dire,
11 ne fit que sourire,
Disant que tout était bien
Et qu'il n'y changerait rien,
Quand un beau jour, sans qu'il y songe,
On le vint tirer de son songe
Des gras moutons de son troupeau
Avait disparu le plus beau
Qui, sans égard pour la houlette,
Avait pris la poudre d'escampette
Sans avertissement,
Naturellement
Misère de misère,
Dieu de bonté, que faire
Regrets, cris, pleurs et lamentations,
Autant de vaines exclamations,
La bête est partie
Faussant compagnie.
Qui donc pouvait s'attendre ce malheur
Moi, Guillot, qui veillais sans trêve
Pour assurer des moutons le bonheur.
Sans repos, nuit et jour, j'en rêve
Tous ces regrets sont tardifs
Et ne peuvent rien changer la chose,
Avec plus de soins attentifs
On n'eut pas eu le chagrin que ça cause,
11 fallait veiller plus tôt
Maître Guillot,
Lui dit un témoin oculaire
C'est la conséquence ordinaire
De celui qui néglige son mouton
Que ceci, donc, vous serve de leçon.
Le Conseil communal de notre ville
s'est réuni hier soir, 5 heure».
Voici l'objet qui figurait sou ordre
du jour
Voirie quartier de la Station mo
difications aux alignements fixés par
arrêté royal du 18 Mai 1905.
Nous donnerons le compte-rendu de
cette séance dans notre prochan nu
méro.
Notre concitoyen, M. Léon Tous-
saert, élève de seconde des humanités
anciennes, 1 Athénée Royal de Tour
nai, vient de se distinguer dans le con
cours de composition française. 11 a
obtenu 55 points sur 100.
Toutes nos félicitations M Léon
Toussaert.
La question, si palptitante et mon
diale, de l'aviation vient de faire un
grand pas.
Les journaux américains annoncent
en effet qu'il vient de naitre, chez le
déjà célèbre Orville Wright, deux en
fants, un garçon et une fille, dont les
bras sont contournés en façon de rudi
ments d'ailes.
Voilà qui promet plus que les plus
fanatiques de l'aréoplane ont osé
rêver.
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Vaudeville en 5 actes,
de MM. Kéroul et Barbé.
Nous rappelons nos lecteurs que
c'est le Vendredi 2 Octobre prochain
qu'aura lieu au théâtre la représenta
tion de Une Nuit de Noces, l'immense
succès de* Foims-Dramatiques, Nous
De pouvon- qu'engager nos lecteurs
assister cette intéressante soirée
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l'en redi 25 Septembre 1908.
7 1/2 heures.
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1. Allegro militaire. Langlois.
2. Schiitzenfestouverture Bittmeyer.
3 Menuet célèbre. Franz Demol.
4 Hèrodiadesélection. J Massenet.
5 Joyeuse escorte. R. Berger.
6. Valse tzigane. R. Berger.
7. Revue musicale. J. Schrôder.
8. Marche avec trompettes et tam
bours. E Van Flslande.
«S; tsAii. -a 1
Lire l'intéressant article publié aujourd'hui
la quatrième page de notre journal.
rendue sans
médecine,
sans purge et sans frais, par la délicieuse farine
de santé, la
Pour les convalescents, c'est la nourri
ture par excellence, l'aliment indispensable
pour réparer les forces épuisées par l'âge, le
travail ou les excès. Elle est aussi lr, meilleur
aliment pour élever les enfants, qui la pren
nent avec plaisir quand toute autre nourriture
leur répugne.
M. le D' Elmslie écrit ce sujet Votre
Revalenta vaut son pesant d'or
C'est avec le plus grand plaisir que je con-
firme l'elliéacite de la Revalenta, remède
simple et toujours sans danger, dans les con-
slipations apmiâtres et invétérées et les diar-
rhées, où il produit l'effet de régulariser les
fonctions intestinales puis dans les lièvres
hectiques, surtout après la rougeole en un
mot, c'est un réel adjuvant dans toutes les
maladies où la nurtrition est lésée.
Docteur Stein
des facultés de Leyde (Hollande)
el de Moscou.
Messienrs, Lorque j'ai commencé faire
usage de votre délicieus farine' ie ne pou-
vais plus rien supporter les aliments reve-
naient incessamment, le creux de l'estomac
toujours gouflé Le manger me revenait dans
la bouche pleines gorgées, et lorsqu'il n'y
avait plus rien oans l'estomac, je vomissais un
acipe comme du verjus, ce qui m'ôlait toutes
mes forces. Depuis que je fais usage de votre
Revalenta, mes forces reviennent de jour en
jour.
«J. Fayard Saint-Arnaud.
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Chiens. Leupe, Louis, chaussée de
Dixmude. Morel. Léon, rue du Pa
radis. Derudder, Jeanne, Vieille rue
Bellewaerde. Hon ieghem, Maur.ce,
chaussée de Dickebusoh. Berghman,
[voune, rue Longue de Thourout.
Verschelde, Marthe, rue Crimmiuck
Hof, Alice, rue S' Christophe.
Mariages
Kemp, Achille, surnuméraire du ca
dastre, Bruges, et Bras, Valentine,
sans profession, Ypres. Decock,
Louis, gendarme chevalet Dekeyser,
Emma, sans profession, tous deux
Y près.
Décès
Duprez, Joseph, 1 an, rue des Veu
ves. Dewachter, Emérence, 65 ans,
sans profess on, veuve de Logie, Hec
tor, épousede Cattekanr, Bonaventure,
rqe Basse. Debruyne, Marie, 2 mois,
rue des Boudeurs -• Depoorter, Emé
rence. 77 ans, sans profession, céliba
taire, rue d'Elver nughe. Verfaillie,
Léonie, 58 ans, sans profession, épouse
de Cuveiie, Emile, rue des Chiens.
Masse, Charles, 54 ans, photographe,
veuf de Perdu, Jeanne, rue de l'Abat
toir. Vandepitte. Omer, 14 jours,
rue d'Elverdinghe. Moniez, Alixe,
33 ans, dentellière, épouse de Lnmaire,
ictor, rue du Ptssage.
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