SUNLIGHT Neuve-Eglise. Pensions ouvrières. Cercle Symphonique d'Ypres. d'QEuvres de Mendelssohn. Harmonie communale. conc ta 1; Société des Anciens Pompiers. Francs Arbalétriers. Garde civique. REPOS DOMINICAL. Pharmacie ouverte M. J. HFïlOLCK, SAVON Examens. Guérisou ^ans opération P* 0 0 3 Par lettre du 1" Décembre 1010, M. le ministre dfe l'industrie et du travail nous fait savoir que, par mesure excep tionnelle, M. le Directeur général de la Caisse de Retraite pourra considérer comme étant faits en 1909, les verse ments que les affiliés nés en 1843, 1844 et 1845 auraient elfectués en 1910, en vue de constituer le minimum de 18 francs, prescrit pal1 l'article 9 de la loi du 10 Mai 11)00 sua- les pensions de vieillesse. Le Cercle Symphonique, sous la direction de M. Van Egroo, donnera Dimanche, ii Décembre, 3 1/2 heures de relevée, en la Salle de Spectacle, une audition musicale L'entrée est gratuite. Néanmoins on peut se procurer des places réservée^ et numérotées chez M. Nuytten, rue au Beurre, 45, moyennant 1 franc par place. F. MENDELSSOHN-BARTHOLDY, Né Hambourg en 1809, Mort Leipzig en 1847. Avec le concours de M. L. VANHOUTTE, pianiste. 1. Sonate op 4 en fa mineur pour violon et piano. a) Adagio, Allegro moderato. b) Poco adagio. c) Allegro agi'tato. 2. Quatuor pour cordes n° 3, op 44 en ré a) Molto allegro vivace. b) Andante expressivo ma con moto. c) Menuetto. 3. Capriccio brillant op 22, pour piano avec accompagnement de symphonie. Andante - Allegro con fuoco. 4. Symphonie n° 3 (Ecossaise) op 56 en la mineur. a) Introduction et allegro agitato. b) Andante cantabile. c) Allegro guerriero et finale maestoso. -■ ii '^•aaw- _.ii tt«T Dimanche II Décembre, 0 h. du soir, aux Halles, (Salle Pauwels). Entrée Nieuwwerk. PROGRAMME 1. Sous les drapeaux, von Rlon. allegro militaire. 2. Flandre, Steenebrugen. grande marche. 3. Kermesse flamande extraite de Milenka (arr. par F. Deconinck). L Blockx. a) Kermesse, - b) Danse des sabots. - c) Entrée des rhétoriciens. -d) Scène d'amour. - e) Entrée de Zingaris. 4. Pavane Ecossaise Gab. Allier. 5. De lustige boer, fantaisie sur l'opérette de Léon Fall, arr. par F. Deconinck. a* Programme du Concert, suivi de Re doute, qui aura lieu Dimanche 11 Dé cembre, 7 heures précises du soir, avec le concours de MM"" Arlette LINDEN, Soprano dramatique des Théâtres de Reims et de Calais, et Suzanne LINDEN pianiste-claveciniste, et de M. G. BRASSINE, Baryton de grand opéra du Kursaat d'Ostende. 4" PARTIE. 1. Marche des Lutins, Rousseau. 2. Roméo et.Juliette, fantaisie, Gounod. Remise de l'insigne et du diplôme aux nouveaux décorés. 3. Les Maîtres Chanteurs, fantaisie, Wagner. 4. Amoureuses, valse, H. Moerman. 2e PARTIE. 1. Prologue de Paillasse, LéoxCavallo. par M. Brassine. 2. Grand air d'Aida, Verdi. par M11' A. Linden. 3. Introductionetthème varié Delanoye pour clarinette, par M. Dan. Jolyt. 4. Grand air de Patrie, Paladhile. par M. Brassine. (a) Les trois Chansons Pierné. 5. (b) Rêves R. Wagner. (c; Bonsoir Rubinstein. par M A. Linden. G. Duo d'Hamlet Ambroise Thomas. par M A. Linden et M. Brassine Tir du 5 Décembre. Tir offert par le vice Président. lrprix, l'oiseau: DehollanderH. 2e prix. P bas total Dewanekel, 3* prix, P moyen total Mahieu. 4' prix, P haut total Dupont V. 5* prix, 2e oiseau Gillis G. (js prix, 2* haut total Ommeslagh R. T prix, 2e bas total Hamendt A. Tir du 8 Décembre 1910. 22 Tireurs. Masschelein A. 20 25 20 15 25 100 15 25 15 20 25 100 Ewertz E. Hamendt Dehollander Dethoor F. Gaimant Valcke A. Pintelon M. 15 20 25 15 20 20 15 25 20 15 15 15 20 20 20 25 5 25 15 20 20 20 15 15 20 25 20 20 10 15 95 95 90 90 90 90 IHnmnclie il Décria ÎOIO RUE DE DIX MU DE. n» tb YPERS. Le Conseil communal de notre ville s'est réuni hier soir, 5 heures. Voici les objets qui figuraient son ordre du jour 1. Finances communales budget 1911 dépôt. 2. Bureau de bienfaisance compte 1909 et budget 1911 dépôt. 3. Hospices civils compte 1909 dépôt. 4. Propriétés communales vente de terrain. 5. Règlements communaux percep tion de la taxe sur les chevaux modifi cation. 6. Hygiène concession de l'extraction des vidanges. 7. Hospices civils délivrance en na ture et vente d'arbres. 8. Bureau de bienfaisance échange de terrain. 9. Garde-civique: champ de tir plans; devis, etc. Nous publierons le compte-rendu de cette réunion dans notre prochain numéro. SV RPASSETOVS LES AVTRES Le 'SUNLlGHT SAVON "ne coûte pas plus cher qu'un sauon commun et il épargne plus de temps et plus de lin£e qu'il ne coûte Un enfant brûlé vif. Samedi soir, vers 7 heures, l'épouse Pierre Storme, cultivateur Dicke- busch, travaillait dans des dépendan ces de la ferme, lorsqu'un ouvrier vint la prévenir qu'il percevait un incendie dans la maison d'habitation. La pre mière, suivie d'autres meinbresduper sonnel, s'élança aussitôt vers lacuisine où l'on vit un triste spectacle. Toute la place était en fumée et près du poêle, brûlait le berceau contenant un petit enfant âgé de 3 mois. On enleva précipi tamment le petit être, dont les langes et la literie étaient toutes en feu et que l'on parvint éteindre grande peine, avec de l'eau. L'incendie putégalement être maîtrisé et les dégâts sont mini mes. Malheureusement l'enfant avait été atfreusement brûlé surtout le corps et le pauvre petit a succombé Diman che matin, après une nuit d'atroces souffrances. On suppose que l'accident aura été occasionné par du linge suspendu pour sécher, et qui sera tombé sur le poêle I et aura communiqué le feu au petit berceau. M. Joseph Vandenboogaerde a subi avec succès, devant le Jury central, la dernière épreuve de doctorat en droit. M. Henri Desaghera passé avec suc cès l'examen de candidature en droit. On nous écrit De l'épître de M. Narrator, un pas sage est retenir. Le voici La failli Se, l'occasion des funé- railles, a voulu faire dignement les choses. Elle a, par l'entremise du Bureau de bienfaisance, distribué du pain tous les pauvres de la pqroisse, sans distinction d'opinion elle a jugé bon, en outre, sans avoir de- mander la permission de qui que ce soit, de favoriser les enfants des éco- les libres Ceux-là qui s'obstinent penser que Mme Verhille a été pour quelque chose en tout cela sont donc avisés. Nous nous en réjouissons. Quoi qu'en pense M. Narrator, nous ne sommes pas de la lignée de Don Quichote, mais nous sommes de ceux qui pen sent qu'une personne défunte et par conséquente incapable de protester et de se défendre ne doit pas être considérée, par l'opinion publique, comme l'auteur d'un acte qui la dimi nue et auquel elle n'a même pas pu songer. Les personnes, qui lirontl'articlede Narrator, se diront tout simplement: Scriptor a vu juste et il a très bien fait On fait toujours bien M. Narrator semble l'ignorer de pren dre la défense de ceux qui ne sontplus là pour le faire. Au surplus, nous ne reviendrons pas sur tout ce qui a été dit dans notre précédent article. Nous ne discute rons pas que M. Narrator soit rassuré le secret de son style écrire beaucoup pour ne rien dire. Nous ne dirons pas davantage que déployer les voiles, c'est aussi s'en servir. Mais ce qui nous frappe, la lecture de l'article singulièrement fantaisiste de M. Narrator, c'est l'étrange mentalité de son auteur. Faire une distribution de pain aux enfants desécoles cléricales, l'occa sion des funérailles d'une personne amie de l'enseignement officiel et dont le mari a pour ainsi dire consacré sa vie cet enseignement, M. Narrator appelle cela, tout simplement faire dignement les choses Eh bien quant nous, nous esti mons qu'agir ainsi, c'est faire au nom d'une personne défunte, un acte que cette personne, vi vante, eut certainement désapprou vé. Nousestimons que c'estlà un acte sans loyauté, qui s'accorde bien mal avec un grand principe de morale le respect dû aux morts. A notre sens, en effet, nous nous plaisons le répéter c'est manquer de tact I c'est commettre un acte odieux c'est manquer une obligation morale que de ne pas tenir compte, lors des fu nérailles, de la volonté, expresse ou tacite, de la personne défunte; et cela d'autant plus, lorsqu'il s'agit de com mettre une action,qui doit avoir pour effet de diminuer l'estime publique, sur laquelle cette personne avaitdroit de compter. Libre M. Nar/ator de défendre la thèse contraire, mais, s'il nous est permis de lui donner un bon conseil, qu'il ne le fasse pas Neuve- Eglise. Qu'il sache aussi d'ailleurs que, pour bien défendre une cause, il ne suffit pas de glisser dans un article de nombreux points d'exclamation, d'y faire étalage d'un esprit qui n'est pas même le sien et de bourrer sa prose d'injures qui n'atteignent per sonne. En voilà assez Scriptor. P. S. Comme viennent de le constater nos lecteurs, M. Narrator est homme défendre toutes les thè ses. Avec des qualités pareilles on parvient parfois se faire engager Paris, dans un café-concert, pour y amuser le public, en défendant les thèses les plus absurdes et les plus 1 ridicules. Est-ce dire que c'est là j l'avenir réservé l'illustre Narrator r Nullement. En ce bas monde on doit s'attendre tout. Rien ne me dit, par exemple, qu'un beau jour, nous ne verrons pas M. Narrator, l'air grima çant, les yeux écarquillés derrière des lunettes, installé dans l'une ou l'autre chaire de vérité et expliquant, d'une voix tonitruante, des fidèles ahuris... l'influencede M. J.Ollivier... sur les relations russo-japonaises et celle de Sa Sainteté Pie X... sur les aéroplanes. Lts frères Verdmck, hundagistes, orllio pédistes, renommés en ions lieux, trois fois brevetés pour leur s bandages sans ressort H sans élastique. 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