COSTUMES - CONFECTIONS CAIUÎON Y1 E. BEIRNAERT-VANDAËLE. RUE NEUVE VflXELûIRE-CLâES \IÎSE EN VENTE DES BRUXELLES SOIERI5S, SHANTUMGS, LAINAGES, FANTAISIES État-Civil d'Ypres Pharmacie Centrale 24, Rue du Lombard, YPRES. «■Jl éLfcj Mnvoi franco sur demande du Catalogue, d'échantillons et de tout achat partir de 20 francs. Déclarations du lr au 8 Juillet 1910. Depoorter, Marie, rue Basse. Car- pentier, Hubert, Grand'Place. Vali de Cavey, Alice, chaussée de Dicke- busch. Gesquière, Joseph, Uloitre S' Martin. Laçante, Fernand, rue de Lille. Demeulenaere, Camille, chaus sée de Poperinghe. Gikiere, Alice, Basse Ville. Buseyne, Marie, Mar ché au Bétail. Christiaens, Camille, ouvrier au magasin de fourrages, Oostcamp, et Goemaere, Julie, couturière, Ypres. Messiaen, Georges, coiffeur S' Gilles-fez-Bruxelles, et Giller, Marie, saps profession, Ypres. Claeys, Augustin, ouvrier de fabrique, veuf de Dombreeht, Clémence, Beernem, et Devos. Irma, sans profession, Ypres. Willekens, Jérôme, voyageur de commerce, et Hosten, Marie, sans pro fession, veuve de Vandelannootte, Henri, tous deux Ypres. Janssen, Marie, 40 ans, s. p., céliba taire, chaussée de Poperinghe. Note- baert, Félicie, 43 ans, négociante, cé libataire, rue Basse. Hazebrouck, René, 7 ans, rue Frezenberg. YVou- ters, Madeleine, 10 ans, sans profes sion, rue du Passage. Otton, Julie, 89 ans, sans profession, veuve de Sieuws, Henri, rue des Riches Claires.- Maerten, Marie, 00 ans, dentellière, veuve de Gadeyne, Jeanne, rue des Boudeurs. Flamand, Sylvie, 07 ans, sans profession, célibataire, rue Wen- ninck. Cools, Emma, 48 ans, sans profession, épouse dePeirsegaele, Emi le, Boulevard Malou. Swekels, Léo- nie, 75 ans, boutiquière, veuve de Gru- son, Florimond, et Deswarte, Pierre, rue du Verger. <E\ Dti.ll A.\Dt 5 (in ouvrier agricole UNION Gle DE CRÉD. NÉERL. Bruxelles s'amuse C'est le titre d'une marche entraî nante, avec trio chanté et sifflé, de A. DE BOODT, qui vient de paraître chez Schott frères, Bruxelles. La couver ture artistique (entrée de Bruxelles- Kermesse) est due au crayon de Ar mand LYNEN. It i-uxelles s'a muse î.t serachan- té et sifflé partout c'est le plus grand succès de l'Exposition. Mort aux Bats, Mulots, Taupes, Campagnols, Souris el tous rougeurs AVEC LA Pâte Terrible La IPâto Terrible est adoptée par toutes les principales administrations Hrttf ïft'/tor a m pves Ch. MAV, 35-GR A N D'P LACE-Y PRES ANTISEPTIQUE INSECTICIDE HVA 1 t:i u nu Société Belize du Carbonyle Trooz. r» CRÉDIT GÉKÊRAl MY OTHÊCâlRF au Capital de 7,500,000 francs I. PRÊTS Sur hypothèques II. OBLIGE ONS FO C1ÉRES 4 7. NOUVEAUTÉS DE LA SAISON l'oncle Sam sur le théâtre de la politique mondiale. Roosevelt forge, aux acclamations de ses compatriotes grisés de leur impéria lisme naissant. les redoutables instruments de guerre qu'il réclamait jadis, lors de son passage au ministère de la marine. Mais il fit mieux dans la guerre il forgea la paix Et cet homme qui devant les empereurs et les rois pusillanimes arrête d'un geste âuguste le carnage russo-japonais, s'altirant avec la bénédiction des vaincus la recon naissance des vainqueurs, apparut singuliè rement grand au monde ému Sans compter la sacrée cohorte des journa listes qui, raison de leur mission sacrée, s'attachent immédiatement au président des U. S. comme le limaçon sa feuille de salade, un quarteron de biographes se met tent dresser inventaire du passé de ce personnage en vedette. L'analyse de son étonnant labeur aura préparé les maté riaux aux historiens. Ceux-ci, après avoir campé le successeur de Mac-Kinley dans une gloire transatlantique, pourront le proposer aux générations qui montent der rière nous comme synthèse modèle de tra vail, d'énergie et de vigueur. Que de pané gyristes/épuisant le vocabulaire du laudatif, détailleront au pied des statues les petites pages d'une grande histoire, tandis que les étoiles et les stries stars und stripes de la bannière américaine frissonneront l'enthousiasme des foules et aux hymnes tonitruants de quelque Sousa ressucité Quelle allégorie brosser de l'homme et des œuvres Pour loger cette toile il faudrait le cadre du livre Faute de place n'est pas vice Obligés d'être brefs, citons pour justifier le titre de l'article un fait dans le triple domaine militaire, politique et économique qui accuse plus particulière ment l'énergie de ce favori de la renommée Au cours de la guerre hispano-américaine en l'an de guigne 1898, Roosevelt peut donner complète mesure de son énergie. Il lève, organise, équipe et mène un régi ment de volontaires travers la chanson des balles et des obus aux victoires de Las-Gua- simas, San-Juan et Santiago. Si le chef prône les soldats, ceux-ci, leur tour van tent le chef. Ecoutez leur appréciation C'est le soldat Palmers qui écrit sa famille dans le Kansas Un soldat Vous donneriez votre vie pour voir cet homme-là conduire une charge et pour l'entendre appeler ses hommes. Il ne sait pas ce que c'est que la peur et il semble qu'il a un charme contre les balles. Et le général Wheeler d'ajouter cet eloge du colonel des Rough-Ridders Un jour ou l'autre ses splendides qualités lui vaudront la plus haute situation que les Etats-Unis puissent donner L'année 19c», Roosevelt, porté par la convention républicaine de Philadelphie candidat la vice-présidence des Etats-Unis, se trouve, puisque Mac-Kinley défaille la propagande effective, chargé de diriger seul la lutte électorale. Tout feu tout flammes le futur président sillonne en différentes tour nées les états et les territoires suivants Michigan, Wisconsin, Minnesota, Dakota du sud et du nord, Montana, Idaho, Utah, Wyoming, Colorado, Kansas, Nébraska, Missouri, lowa, Illinois, Indiana, Ken- tucky, Ohio. Virginie, Maryland, et l'état de New-York. Voici en quoi consiste une tournée Roo sevelt embarque en train spécial; en route; Full Speed pour dix douze jours Il y a une bonne centaine d'arrêts variant de quinze minutes deux heures pour adresser aux électeurs qui ont envahi les gares une moyenne journalière de quatorze discours il y a les délégations politiques recevoir il y a le defile. fanfare en tête, des sociétés locales *ur les juais il y a une bé nédiction politique donner a l'orphéon du cru et son chœur patriotique; il y a... mais mon énumération ne finirait pas Quelle campagne et tudieu quel entrain L'e- quipe Rooseveh-Mae-Kinley triompha 1 Le voilà bien le véritable tour d'Améri que Pas n'est besoin de commentaires en style sportif Le lecteur appréciera lui-même l'effort nécessaire de pareilles prouesses. Apportons un dernier exemple où l'éner gie s'allie la droiture Les trusts avaient versé dans la caisse électorale vingt-six millions destinés la propagande républicaine. Quelle chaîne d'or pour attacher un autre que Roose velt! Sans peur, le président sans reprochas fit sortir les grandes associations financières de l'atmosphère supra-légale où elles s'épa nouissaient et les fit redescendre dans les conditions du droit commun. A ces fins l'at torney général devint le grand prêtre de quelques sacrifices dont le Beef-trust fut la première victime expiatoire, le beef-trust fut le bœuf Quatorze procès contre les compagnies de chemin de fer suivirent cette première instruction au criminel, et lorsque les administrateurs du Great Northern et du Northern pacifie furent, sous l'inculpa tion de porter atteinte la libre exportation du coton, poursuivi» jusque devant la cour d'appel de Saint-Paul, la stupéfaction fut générale. Princes, ducs et barons du dollar, littéralement outrés de ce que Roosevelt négligeât de ganter de velours une main de fer, eurent pour seule consolation d'expli quer aux coryphées de la haute banque le vieux brocard latin dura lex, sed lex Tous le comprirent si bien que la crainte du gendarme devînt le commencement de la sagesse. Le but de cet article est d'attirer simple ment l'attention de nos lecteurs sur le grand citoyen yankee qui ajouta une fort belle page l'histoire de son pays et auquel le peuple américain va repasser la plume. Croyez-moi les faits et gestes comme les actes et paroles de ce bon citoyen sont aussi intéressants que les swings de Jeffries et les uppercuts de Johnson. Le Dentiste M. 1 feier a l'honneur d'in former sa nombreuse clientèle qu'il ne pourra plus se rendre PROVfSOIRE- A/ENT Ypres pour y être consulté et qu'il n'y sera remplacé par personne. Les clients qui auraient cependant le désir de consulter MA/eier sont priés de se ren dre sa maison Courtrai, coin de la rue de Mouscronn0 2, maison porte cochère, près de la prison. En prévenant 1feier quelques jours l'avance, les personnes qui se rendent chez lui Courtrai le matin, pourront repartir l'après-midi, avec leurs dents artificielles. Naissances Mariages Décès pour 1111 établissement au c.unaiii de ton». I travaux de cul ture ci sachant bien liane. Sadre sur au bureau du Journal avance de oOOO à30,000 fr. el plus pers solv. et hon. Inl 6 Long terme Conv. pol a->s. vie. Discrét. et célérité. Dent coud A VI P. 50 Office de Publicité, Bruxelles. Résultats merveilleux et extraordinaires Cd se charge au bureau du journal de l'impression des cartes de visite et de tous genres de travaux d'impression tant en lithographie qu'on tvpotfrapbie. Vprès Impr E LAMBIN-M ATHÉE, rue de IHxmude58. 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Le Progrès (1841-1914) | 1910 | | pagina 4