Chronique de la ville.
Pharmacie ouverte
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A g les ollieiels.
PIXEL 11 A TIQUES
TUBES COLONIAL.
Colonial Rubber
REPOS QOMWaL
Al C 11 A Y,
Sonnez, sonnez,
Joyeux Garillon....
ce sont les beaux écus Yprois,
qui sonnent.
Un nouveau cabinet dentaire
est ouvert chez le Docteur DIE-
RYGK, rue des chiens 25, Ypres.
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La nouvelle Gendarmerie
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Articles pour militaires, sociétés et administrations.
2,a vl»fei*oii n'a aiieuuc succursale eu ville.
La baisse des fonds
d Liai Gelées.
Une découverte utile.
Aux constructeurs
el marchands de vélos.
[iiiuiiî
SÂVOI DADA
1b oir la suite de»
articles la 4e page
comptait prendre pour favoriser le
commerce.
S'occupant du comité spécial du Ka-
tanga, le ministre a soutenu que c'était
un organisme indispensable et que le
supprimer serait trahir l'intérêt évident
de la colonie. Il a critiqué le rapport
de M. Tibbaut et soutenu qu'il était
émaillé d'affirmations inexactes.
Gela dit, M. Renkin a fait état de la
situation présente qui exige de la pru
dence... et des mesures transitoires.
Mais la prudence n'exclut pas l'éner
gie. La Belgique indépendante pour
suivra énergiquement son œuvre.
En terminant, M. Renkin a fait appel
l'accord des partis pour amener la
prospérité de la colonie.
A plusieurs reprises, l'honorable
Conseiller D'Huvettere, en vrai ta
quin qu'il est, a per-iflé le Bourg
mestre et son coûteux carillon.
Le Journal d'Ypres prend, sur le
ton lyrique, la défense de cette folie
qui nous coûtera 60,000 francs et
lance l'enfant terrible du Conseil
et au public le fameux vers de Cor
neille, quelque peu dénaturé
Quoiqu'en dise Aristote et sa docte cabale.
C'est un beau carillon, il n'en est qui l'égale.
Cette polémique nous fait songer
la Commission musico-militaire du
carillon et nous la prions de nous
faire l'insigne plaisir de publier son
rapport. Ces messieurs ont beaucoup
hésité sur la façon d'opérer. Fallait-
il compter les notes fausses, ou fal
lait-il simplifier la besogne en ne
comptant que les notes justes, beau
coup plus rares, dit-on
Peu nous importe le mode qui a
prévalu, mais il nous revient que le
Journald'Yprcs ne sera pas flatté
des conclusions du rapport qui se
résument en ces deux lianes
Sous l'encens du Journal le mensonge s'étale
C'estd'uncarillonfauxqueRené nous régale
II paraît que c'est chose décidée.
Le Conseil aurait, dit-on, ratifié en
sections la malencontreuse idée de
construire la nouvelle caserne de
gendarmerie l'emplacement actuel
de la perche de la société de S' Sé
bastien. La façade de la construction
ériger se trouvera dans l'emplace
ment des maisons de la Place de la
Gare.
Il en résultera donc que la vue de
l'Esplanade sera masquée et d'autre
part que la façade de la gendarmerie
ériger sera cachée par les rem
parts.
Car, il paraît, que l'on serait tout
au moins pour le présent disposé
maintenir ce qui reste la Gare de
nos vieilles fortifications. On n'ose
pas brusquer les choses. On ne veut
pas affecter trop de dédain l'égard
de ceux, et ils sont majorité en ville,
qui pensent que les murs de nos vieil
les fortifications avec les magnifiques
plantations qui les couronnent, don
nent l'entrée de notre ville, un ca
chet propre qui sort de la banalité.
On a trouvé plus politique de pour
suivre le but rêvé en plusieurs éta
pes. C'est peut-être habile, c'est en
tout cas moins franc.
Car nous craignons bien fort que
c'est en fin de compte ladémolition
complète que nous marchons.
Nous avons de bonnes raisons pour
le croire.
D'abord il est, dit-on, décidé dès
maintenant qu'on ne consolidera pas
les vieux murs des fortifications on
les laissera tomber en ruine, faute de
restauration nécessaire.
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LoutreMongolieVison, MurmelPutois. Fouine.
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Ensuite le fait seul d'aller cacher
derrière les remparts une construc
tion qu'on veut l'entrée de la ville
dans un but d'embellissement, n'est-
ce pas faire comprendre qu'une fois
la construction érigée, on viendra
demander au Conseil de décréter son
dégagement
Enfin, il est, raconte-t-on, question
de créer une avenue l'emplacement
de l'ancien tir de la garde-civique
Une avenue pour aller où, si l'on
veut respecter les remparts existants
Tous ces projets ne nous disent
rien qui vaille Morceau par mor
ceau, on dépouille la ville de son ori
ginalité c'est une tendance contre
laquelle nous ne saurions assez pro
tester. Un Yprois.
Tout est cher, tout 'augmenté, sauf la
Chicorée des Ttèhypïstéâ1 Vincart, qui
fait du si bon café. On la trouve pahout.
H
En vente dans toutes les maisons Delhaize.
u
Lors de la discussion du Budget
des voies et moyens pour 1910 aux
Chambres, plusieurs députés ont
critiqué, non sans raison, la situation
déplorable des finances de l'Etat par
suite de l'augmentation considérable
de la dette publique, et qui a eu
pour conséquence la baisse c'ontinue
de nos titres de rente 3 °/o qui trouve
encore difficilement acheteur 94
fr. °/0.
A cela le ministre des finances a
répondu qu'il croit que cette dépré
ciation est due au débinage dont la
rente est l'objet dans les assemblées
délibérantes et que le cours en dé
pend des acheteurs chez lesquels on
a diminué la confiance en ce place
ment.
Il n'en est rien.
Lors de la promulgation de la loi
de séparation des églises et de l'Etat
en France, les réactionnaires et na
tionalistes de ce pays et leur suite
les journaux cléricaux et les prêtres
Belges, n'ont-ils pas assez vilipendé
le gouvernement républicain et pré
dit la ruine du crédit de la France
Hé bien, cette campagne jésuitique
n'a eu pour résultat que de faire flé
chir pendant quelques mois la rente
française 97 fr. Aujourd'hui elle
cote Paris 99 fr. 40, ce qui prouve
que le crédit de ce pays est plus
stable que jamais et inspire chez les
capitalistes une entière confiance en
sa gestion financière.
La perte sur la rente Belge, qui
cotait toujours sous le gouvernement
libéral fr. 100-75 c. et même
plus, et qui ne vaut plus aujourd'hui
que 94 fr., doit être attribuée, selon
nous, une trop grande émission de
nouveaux titres hors de proportion
avec les ressources de notre petit
pays et dont le classement, ce taux
déprécié même, est devenu très dif
ficile. C'est la conséquence inévita
ble de l'accroissement considérable
de la dette publique nécessité par
les dépenses inconsidérées pour tra
vaux somptuaires et inutiles. Cet
accroissement, ainsi que nous l'avons
déjà dit ici, s'est élevé pour la seule
année 1909 11 9 millions
Rien que cela.
Par arrêté royal du 8 Décembre, M.
Peene, receveur de l'enregistrement et
des domaines Thourout, est nommé
receveur des mêmes produits Ypres.
Par arrêté royal du 10 Décembre, M.
Vàn Daele, juge au tribunal de îre in
stance d'Ypres, est désigné pour rem
plir les fonctions de juge d'instruction,
pendant un nouveau terme de trois ans,
prenant cours le 20 Décembre 1909,
Qu'est-ce que la confiture de groseille^'?
C'est l'extrait de lu groseille.
Qu'est-ce que le beurre de fruits
C'est l'extrait de noix et noisettes.
Cet extrait a le même aspect et la
même consistance que le beurre de
vache.
Si vous goûtez ce produit, vous ju
gerez qu'il a dans la bouche un goût
très frais, très pur, très agréable.
Du reste, ne dit-on pas d'un beurre
qui a bon goût, qu'il a le goût de
noisettes
En résumé, cet extrait de noix et noi
sette, a la même couleur, le même as
pect, la même consistance que le beurre
de vache et c'est pour ces motifs que
suivant la loi 011 doit dénommer ce
produit margarine
La véritable margarine de fruits
porte la marque OTO. C'est un produit
parfait et qui plus est, bon marché! On
le vend dans les bonnes épiceries, au
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