COSTUMES - CONFECTIONS FIEVRE 4SïS!*E FOINS Pharmacie ouverte CARBONYLI E. BEIRNAERT-VANDAELE, VâXEUIRE-CLAES BRUXELLES SOIEBIES, SHANTUNGS, LAINAGES, FANTAISIES Mort aux Stats, CRÉDIT GENERAL HYPOTHÉCAIRE MISE EN VENTE DES Pâte Terrible CH. MAY, II. OBLIGATIONS FONCIÈRES 4°/. État-Civil d1 Ypres. REPOS DOMINICAL 24, Rue du Lombard, YPRES Il lùivoi franco sur demande du Catalogue, d'échantillons el de tout achat partir de 20 francs. La guerre scolaire. Le refus d'agréation des écoles nor males provinciales ne constitue qu'un épisode de la guerre sournoise, haineu se, criminelle, que poursuit le gouver nement clérical l'égard de l'école publique, qu'il apourmission naturelle de soutenir et de protéger. Ses procédés de guerre sont souvent mesquins et ridicules. Ils sont souvent aussi scandaleux et révoltants. Par exemple, il arrive fréquemment que les communes cause de la surpo pulation des classes, décident d'agran dir leurs locaux afin de respecter les conditions hygiéniques aussi nécessai res la santé physique de l'enfant qu'au développement régulier de sa santé intellectuelle. Les projets d'agran dissement sont, conformément la loi, envoyez au ministère. Celui-ci les garde pendant des années, puis, quand les réclamations des communes intéres sées deviennent par trop pressantes, il leur renvoie le projet l'étude, pour modification en réalité pour ga gner du temps et maintenir pendant un nouveau délai l'état des choses défec tueux. Après quoi, il attend encore des mois avant de donner son approbation définitive. Les enfants sont victimes de ces atermoiements volontaires, mais c'est justement sur cela que compte le gouvernement. Il espère que les pa rents, craignant pour la santé de leurs petits, les enverront l'école congré- ganiste le fait est arrivé pour de nom breuses communes. Cette année, le ministère a imaginé une manœuvre non moins perfide qui atteint également toutes les communes du pays. Autrefois, les municipalités rece vaient une partie du subside ministériel pour l'instruction publique en lin Fé vrier et le solde de ce subside en fin Mai. Beaucoup de petites communes a budget limité se trouvent, du fait de ce retard financièrement gênées, et les plus pauvres ont dû, bon gré mal gré, laisser en souffrance le payement de leurs instituteurs et institutrices. Ceux- ci, ayant pour la plupart des charges defamille, sont obligésde vivre du cré dit que veulent bien leur accorder leurs fournisseurs c'est la gène, et, pour beaucoup, la détresse et le dénù- ment... Admirable façon, n'est-ce pas, de sauvegarder le prestige moral des éducateurs de l'enfance Et les écoles congréganistes, ques tion nera-t-on, ont-elles souffrir du même retard Iœs petits-frères et les nonnettes ont sans doute besoin de leur argent pour nourrir leurs enfants Peut-être fera-t-on observer que le chiffre des subsides congréganistes étant le moins élevé, le gouvernement dans la dèche a préféré commencer par solder celui-là Erreur profonde Même dans nos régions industrielles, où l'enseignement public a su le plus victorieusement résister aux efforts dé loyaux de ses ennemis, les subsides aux écoles congréganistes sont égaux aux siens. Donc, le gouvernement, pour battre en brèche les écoles nationales, acces sibles tous les enfants, respectueu ses, sauf le cours de religion, dé la liberté de conscience, n'hésite pas méconnaître ses engagements vis-à-vis des communes, quitte affamer sans scrupule de malheureux instituteurs. Voilà où nous en sommes arrivés. Encore quelques années d'oppression réactionnaire, et l'école nationale sera systématiquement ruinée au profit de l'école confessionnelle, dont le but politique n'est même plus nié par ses partisans. Il est temps que l'opinion publique se ressaisisse, qu'elle se soulève avec indignation contre ceux qui rêvent, au mépris des droits de la conscience, de livrer la jeunesse belge tout entière la déformation du petit-frère, avec ou sans diplôme, Belge authentique ou Belge artificiel. L'heure n'est plus aux plaintes et aux murmures elle est aux actes. Il faut prouver nos maîtres, par l'énergie de nos protestations, que nous ne leur permettrons pas d'aller plus loin dans leur œuvre révolutionnaire et qu'ils eut assez abusé de leur pouvoir menson ger, franduleux, conservé par l'organi sation méthodique de l'escroquerie en matière électorale. Déclarations du 8 au 15 Juillet 1910. Segers, Robert, Cimetière S" Jacques. De Moor, Roger, Zaalhof. Neve- jan, Robert, rue Longue du Marais. Dauchv, Ivonne, rue de l'Ecuelle. Priern, Louis, Vieux Marché aux Ha bits. Denoyelie, Angèle, rue S'Jean. Cherchye, Georges, rue du Passage. Vercouter, Maurice, rue du Paradis. Doolaeghe, Simonne, rue S' GhristofUe. Malfait, Robert, ehaussée de Zonne- beke.Knockaert, Georges, chaussée de Zonnebeke. Grooten, Pierre, tailleur, et Hanard, Marie, tailleuse, tous deuxàYpres. Baetens, Emile, fleuriste, el Verschoo- re, Valentine, dentellière, tous deux Ypres. Speybrouck, Oscar, cultiva teur, et Crevits, Marie, sans profession, tous deux Ypres. Yandenbussehe, Isabelle, 81 ans, sans profession, veuve de Vanhecke, Louis, épouse de Denoyelie, Richard, rue de Dixmude. Mavollet, Clémen tine, 57 an-, sans profession, veuve de Baudum, Maximihen, chaussée de Po- peringhe. Mailliard, Joseph, 94 ans, sans profession, veuf de Moerman, Amélie, rue de Lille. De Paepe, Ga- brielle, 17 ans, sans profession, rue YVenninck. De Gryse, Charles, 75 ans, sans profession, veuf de Delsalle, Catherine, rue Eigenheerd. Geldhof, François, 44 ans, photographe, époux divorcé de Carnier, Marie, rue de Menin. Jacques, Roger, 5 ans, Plai ne d'Amour. Latour, Virginie, 70 ans, sans profession, célibataire, rue de l'Hôpital S' Jean. M. C. MAY, j Savon de Bergmann et C"., Radebeul-Dresde, 0,75 et. la Inique, Ypres Jules FLA MAND Coiffeur, rue du Temple, 1 Flo- rimond BARTIER, rue au Beurre. C. Gru wez-Lacour, merceries, rue de Dixmude, 81 Ten bureele dezes. Déclaration pour brasser, goreed gedrukt, aan genadigeD prijs. Poudre etCigarettes Escouflaire Mulots, Taupes, Campagnols, Souris el lous rongeurs AVEC LA Seul (ft'/iôt 1 près Pharmacie Centrale 35-GR AN D'P LACE-Y PRES Ou se charge au bureau du journal de l'impression des cartes de visite et de tous genres do travaux d'impression tant en lithographie qu'en typographie. i ANTISEPTIQUE INSECTICIDE CONSERVAT EUH I>1 ItOïë Société Belge du Carbonyle Trooz. Dépositaire au Capital de 7,500,000 francs I. PRÊTS sur hypothèques NOUVEAUTÉS DE LA SAISON Elles n'ont reçu une partie de leur pre mière partie de subside qu'en fui Mars, et le reste de cette première partie fin Mai. Les écoles congréganistes ont reçu fin Février, comme de coutume, la pre mière partie intégrale de leur subside. Elles sont déjà entrées en possession de la seconde partiela date ordinaire. Le Dentiste M. Meier a l'honneur d'in former sa nombreuse clientèle qu'il ne pourra plus se rendre PROVISOIRE MENT A Y près pour y être consulté et qu'il n'y sera remplacé par personne. Les clients qui auraient cependant le désir de consulter M. Meier sont priés de se ren dre sa maison Courtrai, coin de la rue de Mouscron n° 2, maison porte cochère, près de la prison. En prévenant MMeier quelques jours l'avance, les personnes qui se rendent chez lui Courtrai le matin, pourront repartir l'après-midi, avec leurs dents artificielles. Naissances Mariages Décès OPPRESSIONS Soulagement immédiat AqÇ •t infaillible. Uuu Dimanche iV Juillet l»iO GRAND'PLACEn' 55. YPRES et beauté sont procurées par un teint rose, pur, frais, et par un visage sans lâches de rousseurs, points-noirs, rougeurs etc. N'employez cet effet que le Demandez M. ESCOUFLAIFE, Esplanade, ATH, UNE BOITE D'ESSAI GRATUITE DE avec nombreux certificats de guérisons. DÉPÔT dalia TOUTES les PHAKMACIES. Résultats merveilleux et extraordinaires La Pâte Terrible est adoptée par toutes les principales administrations Ypres. hnpr. K LAMBIN-MATHÉE. rue de Dixmude53. Remplace avantageusement le goudron et les peintures l'huile. 1 kilo remplace 10 kilos de goudron. Le meilleur enduit-peinture pour toutes boiseries, charpentes, hangars, clôtures, écuries, re mises, pieux, etc. Assèche les murs humides. n J SOCIÉTÉ ANONYME 8lègs aocial BRUXELLES, 65, Rut Royale Ces obligations sont gagées par des hypothèques sur dea pro priétés de premier ordre. 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Le Progrès (1841-1914) | 1910 | | pagina 4