ADOLPHE DELHAIZE C ADOLPHE DELHAIZE Cie E. A N GI OUQUET DENRÉES COLONIALES Caisse des Propriétaires BANQUIER SANATORIUM Grand STOCK Georges lapiere. DISTILLERIE DE ROUBAIX. Correspondance. On nous prie de reproduire l'article de Y Indépendance au sujet de la res tauration de nos Halles et la lettre de M. le Bourgmestre adressée ce journal. Nous allons déférer cette prière dans notre prochain numéro. Le Conseil communal de notre ville s'est réuni hier soir, 5 heures. Voici les objets qui figuraient son ordre du jour Nous donnerons le compte-rendu de cette séance dans notre prochain numéro. Exposition La société d'Horticulture de l'arron dissement d'Ypres, organise le Diman che 13 Novembre 1910 au local social, Lions Apprivoisésrue du Verger, une exposition de chrysanthèmes qui sera ouverte au public de 10 h. du matin 41/2 h. du soir. Entrée libre pour les membres de la société. de cheminées en marbre, des prix très avantageux. 50, rue des Chiens, YFRES. Société Royale des Francs Arbalétriers. 2e oiseau Paeme Charles. 3" oiseau JOupont Daniel. T prix T Moyen total Aertsens L. 2° prix lr Bas total Dehollander H. 3e prix T Haut total Harteel A. 4° prix 2" Moyen total Dupont V. 5" prix 2e Haut total Vermeulen R. 6' prix 2e Bas total Vannieuwenhuize. 7° prix 3° Bas total Gillis G. Société de Garde-civiques. Pintelon M. 15 20 25 10 25 95 Froidure R. 25 15 10 25 15 90 Masschelein A. 20 25 5 25 15 90 Ommeslagh R. 20 15 20 15 15 85 Valcke A. 20 20 10 10 15 75 Heughebaerl-Swekels 79-81, Boulevard du Hainaut, fc-X— >-0 ••aoa. Exposition liih erse Ile rl liilerualiouale de Bruxelles 1910 VINS ET SPIRITUEUX ^o> FIIODLITS EXPOSES Vins Liqueurs Huiles I inaigres Cafés Chicorée Chocolats Confiseries OF uvres sociales i* RÉCOMPENSES OBTENUES Deux Grands Prix F. C. F11 Grand Prix Deux Di|>l ornes d'Ilonneur En Diplôme de Médaille d'Or 1 Trois Diplômes de Médaille d'Argent 26, Due de Scliampeleer, (tt?—Q* 26, BRUXELLES. Laissons les enfants leursjeux :c'est leur santé et leur bonheur; et ne nous soucions pas de ce. que deviennent leurs habits,car nulle tache ne résiste au SUNLIGHT savon. O iO iO C O O O O S( O Q SO -3s C O O h W sj« cc wOwOOOO o o x. CT3 Brasserie L'YPROiSE rue «le la K«»u«'lic, Îi8. CVCIaISTES l'Ai EL HA TIQLES COLONIAL Pharmacie ouverte Oimunche ISXovem 1914) M. C. LlBOTTE (Société Anonyme) Place de Louvaiu, 18, Bruxelles. AGENT A YPRESs Il I S-. U L II I OA, 5 YPRK^i. (Voir l'àtat-civil la i"*0 p.^ nable, ce qui éviterait aux parents la pénible obligation de voir travailler et étudier leurs petites, en dehors de la classe, jusqu'à des heures indues; lorsqu'on envoie ses enfants l'école, c'est pour qu'ils y appren nent et non pour être obligé de les instruire soi-même. Nos maîtres ne peuvent se retran cher derrière aucune excuse, pour justifier l'abandon d'un de nos meil leurs établissements d'instruction. Ils ne peuvent pas même invoquer la raison financière, car il n'est pas difficile de démontrer que l'école de la rue S' Jean ne constitue nulle ment une charge pour l'administra tion communale, mais qu'au contrai re, chose incroyable, elle rapporte la ville. En effet, lorsque nous consultons le dernier rapport sur l'administra tion et la situation des affaires de la ville, nous y trouvons pour l'exercice 1908, la page 76, ce qui suit Recettes effectives. (Rétributions sco laires, subsides de la province et de l'Etat, et allocation de la commu ne) 3975"°° Dépenses effectives. (Traite ment du personnel, chauffa ge, éclairage et entretien). 3917-94 Soit un excédent de recet- tes de 57-o6 La part d'intervention pour la ville, se monte fr. 1161-00. Les subsides de la province et do l'Etat s'élèvent respectivement 132 fr. et 150 fr. Les rétributions scolaires ont rap porté en 1908, la somme de fr. 2302-50. Si l'on tient compte de ce que le nombre des élèves, qui n'était que de 50 en 1908, est monté 80, cette année, on peut en déduire, que l'école payante peut subvenir son existen ce, par ses propres moyens, c'est-à- dire par le produit des rétributions scolaires et que son budget se clôtu rera par un excédent sensible, sans que la ville doive encore intervenir Nous nous trouvons donc devant cette situation stupéfiante, d'une administration, qui a pour premier devoir, d'organiser l'enseignement, titre de service public, et qui spé cule sur les revenus d'une école com munale, en empochant les rétribu tions des enfants, auxquels elle refuse une instruction convenable. Nous répétons que cet état des choses ne peut pa§ perdurer, car l'in justice est par trop criante. D'un côté, les parents, même d'apprécier les progrès réalisés par leurs enfants, se découragent et non sans raison. D'autres familles s'im posent des sacrifices, pour pouvoir envoyer leurs petites l'école payan te, et leur donner une instruction, dont eux, parents, n'ont pas eu le bonheur de jouir. Ces per sonnes ont confiance dans le bon renom de l'école. Eh bien, leurs en fants, abandonnés leurs propres moyens, végètent sur place et les parents sont indignement trompés dans leur attente. Si la direction de l'école avait été entre de bonnes mains, la situation dont nous nous plaignons, aurait dû être signalée l'administration com munale, dès la rentrée des classes et l'autorité aurait dû prendre immé diatement les mesures indispensa bles. Nous ne savons pas si la demoi selle ff. directrice a usé du droit que lui confère l'article 10 du règle ment de 1887, qui lui impose de si gnaler les défectuosités de l'organi sation d'un enseignement dont elle a la direction. Si elle ne l'a pas fait, elle a man qué au premier de ses devoirs. Si elle l'a fait, c'est l'administra tion se prononcer. Qu'elle ait le courage de son opinion. Assez d'hy pocrisie. Si elle veut la mort de l'Ecole, qu'elle le dise, franchement, sans détours cela vaudra mieux que d'abuser indignement de la confiance des parents, comme elle le fait au jourd'hui. Lustin). M ulutlie de poitrine. Pension 10 12 francs. Ascenseur. Chauffage central. Eclairage électrique 1. Propriétés communales location de la pèche dans l'étang de Zillebelce. 2. Finances compte communal de i909. 3. Finances communales prélève ment sur l'emprunt. 4. Ecole de musique budget 1911. 5. Culte: budget 1911 de l'église <S' Pierre. 6. Culte: budget 1911 de l'église S1 Jacques. 7. Instruction publique liste des ayants-droit l'instruction gratuite intervention du Bureau de Bienfaisance. 8. Hospices civils cession des droits de co-propriété un passage donnant accès l'asile La Bourse 9. Bureau de Bienfaisance cession d'un bail. 10. Bureau de Bienfaisance libéra lités pour concession de sépultures. MA lt 11 lui: H Tir du 7 Novembre. Offert par le Président Aux Oiseaux T oiseau Vandaele Alfred. Au Cercle. 8e prix 3e Moyen total Deweerdt Ch. 9' prix 3° Haut total Vermeulen H. Tir du 3 Novembre 1910. Aux Cartons. 22 TIREURS. Coin de la Place Anneessens) Téléphone WO8O. BRUXELLES. Chambres pour Voyageurs. Maison fondée en 1886 700 SUCCURSALES EN BELGIQUE m r morn» OOO oooo Bière spéciale et bière bock en bouteilles. Remise domicile par G, 12 et 24 bouteilles. Exigez sur votre vélo les ou I >i-H X A >CHES. Ce sont les seuls pouvant vous don ner entière satisfaction. S.A., 8. Ouai «lu Stro|>, GAXD MA RCHÉ A U BEURRE. 51 Y PRE S' ei beauté sont procuiées pur tin teint rose, pur, frais,et par un visage sans taches de rousseurs, points-noirs, rougeurs etc. N'employez ii cet effet que le Savon DADA de Bergmann et G"., Radebeul-Dresde, 0.75 et. la brique, Ypres Jules FLA MAND, Coiffeur, rue du Temple, 1 Flo- rimond BAtiTIEti, rue au Beurre. G. Gru- wez-Lacour, merceries, rue de Dixmude, 81. AUTORISÉE PAR ARRÊTÉ ROYAL DU 8 JUIN 1835 La Société émet actuellement des ol>lde 500 francs remboursables au pair la quinzième armé" de leur émission et rapportant un intérêt annuel de quatre pour cent (A p>. o.) elle se réserve le dioit de les rembourser dès la dixième .'finée. Le but de la Société est ce prêter un intérêt modéré et long terme, sur garanties hypo thécaires. avec faculté aux emprunteurs de se libérer par fractions périodiques, au moyen d an nuités exlinctives du cap'lal. payables semestriellement, ou |iar remboursement total une épo que déterminée Elle pourra prendre des valeurs eu dépôt, établir une cais-e de suivie et faire aussi tous placements terme pour le meilleur emploi des fonds ou valeurs qui seront temporai rement versés ou déposés entre ses mains. (Extrait des Statuts).

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Le Progrès (1841-1914) | 1910 | | pagina 3