I Caisse des Propriétaires Emission d'obligations 4 Echéance lo Octobre. EXTRAIT. DES cor, ANS SANS FRAIS A. J. V O N G K BANQUIER CYCLISTES"! Pharmacie ouverte, Ga isse Tas Propriétaires E. âNGILLIS-BÛUQUET BANQUIER Afaire sérieuse. YPRES RE VOUV EEEEMENT et p aie vient PAR L'AGENT REPOS DOMINICAL POPERIXGHE. Un drame sanglant s'est déroulé Poperinghe, Lundi, dans les circon stances suivantes La nommée Alice Bamelis, âgée de •24 ans, journalière, était depuis long temps l'objet de menaces et de mau vais traitements, de la part d'un certain Camille Debruyne, i8 ans, ouvrier en la même ville," un individu des plus dangereux, qui voulait tout prix cour tiser la jeune fille. Cette dernière re poussa obstinément ses avances. Elle épousa il y a une dizaine de jours le nommé Achille Artois. De là, grande fureur chez Debruyne, qui répéta qui voulait l'entendre, que le bonheur du jeune ménage serait de courte durée. Lundi après-midi, vers 4 heures, les époux ArtoiSrBamelis, travaillaient sur un champ, situé proximité de leur demeure, en compagnie de l'oncle de la femme Bamelis, ïorsqu'arnva le rival Debruyne, armé d'un fusil. S'étant approché de la famille Artois, il réitéra ses meaaces, disant que le moment était venu d'en finir et que, .puisqu'il trouvait la famille réunie, tout le monde 1 y passerait. Joignant le geste la paro- le, il mit en joue la femme Bamelis, qui, d'un mouvement instinctif, se jeta derrière son mari mais le coup de feu était déjà parti et avait atteint la malheureuse femme dans les reins, lui faisant une alfreuse blessure. Artois et son oncle furent également atteints par les plombs. Debruyne faisant mine de recharger son arme, Artois se jeta violemment sur l'assassin, mais celui- ci sortit aussitôt un revolver et tira encore deux coups de son arme. Ar tois fut de nouveau atteint par une balle, mais sa nouvelle blessure ne l'empêcha pas d'arracher le fusil son agresseur. Saisissant alors l'arme par le canon, il en asséna des corrps terri bles sur la tète de Debruyne, qui s'a battit son tour, mortellement blessé. On comprend que la nouvelle de ce terrible drame ait jeté l'émoi dans toute la contrée. La fenrme Artois est en danger de mort et a été administrée Lundi soir. On craint pour elle une issue fatale. Achille Artois et son oncle n'ont pas été grièvement blessés, quoique Ar tois porte encore une balle de revolver dans le corps. Quant l'assassin Debruyne, il a été terriblement malmené et c'est miracle qu'il n'ait été tué sur place. Il a la tète horriblement mutilée et estméconnai- sable. 11 est également en danger de mort. Le parquet d'Ypres, accompagné d'un médecin légiste, s'est rendu sur les lieux Lundi soir. Debruyne a déclaré avoir agi avec la ferme intention de tuer sa victime et, dans le cas où elle en réchapperait, il était prêt recommencer. L'état de l'épouse Artois-Bamelis reste toujours très grave. On craint que les poumons n'aient été atteints par les plombs. Artois Achille porte une balle de revolver dans la cuisse et a été atteint au bras pardenombreux plombs. Son état est satisfaisant, ainsi que celui de son oncle. Enfin Debruyne, l'assassin, a la boite crânienne fracturée en plusieurs en droits et on s'attend le voir expirer d'un moment l'autre. Il a reçu sur la tète de formidables coups qui lui ont été portés par Artois, l'aide de son propre fusil. L'arme est complètement tordu force d'avoir frappé. L'oncle d'Artois, de son côté l'a'frappé coups redoublés, l'aide d'une houe. Le Parquet d'Ypres est retourné sur les lieux Mercredi après-midi. Par suite d'héritage, remettre Bruxelles, important magasin de linge ries fines bien connu et existant depuis plusieurs années. Installation luxueuse et clientèle de 1er ordre, chiffre d'alïaires 42.000 fr. par an, laissant bénéfice net, tous frais déduits, de 11.000 fr. prouvé par livres. 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Les Français, les Allemands, les An glais, les Autrichiens, les Hongrois, les Grecs, les Russes, les Américains, les Serbes, les Bulgares, les Italiens, les Espagnols, les Portugais, ont le suffrage universel pourquoi les seuls Belges en seraient-ils indignes A la requête de l'Etat Belge, poursuites et diligences de la So ciété Anonyme Société Natio nale des Chemins de fer Vicinaux dont le siège est Bruxelles, re présentée par son Directeur Général, Monsieur Constantin de Burlet, ayant pour avoué, Maître Juste COUROUBLE, Avocat-Avoué, Ypres, rue Courte de Thourout, n° 39. Par exploit des Huissiers CLAUS de Hooglede, GOIGNE de Bruges et KEYAERTS de St-Josse-Ten- Noode, tous en date du 19 Octobre 1910, assignation a été donnée i° HUYGHEBAERT Emérence, Veuve Alphonse AMEEL, en nom personnel et en qualité de tutrice de ses enfants mineurs, Staden 20 AMEEL Jérôme 30 AMEEL Ade- line 40 AMEEL Maurice, ces trois, pâtissiers Bruxelles 5" AMEEL Alice, modiste Staden 6° AMEEL Céline, semante Bruges 70 AMEEL Astérie, veuve Victor B1LLIET 8° AMEEL Al fred, hôtelier 90 AMEEL Isabelle, et son époux Jules DQUBEL, bou chers, les trois derniers Staden io° AMEEL Elvine et son époux DEBAERE Oscar, cabaretiers Langemarck n° AMEEL Jules, négociant Staden, co-propriètaires des biens ci-après, pour comparaî tre l'audience du Tribunal civil de première Instance d'Ypres, du Mercredi 1 O Noxeni- l>r-e 1910, aux fins de voir déclarer accomplies les formalités prescrites pour l'expropriation des terrains nécessaires l'établisse ment du chemin de fer vicinal de Roulers-Dixmude-Bixschote, et no tamment de 20 ares et 48 centi ares «le pré sis Staden, Section A, n° 1108. Entendre dire que les indemnités dûes seront fixées par justice, en tendre, cette fin, nommer des experts, et dire que, moyennant la consignation des indemnités, l'Etat sera envoyé en possession des em prises. Il a été notifié en même temps aux cités que toutes les pièces justificatives des formalités rem plies se trouvent déposées au Greffe du Tribunal, l'examen des inté ressés. En 188i, la charge des impôts indi- rects représentait onze francs par tète d'habitant. Elle atteint aujourd'hui dix-neuf francs par tète d'habitant, soit une augmentation moyenne de qua rante francs sur le budget annuel d'une famille. de Bergmauu et G"., Radebeul-ûresde, 0.75 et. la brique Ypres Jules FLA MAND, Coiffeur, rue du Temple, 1 Flo- rimond BARTIER, rue au Beurre. G. Gru- wez-Lacour, merceries, rue de Dixmude, 81 Exigez sur votre vélo les Ce sont les seuls pouvant vous don ner entière satisfaction. II. ,1. DEHOUCK, II. A. DOXCK. suce F Va'N WISUEFENS, RUE DE LILLE/5. YPRES. 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Les clients qui auraient cependant le désir de consulter Ifeier sont priés de se ren- dre sa maison Courtrai, coin de la rue de Mouscron n° 2, maison porte 1 cochère, près de la prison. i En prévenant MMeier quelques jours l'avance, les personnes qui se rendent chez lui Courtrai le matin, pourront repartir l'après-midi, avec leurs dents artificielles. ENEUAtA TIQUES COLONIAL on DEJUX ANCRES. S.A., S, (tuai il» Strop, G AND Dimanche BO Octobre lfllO RUE DE DIXMUDEn» 16 YPRES. Toussaint, S 41 <U 3 9 été Anonyme) AUTORISÉE PAR ARRÊTE ROVAt. bu JUIN 1835 La Société.émet actuellement des ol»ii<g"îi t i<>nsi Je 300 francs remboursables au pair la quinzième année de leur émission et rapportant un intérêt annuel de <J Htlt i'C pour cent (4. j>. o.) elle se réserve le dtoit de les rembourser dès la dixième innée. Le but de la Société est de prêter un intérêt modéré et long terme, sur garanties hypo thécaires, avec faculté aux emprunteurs de se libérer par fractions périodiques, au moyeu d'an nuités exiinetives du capital, payables semestriellement, ou par remboursement total une épo que déterminée Elle pourra prendre des valeurs en dépôt, établir une caisse de survie et faire aussi tous placements terme pour le meilleur emploi des londsou valeurs qui seront temporai rement versés ou déposés entre <es mains. (Extra1' des Statuts). AGENT A YPRES

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Le Progrès (1841-1914) | 1910 | | pagina 3