ADJUDICATION.
E. ANG1LLIS BOUQUET
ADOLPHE DELH iIZE C
Adolphe DELHAIZE C1(
Caisse des Propriétaires
Ce que signifient les
Cheveux Gris
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OEBRÉES COLONIALES
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État-Civil cTYpres.
Grand STOCK
DISTILLERIE DE ROUBAIX-
MINISTÈRE
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j?AY' TION GÉNÉRA L E
BIENFAISANCE.
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BI2HFAXSA N€ i
DE LETAT
Le Directeur de l'Ecole susdite
procédera publiquement le Lundi
2 Janvier 1911, dix heures
du matin, ïi l'ouverture
des soumissions jjour
l'Adj udieation de la
Fourniture des UCii-
grais <*]iii)ii<|ii<>sj néees-
sa i im -s cette Elcole
peiitlîint l'année 1911.
L'adjudication aura lieu aux clau
ses et conditions du cahier des
charges, dont on peut se procurer
des exemplaires, ainsi que la liste
des articles adjuger et des formu
les de soumissions, au greffe du dit
Etablissement.
Les soumissions seront reçues
dans une boîte fermée clef, du
2(> au 30 lMcembrc
1910 inclus, de (o 12 et de
14 16 heures.
Seront acceptées aussi, les sou
missions envoyées au susdit fonc
tionnaire, au moyen de lettres
recommandées, pourvu qu'elles aient
été déposées la poste le 30
1 léccnibn; 1910 au plus
tard.
Brasserie L'YPROISE
rue de la Rouclie, 1S.
Remise domicile
par (i, 12 et 24 bouteilles.
Lambert, Léopold, rue S1 Jacques.
Therry, Ivonne, rue des Boudeurs.
Bailliu, Oscar, Kalfvaart Joye,
Germaine, rue De Haerne. Dehul-
ster, Alphonse, rue au Beurre.
Buysse, Henri, maçon, et D'hooghe
Julie, dentellière, tous deux Ypres.
Novelle, Alida, 19 ans, sans profes
sion, célibataire, chaussée de Zonne-
beke. Demeulemeester, Marie, 73
ans, sans profession, épouse de Van-
tnechelen, Louis, rue de Lille. Du-
meez, David, 8*7 ans, sans profession,
célibataire, rue Longue de Thourout.
Wenes, Julien, 62 ans, tailleur,
veuf de Dullou, Louise, époux de Du-
flou, Marie, rue Wenninck. Bossu,
Marie, 54 ans, sans profession, épouse
de Lannoy, Albert, chaussée de Pope-
ringhe. Wullus, Roger, 4 semaines,
rue Longue de Thourout.
(Société Anonyme)
Place de Louvuin, 18, Bruxelles.
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RÉCOMPENSES OBTENUES
Deux Giands Prix E. C.
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Deux Diplômes d'Honneur
En Diplôme de Médaille d'Or
Trois Diplômes de Médaille d'Argent
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26, Bue de Sehampeleer, 20, BBEXELLES.
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■SJfeTi i (Ts) 5 "-Xi—'v.m i ii eî Vr) 3(fjj... i (S&*.. -1
La victime s'affaissa sur le sol tandis-
que le meurtrier, croyant avoir tué sa
victime prit aussitôt la fuite.
Mme Vauhee fut relevée par des voi-
siixe accourus. Elle se trouvait dans an
triste état blessée grièvement aux
seins, elle ne doit la vie qu'à la circon
stance qu'un coupdecouteau quidevait
la frapper en plein cœur, a dévié sur les
buses de son corset.
L'état de la blessée est grave.
L'assassin est en fuite et n'a plus été
revu depuis le drame.
La révolution portugaise.
Nous sommes heureux de posséder,
émanant d'une personne habitant le
Portugal, MmeLacombe, vice-présidente
de la Société La Paix et le Désarme
ment par les femmes le témoignage
de la modération exemplaire qui a pré
sidé la révolution. Cette dame nous
écrit ce sujet J'ai beaucoup souffert
dans mon cœur de femme pacifiste.
Quoique tout se soit passé le moins
sauvagement possible, je trouve qu'il
y a toujours trop de sang répandu, lors
qu'il s'agitd'ètres civilisés qui devraient
bien se comprendre autrement que par
des coups de mitraille. N'importe com
ment, ce furent des frères qui se tuè
rent. Néanmoins part tout sentiment,
je dois confesser que cette révolution,
comparée toutes les autres, fut telle
ment bien faite et rapide que cela me
parait encore un rêve. Espérons (pie
nous allons être heureux, et que la ré
publique naissante suivra l'exemple de
la vôtre si sage et remplie de bon sens.
Les dirigeants actuels, nous dit notre
aimable correspondante, sont tout
acquis au progrès intellectuels, et se
conderont les efforts des philanthropes.
Apprendre aux femmes du peuple lire
et écrire devra être une des premiè
res tâches du Portugal régénéré.
Le Bureau international de la Paix se
joint aux souhaits de M"16 Laeombe, et
rend hommage aux organisateurs de la
révolution, comme aussi au peuple
portugais, pour le sang-froid, la modé
ration, l'humanité qui ont présidé la
fondation de la république.
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On ignore les mobiles de cette tenta
tive criminelle.
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des prix très avantageux.
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POPERIXGHE.
Une tentative d'assassinat.
Samedi soir vers 6 heures, Mme Jus
tine Yanhee, âgée d'une quarantaine
d'années, cabaretière Poperinghe, a
été victime d'une tentative d'assassinat,
dans les circonstances suivantes
Mm" Vanheerencontra, dans la rue des
Pots, un ouvrier, René Artois, àgéd'une
vingtaine d'années. Après une courte
discussion, Artois sortit un poignard de
sa poche et se jeta sur la femme, la
quelle il porta en pleine poitrine plu
sieurs coups dason arme.
La chute de la rente belge
r»
Une scène typique devant les guichets
de la Caisse d'Epargne. Un brave hom
me qui, il y a quelques années, avait
acheté pour un millier de francs de
titres de la rente belge, la trouva drôle
quand,voulant tantôt retirer son argent,
ne reçut, en échange, qu'un peu plus
de neuf cents francs
Ce n'est pas mon compte, ce que
vous me donnez fit-il l'employé.
C'est votre compte, Monsieur
Je crois que vous vous trompez:
il y a cinq ans, j'ai payé 98 francs par
titre de rente or, d'après ce que je
vois, vous ne ine remettez que 92 fr.,
au lieu de 98
Pardon, c'est le cours de la rente
Voyez en Bourse.
Eh bien, c'est un scandale Com
ment, on m'invite de toutes les façons
déposer mon argent ici et quand,
après quelques années, je veux le reti
rer parce que j'en ai besoin, om ine
retient six francs par titre
Le brave homme n'en revenait pas!
Et nous sommes certains que si, par
hasard, le ministre des Finances avait
été présent, il en eutentendu de dures
Heughebaert-S wekels
79-81Boulevard du Hainaui,
BRUXELLES.
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Déclarations du 2 au 9 Déc. 1910.
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le meilleur contre toute affection de la peau
elles que taches de rousseurs, points-noirs,
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0,75 la brique, ïpres chez Jules FLA
MAND, Coiffeur, rue du Temple, 1 Flo-
rimond BARTIKh, rue au Beurre, C.
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de, 81.
Los r»»is s'en vom Le> princes peu peu s'encourent,
Fini les imjestés. Ou «t'en veiii plus Bonsoir
Cependant les desserts délicats qu'on savoure
Oui conservé ce roi l'EXQUH DE BEUKEUEK
Le Dentiste M. Meier a l'honneur d'in
former sa nombreuse clientèle qu'il ne
pourra plus se rendre PROVISOIRE
MENT Ypres pour y être consulté et
qu'il n'y sera remplacé par personne. Les
clients qui auraient cependant le désir de
consulter MMeier sont priés de se ren
dre sa maison Courtrai, coin de la
rue de Mouscronn0 2, maison d porte
cochère, près de la prison.
En prévenant MMeier quelques jours
l'avance, les personnes qui se rendent
chez lui Courtrai le matin, pourront
repartir l'après-midi, avec leurs dents
artificielles.
'mem
AUTORISER! PAR ARRÊTÉ ROYAl. DU 8 JUIN 1835
Expérience personnelle décrite ci dessous et que n importe
lequel de nos Lecteurs peut tenter en un instant.
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L;i Société émet actuellement des ol>li(*"îiti<>iis de 500 francs remboursables au
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thécaires. avec faculté aux emprunteurs de se libérer par fractions périodiques, au moyen ti'an-
1111 lté- extinctives du cap tal. payables semestriellement, ou par remboursement total h une épo
que déterminée lille pvinia prendre des valeurs eri dépôt, établir une eais e de survie et faire
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