Bibliothèque-bureau Etat-Civil cTYpres. La vie d'une jeune fille est sauvée par les FILÏÏLES DU D CODEURS pour Fouirce© Pâles et Faibles mmespaTS FA\&^ Af O /V' A L CA 1 rjA. - ""y..- <>-• oc w '-y - femmes imli s FAIBLES, sont en vente dans toutes les bonnes pharmacies au prix de îl fraiicN la l>oi<<'. En vente dans tontes les pharmacies d'Y près. LECTEURS ATTENTION! Lorsque vous demandez un TOI» veillez ce qu'on ne vous serve pas une eau quelconque. Il n'y a qu'une eau minérale TOP- 11IU).\\E.\ et ceux qui substituent une autre marque au TOI* quand vous demandez un TOI' sont passi bles des poursuites judiciaires. REPOS DOMINICAL. Pharmacie ouverte Oimsiiielie .Sept. 191 1 .11. J. OLCHIÈVRE, A VEN O II A A DE S'adresser chez M. HENNAERT, H., rue St Nicolas, 19, Ypres. Le rôle des entrais verts. n Immigration Belge au katauga. Hier, les spécialistes seuls s'intéres saient au Katauga. Aujourd'hui, nom breuses sont les familles qui reçoivent d'amis ou de parents fixés Elisabeth- ville des nouvelles ce point encoura geantes, que nos ouvriers, nos agricul teurs, nos commerçants les meilleurs et les plus entreprenants se découvrent soudain, eux aussi, une vocation colo- 1 niale insoupçonnée. L'occupation belge du Katanga s'af- firme de plus en plus. Nous croyons être utiles nos lec- teurs en leur signalant Le guide som- 1 maire pour les Belges se rendant au Ka- j tanga, dont la dernière édition vient de paraître. Brochure bourrée de ren seignements essentiellement utiles que la Ligue Coloniale Belge Hu Katanga met gratuitement la disposition de ceux qui lui en font la demande. Rappelons que cette Ligue, dont les bureaux sont ouverts ie Dimanche, de 9 11 heures, Bruxelles, Place Roya le, 5, est une œuvre qui a pour but de renseigner les Belges sur leurs Chan ces individuelles de succès au Katanga et de faire gratuitement, pour eux, les formalités nécessaires pour les faire bénéficier des faveurs (gratuité de transport, etc.) que le Gouvernement accorde dans certains cas. Bruneel, Simonne, Kalfvaart. Weckesser, François, rue de Dixmude. \anhaecke, Gérard, lloornwerk. Sch -enaers, Marie, rut. de la Plume. D3wilde, André, Onde Yeurnestraat. peweerdt, Victor, rut; des Trèfles, Mariages Labaere, Eugène, forgeron, et Ge- kiere, Nida, couturière, Ypres. Joos, Fernand, biscuitier, et Knoc- kaert, Albertine, sans profession, Ypres. Décès Flerackers, Joséphine, 7 mois, rue Glose. Frantzen, Hélène, 7 mois, rue des Boudeurs. Lebon, Marie, 2mois, rue St Jean. Phlipo, Pierre, 63 ans, sans profession, célibataire, rue Lon gue de Thourout. Vercouter, Char les, 17 jours, rue des Tuiles. Des- naadryl, Charles, 70 ans, cultivateur, époux de Segers, Rosalie, Pilkem- straat. Vandenbussche, Julienne, 64 ans, sans profession, célibataire, rue Close. Bollengier, Rachei, 2 ans, rue St Goddeliève. Vandenabeele, Odiion, 11 mois, chaussée de Lille. Maillard, Adèle, 24 ans, religieuse, rue Wenninck. Soenen, Mélanie, 81 ans, sans profession, veuve Claus, Ivon, chaussée de Poperinghe. Cor- nillie, Gertrude, 4 mois, Kalfvaart. 11 L II I H 19. La guérison des enfants est assurée. 1000 francs de récomperise tout spécia liste qui peut prouver le contraire. oocooooo ooo^oooo IC o c: o o o c O C: O O O O <D a- 3 "B c/5 p* éx< p* O i La guérison si édifrante de Made moiselle Léopoldine De Rycke, rue de Malines, 48, Termoride, met, une fois de plus, en lumière, les grandes vertus des r LU LES du Dr CODERRE pour FEMMES PALES et FAIBLES. Voilà un an que j'ai commencé A être malade, et quand je pi nse tout ce que j'ai enduré, j'en frémis encore Je peux dire que j'ai souffert vraiment de tout le corps de la tête, des points de côté, de ver tiges, de palpitations au cœur. Chaque mois je devais garder le lit pendant plusieurs jours, souf frant beaucoup du ventre et des reins. La nuit, je dormais très mal, j'avais le cauchemar, et je me levais le matin aussi fatiguée que la veille en me ouchant, ce qui me rendait d'une nervosité excessive. J'étais extrêmement faible et avais très mauvaise mine; enfin, j'étais dans un état de santé si navrant que cela donnait bien du v tourment i t des inquiétudes ma famille, et m )i j'ai pensé plusieurs foi que je pourrais bien en mou ri -, car je devenais de plus en plus anemique. Et dire qu'il n'a fallu que quelques boîtes de PILULES d!v Dr GOERRE pour me rendre la. santé, car je suis complètement mieux et, surtout, je ne souffre j îr.s tous les mois comme avant Me voilà redevenue gaie et active, enfin on ne me reconnaît plus, tellement j'ai changé. - Je continue prendre les PILULES du Dr CODERRE et je profite chaque jour davantage, et de plus en plus je me sens joyeuse et bien portante. Léopoldine DE RYCKE. La douce tendresse d une mère pour sa fille se double naturellement d'un senti ment d'instinctive et affectueuse pitié. La maman songe Pauvre fillette4, tu souffres comme moi. Et cela n'est, hélas que trop vrai, car la femme est assujettie, dès sa prime jeunesse, vraiment trop de peines et de misères physiologiques. Déjà, l'âge où fillette insouciante et aie, elfe remplit la maison de son rire rais et sonore, elle a subir une première crise de santé qui vient ternir sa grâce et sa juvénile beauté. La puberté inquiète, juste titre, une mère soucieuse de la santé de sa fille, car deux alternatives se présentent ou la fil lette surmontera les fatigues de la forma tion, et le fonctionnement régulier de ses organes étant bien établi, eile continuera grandir et se développer normalement; ou elle supportera mal cette épreuve et, alors, les plus graves dangers sont redouter. La jeune fille sera sujette toutes sortes d'affections et de malaises qui ruinent littéralement sa santé ce sont les périodes douloureuses et irrégulières, des pertes trop abondantes qui l'affaibliront beaucoup; des maux detête.des insomnies épuisantes et, au bGUt de cela, la vilaine anémie, qui décolore les lèvres, ternit l'éclat des yeux et rend les jeunes filles si pâles et si fatiguées qu'elles font peine voir. Le devoir d'une mère prudente et avisée est de veiller cette époque dangereuse avec un soin jaloux sur la santé de sa chère fillette et, peur cela, les PI LU LES du Dr CODERRE pour FEMMES PALES et FAIBLES lui sont d'un grand secours, en facilitant la transfor mation qui s'opère. Que de mères se seraient évité de la peine et des remords si elles avaient eu recours ce bon remède Que de souffrances les PI LU LES du Dr CODERRE ont épargnées bien des jeunes tilles en les débarrassant de tous ces malaises et de ces fatigues dépr» mantes Et aussi quede deuils, que de pertes dou loureuses et irréparables les PILULES du Dr CODERRE ont évités lorsque, apportées au chevet de pauvres jeunes filies terrassées par la maladie, elles leur ont redonné la force de vivre! Fac-Similé exact d'une boîte de Pilules du Dr Coderre ce* fi'tuies um( ronMuLe Jra C/Ai-C SOtvt Pf*éf>AHic$ oa/v5 tïS lABOIA roj«L3 Ot LA EN AméftlÇuF. EuttS 50NT roujouAs vicronitustS "«'aoi'éî ©es fewes .ANÏMil JVt CHLOROSE PUFS COULl URS. AFFECTIONS NERVEUSES, MAUXl 'i'k J EEIN 5, BRULEURS ou VENTREME RITES RETOUR o'AGE.Ctcf A 'i P»i>r fovj rc r( jf/gn# rr> rnto iirt 'n cocajIqIre 1 PR/K: 3 FRANCS LA r, O aéPÔr <jéNtAAL:FRANCO'AMÈ.f9lCAt* CHEMICAL CT Les PILULES du Dr i Olll lt li I pour Dépositaire Général pour la Belgique Ph. Anglaise Ch. DELACRE et Cie, Bruxelles. Un magnifique almanach contenant des vues du Canada sera envoyé gratuitement toutes les dames qui en feront la demande P l LU LES DU Dr CODERRE 145, rue Royale, Bruxelles, Dept. 44. RUE DE LA STA TION. 15. Y PRES. en acaiou et chêne. Le Dentiste M. Meier a l'honneur d'in former sa nombreuse clientèle qu'il ne pourra plus se rendre PROVISOIER- MEST Ypres pour y être consulté et qu'il a'y sera remplacé par personneLes clients qui auraient cependant le désir de consulter MMeier sont priés de se ren dre sa maison d Court/ai, coin de la rue de Mouscron n" 2, maison porte cochère, près de la prison. En prévenant M. Meier quelques jou/s d l'avance, les personnes qui se rendent chez lui Courtrai le matinpourron repartir l'après-midi. On donne le nom d'engrais verts des matières végétales qu'on enfouit directe ment dans le sol. Elles contiennent tous les éléments fertilisants minéraux en même temps qu'une grande quantité de matières organiques. Les engrais verts peuvent se diviser en d catégories selon leur epoque d'enfouissement. 1° Ceux qu'on enfouit en automme et qui peuvent servir de fumure une céréale d'automne. Ils sont alors semés en Juillet- Août après une céréale. Les plantes utili sées sont la moutarde blanche, la spergule, la navette. 2°Ceux qu'on peut enfouir au printemps. Les plantes employées sont alors la féverole d'hiver, la vesced'hiver, l'incarnat, le seigle et le lupin blanc pour les terres sablonneu ses elles se sèment en Août-Septembre. Les végétaux utilisés comme engrais verts doivent avoir un développement foliacé très grand, des racines s'enfonçant profondé ment dans le sol, une végétation rapide, être appropries au sol et au climat et ne pas présenter trop de difficultés pour leur en fouissement. Quand ce sera possible, la préférence sera donnée aux légumineuses parce qu'elles ont la propriété d'utiliser l'azote atmosphérique et ainsi d'apporter au sol une quantité nota ble de cet élément. Les engrais verts, par la masse considérable de matières végétales qu'ils apportent au sol, ameublissent les terrains compacts, les rendent plus chauds, tandis qu'ils donnent de la fraîcheur et de la consistance aux terres légères. Les plan tes racines profondes, comme les légumi neuses, en fouillant le sol profondément, ramènent la surface des éléments minéraux qui n'auraient pu être utilisés par les céré ales qui ont des racines plutôt superfi cielles. Un autre avantage très sérieux des en grais verts, c'est qu'ils permettent de ne pas laisser le sol inoccupé pendant quelques mois d'été dans les régions où l'on ne fait pas de cultures dérobées. Or, on sait que c'est pendant les mois chauds que la nitrifi- eation est la plus active c'est-à-dire la trans formation de l'azote ammoniacale en nitra tes, sels excessivement soluoles et qui sont exposés se perdre dans le sous-sol s'ils ne sont pas absorbés par une végétation. La culture des engrais verts se fait géné ralement sans application d'engrais, il y aurait pourtant tout avantage d'employer pour eux les engrais phosphates et potassb ques qui devraient servir la plante qui leur succédera. L'engrais potassique pourra être donné sous forme de Kaïnite, de cette manière les chlorures qu'elle renferme et qui sont nuisibles certaines plantes auront le .temps d'être entraînés par les pluies. En terres pauvres en azotes, comme les terrains sablonneux, il y aura avantage de joindre aux autres engrais 75 k. de sulfate d'ammoniaque qui activera la végétation et contribuera ainsi donner une abondante masse de matière organique enfouir dans le sol. Jean BLOUX, KXQSS ess, 5SS fSt ISS *Î8S FrtB -35 est °Î5S *®S 35S Déclarations du lo au 22 Sept. 1911. Naissances UUÉtUSON SANS OPÉRATION Les frères Verdonck, liandagistes, ortho pédistes, renommés en tous lieux, trois fois brevetés pour leurs bandages sans ressort ei sans élastique. Fournisseurs de l'Etat et du Pilotage, des Hôpitaux civils et militaires d'Oslende Chaque se maine iIest fait appel notre aide par des personnes at- teintes de her nies grosses comme unetêle d'enfant, sur venues la suite d'opéra tions désas treuses ou oc casionnées par e port de ban dages défec tueux, surtout de ces banda ges élastiques qui par leur élasticité sont incapables d'ar rêter une hernie soit naissante ou complète. Demandez nous des centaines d'adresses offertes par des personnes reconnaissantes opérées une, deux et même trois fois, qui, après opération, allaient mille fois plus mal, et qui maintenant, grâce nos bandages spéciaux, peuvent se dire guéries Remarquez bien que, par notre expérien ce de quarante ans, nous pouvons tout vain cre par nos multiples systèmes de bandages herniaires. Mauvaise croissance. La même mai son se charge de rectifier toute difformité des membres déviation de la colonne ver tébrale, des bras, des jambes et des pieds. 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Le Progrès (1841-1914) | 1911 | | pagina 3