EMPLOYÉ S BANQUE TAVERNE ijÔVÂLE CRESSINTHt - Récital Mulders. Brasserie L'YPROISE Garde civique. 20 25 25 20 25 25 20 25 25 20 Froidure R. Dethoor F. Butaye E. Libois R. 20 20 25 25 20 25 25 20 20 20 LU wolent incendie- téiéph. 7690. Foie gras, Feyel-Stras- bourg, thé, caviar, prunes de Wiesba- den, vins, liqueurs, etc. Envoi du prix- courant sur demande. Livraison domicile. Expédition en province et l'étranger. Vélodrome «LYpres. La société anonyme du Vélodrome d'Ypres a l'honneur de porter la connaissance des abonnés ainsi que des personnes munies des tickets d'entrées journalières a 0-20, que le tirage de la prime gratuite, consis tant en un superbe vélo, aura lieu publiquement au «Café Léopold Grand'place Ypres, le LUNDI 25 DÉCEMBRE 4 heures de F après- midi. Le vélo pourra être réclamé jus qu'au 15 Janvier 1912. Société Kovale des Francs Arbalétriers. Haut total Hoflack Emile. Moyen total Gillis Gustave. 115 110 110 110 REPOS DOMINICAL. Pharmacie ouverte \J. A. DOXCK, M E. G AIMANT. Cartes de visite du Xouvel an. On sait que chaque année il s'en ex pédie des millions, ce qui occasionne la poste un travail considérable. Les personnes qui désirent que leurs cartes subissent le moins de retard possible, feront bien de les déposer, non pas dans les boites-bornes, mais bien aux guichets des bureaux de poste, et d'en former, sous un croisé de ficelle, deux paquets comprenant, le premier, les cartes pour la ville ou le canton postal, le second, celles pour d'autres destinations. Il est recommandé aussi, tout spé cialement, de coller les timbres d'af franchissement l'angle droit supé rieur de l'adresse des envois. Le public est également prié de sur seoir, si possible, l'envoi de pros pectus, catalogues, circulaires, etc., pendant la période du renouvellement de l'année. gferi •tu.ffjyi, fc%:f.CA'JSSINNES gratuit sur demande Wervicq. Nous publions ci-après le program me de la grande Soirée Récréative que la Société de Gymnastique et d'Armes la Libre Wervicquoise donnera le Dimanche 24 Décembre 1911, 5 heu res précises, la nouvelle Salle de Spectacle Uns Huis La Symphonie du Cercle Gevaert de Menin prêtera son concours cette fête. L. 'steck. 1. Ouverture par la musique. LA MAISON F LO Kl MO NI) B4RTIER, rue au Beurre 19, YPRES, a l'honneur d'informer sa clientèle que par suite de cessation de commerce de certains articleselle liquidera partir de ce jourtoutes ses marchandises au prix de facture. Beaucoup d'objets seront soldés toute offre acceptable. H ET HUIS Florimo.VD BABTIER, Boterstraat, 19, Yper, heeft de eer zipie klienteel kenbaar te maken dat, tengevolge den uitverkoop van zekere artikelen, het van heden af, al de koopwaren zal likwideeren aan prijs van factuur. Vele voorwcrpen zullen ge- zoldigd zijn aan aile aanneembare prijs. Lu rente bnisse. On a beaucoup parlé la Chambre, pendant la discussion du budget des voies et moyens de la dégringolade continue de îa rente belge. Les jour naux catholiques prétendent que le fait est dû des causes d'ordre général auxquelles le régime clérical est étran ger. A quoi M. Maurice Ansiaux, une autorité en la matière, riposte très-jus tement. Nous est avis, pourtant, que le gou vernement se hâte trop de rejeter toute responsabilité et de s'abriter, en guise de justification, derrière l'action toute- puissante des lois naturelles de l'écono mie politique. Assurément, la rente belge devait, en quelque mesure, payer sou tribut la baisse générale des valeurs revenu fixe et modique. Mais rien ne permet d'affirmer que la dépréciation de la rente soit dueexlusivernentàunecause d'ordre général. Et il est indiscutable que le gou vernement actuel a beaucoup trop em prunté. Il a, c'est de toute évidence, abusé du crédit. Sans doute l'Empire d'Allemagne et l'Etat prussien en ont abusé davantage mais en quoi sem blable comparaison innocenterait-elle les hommes qui ont été au pouvoir chez nous depuis 27 ans L'argument serait d'autant plus taible que l'Allemagne entretient un appareil militaire formi dable, alors que nos gouvernants n'ont même pas su assurer la défense natio nale de la Belgique. En outre, l'Alle magne a une législation ouvrière bien plus onéreuse que la nôtre, mais dont 1 effet utile et bienfaisant est aussi beau coup plus considérable. Danscescondi tions, que l'on ne vienne donc pas nous dire Félicitons le gouvernement belge de ce que la rente est chez nous 88 p. c., alors qu'elle est 82 chez nos voisins de l'Est I Le fait brutal reste vrai on a trop dépensé et trop emprunté pour bou derie budget. La question est de savoir si l'on persévérera en cette voie regret table. A coup sûr, il ne faut pas espé rer que l'on fera des économies. On n'en fait, en matière de dépenses publi ques, que dans les cas extrêmes, lors- qu'est aux portes la banqueroute, la hideuse banqueroute dont parlait Mira beau. Ajoutons enfin qu'il y a de la dette flottante consolider. On ne peut indé finiment augmenter la somme de bons de trésor en circulation ici aussi un emprunt de consolidation finira par s'imposer. Il serait imprudent d'affirmer que le fond de la baisse a été touché, étant données surtout les mœurs dé pensières de nos ministres mais on peut admettre, si aucune catastrophe ne survient, que les porteurs seront somme toute moins douleureusement éprouvés dans l'avenir que dans le passé. ayant quelques heures de loisir, ac cepterait écritures chez lui ou do micile. S'adresser au bureau du journal. v}. C ej CO e p «m 3 CT 3 3 c8 Voir l'Etat-civii la 4 page soleil de fin d'automne gênait notre Brusse- leer qui proposa Si on mettait les plafetures f Jamais, il fait sf bon. Oui, mais je dois consulter le guide des voyageurs et ça me gêne Consultez donc' votre indicateur au wagon restaurant Il/est temps de déjeûner. Bon, c'est bon je m'en vais profiter du déjeûner. Mon compatriote revint vers les trois heures de l'après-midi nous arracher la douce poésie que nous goûtions aux beaux paysages de l'Oise qui s'encadraient tour tour aux vitres du wagon. Les lointains bleuissaient et nous songions Virgile "Et jam summa procul nllartim culmina fumant, Majoresque cadunt altis de montibus umbrœ. quand Beulemans se plaignit de la qualité du traditionnel veau aux petits pois. Et puis les pistolets ne valaient rien Bah il se rattraperait Paris en mangeant un bon cramique. Nous le laissâmes monologuer jusqu'à l'arrivée où il réclama un commis sionnaire au lieu d'appeler un porteur. 11 disparut dans une vigilante pour se faire conduire l'hôtel qu'on lui avait renseigné. Nous sommes belges. Souventes fois cela se voit souventes fois cela s'entend. Croyez-vous que nous soyons dépréciés sur le marché mondial parce que nous n'écrivons pas le français de Monsieur de Voltaire ou que nous ne nous exprimons pas comme Voiture Interrogez les relevés de statisti que qui vous répondront Quand sept belges se trouvent réunis, ils constituent une société anonyme. Bien Et quand ils sont quarante Ils fondent une académie. Non, vous n'y êtes pas ils fondent une fanfare. Une jolie fête musicale nous est annoncée pour le Dimanche 14 Janvier prochain, au Théâtre de la ville, 4 1/2 heures du soir. Deux jeunes artistes. Mademoiselle Ludo- vica Mulders, cantatrice, et Mademoiselle Claire Preumont, pianiste, y prêteront leur gracieux concours. Nous ne croyons pas nécessaire de faire connaître quels grands talents nous posséderons parmi nous leur grande réputation arti.- tique nous est cer tainement déjà parvenue. Mademoiselle Ludovica Mulders est cour- traisienne de naissance. Apres avoir com mencé ses études musicales l'académie de musique de sa ville natale, elle partit pour Bruxelles accompagnée d'autant de félicita tions que de regrets. Au Conservatoire royal elle ne tarda pas obtenir les plus grands succès. D'abord son premier prix de chant, avec grande distinction, puis le prix de la Reine, l'indiquèrent l'attention générale comme cantatrice de toute première valeur. Après s'être fait entendre dans quelques grands concerts en Belgique et l'étranger, oû elle fut vivement applaudie, Mademoi selle Mulders ne connut plus que des succès toujours grandissants. C'est elle qui fut choisie par M. Léopold Samuel pour inter préter le rôle de Christine dans sa cantate intitulée Tycho Brayé œuvre imposée cette année pour le concours du prix de Rome (composition musicale). M. Samuel savait quelle artiste il s'adressait jet la charmante exécution du rôle de Christine ne contribua pas peu l'obtention du prix que M. Samuel conquit l'unanimité. Mademoiselle Claire Preumont est une toute jeune pianiste. Elle commença ses études musicales l'âge de 13 ans au Con servatoire de Bruxelles, sous l'habile direc tion de réminent professeur Gurickx. A 13 ans, elle obtenait un premier prix avec la plus grande distinction 1(3 ans, le prix Van Cutsem. Son mécanisme surtout est admirable. Un piano Steinway contribue donner son jeu si souple, des accents qui transportent l'auditoire. Ce sont ces deux charmantes artistes que nous aurons l'occasion d'entendre prochai nement. Sous peu, elles partiront pour l'Al lemagne et la Russie où elles iront cueillir de nouveaux lauriers. Inutile d'en parler davantage. Le public Yprois ne laissera pas d'aller les entendre il voudra une fois de plus protéger les arts, et en les protégeant, saluer de ses plus cha leureux applaudissements, Mesdemoiselles Mulders et Preumont pour leur brillant talent. POUR LE COMITÉ DE PATRONAGE Les Présidents d'honneur Baron de Vinck. Edouard Verschoore. Le secrétaire, Le Président, Albéric Lauwers. Daniel Tack. Les Membres MM. le colonel Hagemans, commandant l'Ecoled'Equitation, Ferd. Mergbelynck, Paul Vandenpeereboom, senatenr. Che valier Charles Heynderick Robert Co- laert, Emile Vandenboogaerde, Norbert D'Huvettere, Paul Butaye. N. B. Des cartes 2 et 1 francs pour ront s'obtenir chez les membres du comité et chez M. Tieberghein-Fraeys, rue des Chiens, 17. rue «le la ISoueiie, Bière spéciale et bière bock en bouteilles. Remise domicile par 12 et 24 bouteilles. Tir Ordinaire du 14 Décembre 1911. jeudi dernier, vers 9 1 2 heures du soir, un incendie qui aurait pu avoir les consé quences les plus graves, s'est déclaré dans l'épicerie tenue, chaus.-ee de Furnes, par M. Tahon. Les occupants de la maison aperçu rent dans l'appartement occupé par un offi cier faisant un stage notre école d équita- tion, une lueur et. quelques instants après, toute la chambre était envahie par les flammes. Quand les pompiers arrivèrent sur les lieux l'élement destructeur conti nuait faire son œuvre, et, par suite d'un vent violent et la lenteur qu'ils mirent adapter les tuyaux aux bouches d'eau, nos pompiers furent impuissants maîtriser le feu. Après bien d'efforts, ils parvinrent circonscrire le feu et sauver les maisons voisines. C'est avec beaucoup de peines, que les chevaux occupant le rez-de-chaussée de la maison, furent sauvés. Un piquet du 3e de ligne faisait le service d'ordre. Les dégâts matériels tout en étant assez importants sont en partie couverts par l'as surance. O 1 ignore les causes du sinistre. Depuis l'incendie de l'Académie, nous n'a vons eu déplorer un pareil sinistre. On a généralement remarqué le peu de cohésion existant entre les officiers et les pompiers et la lenteur qu'ils mettent exé cuter les ordres. Lundi 18 Décembre 1911. Blason Ordinaire Dimanche 2 V Dccem. 1911, suer. F VAN WINDEKENS, RUE DE LILLE, n13, YPRES O lî L,) RUE DE MENINn6', YPRES Cl vs voulez con. y. avenir et ta clé qui vs gtiMera infailliblement ta réussite env. qq. ..^aet i'écriture J. C., graphologue, 12, rue Mathieu Potion, Liège (Belgique) roua acres isenreiUA. (Carrières) MONUMENTS FUNÉRAIRES PRIX FORFAIT POSÉS AU CIMETIERE Catalogue franco lre Partie. 1. Ouverture par la musique. 2. a) Présentation des gymnastes. Dé filé. b) Mouvements d'ensemble de la Fête Fédérale Belge. 3. Fantaisie avec haltères. 4 Symphonie a) Blaze-Away, marche Américaine. A. Holzmann. b) Une visiteà Trianon.Gavotte-Pizzicati e) La Veuve Joyeuse, fantaisie. F. LEHAR. 5. Grand divertissement, par X. 6. Scène flamande avec Ballet, en trois tableaux. Ier Tableau L'Anglais et le Savetier. 2me Ballet des Postillons. 3me Le Triomphe des Amazones. Partie. 2. Fantaisie avec bâtons. 3. Les Frères Gym. Acrobates excen triques. 4. Mouvements avec massues. 5. Poses Plastiques avec projections lumi neuses. a) David et Goliath. b) Diogène le Cynique. c) Assassinat de Coligny. d) Allégorie de la Danse. e) Guillaume Tell. f) Le Serment d'Annibal gt Convention nationale. Serment du Jeu de Paume. 6. A la France, déclamation par le pupille Prosper Ravensfein. 7. Symphonie. a) L'Etudiant Pauvre, ouverture. C. Mullôcker. bTreue Freunde, schottisch pour 2 pis tons. R. Seidel. c) De Lustige Boer, fantaisie. L. Fall. 8. Grand Ballet des Pierrots'et Pierrettes. Occasions faire. Scliooue occasion. nOT'S C'JSGR TV- rrsm .S OOOOOOOO SOOOOOïOOO OXr-Oîl»C?î ÎJ r- f J O M O O O O O se o o o osfloc®10o5fi 05NOO-X0(?l -r* O O CC OOOOOOO O O O O O O <3-1 C H o c P -- d (f) o ND O CL, JLj ZU

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Le Progrès (1841-1914) | 1911 | | pagina 3