Y porter atteinte c'est de l'oppression et nous ne voulons pas être oppres- i seurs. Nous voulons la liberté pour i» nous celle de nos adversaires doit être également sacrée nos yeux. Et sur ce terrain, permettez-moi de vous le dire en toute franchise, je résisterai aux désirs excessifs que pourraient exprimer des amis trop ar- dents. Combien ces paroles sonnent faux aujourd'hui que l'œuvre de destruc tion s'acharne contre ce qui nous reste d'enseignement officiel. Non seulement le maïeur actuel, M. Colaert, ne résiste pas aux fanatiques de son parti, mais il se met leur tête! La liberté du père de famille est devenue un vain mot. Il n'y a plus de liberté Ypres que pour les cléricaux les libéraux sont désor mais traités en parias. Quand donc cela lînira-t-il L'avenir de l'école de la rue St Jean, comme nous l'avons dit dans notre dernier numéro, est menacé. L'école résistera sans doute la mesure inique qui vient d'être prise en ce qui con cerne l'augmentation du minerval, mais la menace du régime flamand est un danger plus sérieux, car ce serait sans contredit la mort sans phrases. Nos cléricaux iront jusque là si on les laisse tranquille. Rien ne doit être négligé pour démasquer cette manœu vre. Nous comptons sur la vigilance des parents et sur celle de l'Union des Anciennes Elèves. Au Conseil communal. Nos honorables se sont réunis, Lun di dernier, sous la présidence de M. Colaert. Tous les Conseillers étaient présents, sauf M. Struye, légitimement empêché. Rien de saillant l'ordre du jour. Le Conseil donne l'autorisation au Collège de négocier la vente d'un ter rain sis Boulevard Malou. Un notaire a fait une offre de 15 francs le mètre carré pour un terrain d'une contenan ce de 180 mètres carrés. Après lecture du texte d'une con vention que la ville propose de faire avec M. Proot, brasseur, en cette ville. Le Conseil approuve cette convention. Il s'agit d'un échange de terrain entre la ville et M. Proot pour l'aligne ment de la rue du Passage. La ville abandonne M. Proot deux lisières de terrain, l'une de 3 m. c. 02 et l'autre de 5 m. c. 54. En échange, M. Proot cède la ville un terrain de 2 m. c. 92. M. Proot regoit un forfait de 1,600 fr. condition de reconstruire les murs sur le nouvel alignement de la rue"du Passage. Le Conseil adopte sur la proposition du Collège, sauf approbation de la Députation permanente, un nouveau prélèvement sur l'emprunt provisoire de fr. 496,963-00. Jusqu'à ce jour il a été prélevé 300,000 fr. Ce nouveau pré lèvement servira continuer les tra vaux. Après avoir discuté quelques aff aires d'ordre administratif, la séance publi que est levée 7 heures Il nous revient que la nomination du Secrétaire communal est remise quinzaine. Il parait que M. Colaert tient mordi cus son candidat. Un grand nombre de Conseillers préfèrent nommer un Yprois. De là ces atermoiements. --av Brasserie L'YPROISE Remise domicile par 12 et 24 bouteilles. srss'TS -ses Xominalion. Par arrêté royal du 21 Janvier der nier, M. Colaert, René, est nommé Bourgmestre de la ville d'Ypres. Cette nomination s'est complètement passée inaperçue en ville. Le bruit circule que Mons Colaert n'entrera en fonctions qu'au moment où son candidat sera nommé secrétai re communal. Allons, Messieurs les Conseillers, courbez l'échine devant les exigences du Madré Poperinghois et votez pour son favori Ce seront les candidats Yprois qui seront contents Quelle comédie I Laissons les enfants ieursjeux :c'est leur santé et leur bonheur et ne nous soucions pas de ce que deviennent leurs habits, car nu'le tache ne résiste au SUNLiGHTsavon. s3^<sreassiesasaaa Mentalité. Trois gamins, fréquentant une école cléricale, étaient occupés, Samedi der nier, sur les remparts, abîmer les plantes et caser les arbrisseaux. Un promeneur indigné, les répri manda sévèrement en les menaçant de signaler leur mauvaise action la police. Mal lui en prit, ces gamins, mal édu- qués, se moquèrent tout bonnement du promeneur et s'écrièrent en chœur nous nous f....;. de vous et de la police. Le bourgmestre n'osera rien nous faire, nos parents font partie du Volkshuis et ils votent pour les calo- tins. 11 n'y a pas dire, les élèves des écoles cléricales y reçoivent de très bonnes notions Ce n'est qu'à Ypres, que pareilles choses se passent. Dans d'autres loca lités, les" jardins et les squares sont sous la sauvegarde du public et pas un gamin n'oserait commettre le moindre dégât. rn i :s i:h i i :ux Brillante situation pr personne intel ligente, d'un hôtel-café-restaurant re prendre de suite au centre de la ville d'Ostende. Bonnes conditions de paye ment. Ecr. rue d'Est, 16, (1er étage, Schepens). Nous lisons dans le Journal de Roubaix Xotninalions. En comité secret, le Conseil com munal, dans sa réunion de Lundi, a nommé comme messager l'hôtel-de- ville, M. Julien Deproost, concierge la bibliothèque publique. Il exercera ce nouvel emploi en dehors des heures de service de la bibliothèque, laquel le il continuera rester attaché comme concierge. M. Taucré a été nommé mécanicien au château d'eau. La nomination du secrétaire com munal n'a pu être faite par suite de l'absence légitime d'un membre du Conseil. Cette nomination est remise quinzaine. Le membre en question est M. Struye, qui est, paraît-il, partisan de la candidature de M. Julien Antony. A en croire certains bruits, deux postulants sont d'ores et déjà évincés MM. Schot, d'Ingelmunster et Narcisse Boudry, chef de bureau l'administra tion communale d'Ypres. La lutte se trouve donc circonscrite entre MM. Julien Antony et Herman Gorrissen. On dit aussi que la majorité des con seillers est favorable au candidat vpruis, M. Julien Antony, et que c'est unique ment pour éviter un vote de surprise que la nomination du secrétaire com munal a été remise quinzaine. Toux, rhumes, PASTILLES KEATING voir aux annonces. renseignement moyen M. Laheyne, juge de paix du 1* can ton d'Ypres, est nommé, hors-du Con seil communal, membre du bureau administratif de l'Ecole moyenne de l'Etat, pour garçons, Ypres. Lu vie d'une jeune fille est sauvée par les Piï-UDSS DU Dr CODERRE pour Femmes Paies et Faibles Leopoldine DE RYCKE. «Xi Dépôt Ypres CAMILLE L1BOTTE. Société Royale des Francs Arbalétriers. Oiseau Pintelon Félix. lr Haut total Dehollander. 2e Bas total Brunfaut. lr Moyen total Depuydt. 2e Moyen total Deweerdt Ch. 2e Bas total Hoflack Em. 2e Haut total Dewanckel. Garde civique. I Dethoor Ferd. Froidure R. Burgho A. Pintelon M. Dehollander H Ommeslagh R. Masschelein A. Bartier E. Poelemans D. CRESSINTHE r- o c: 1 M r 5) O Tl Jfî so o p o c.o Oî'iocce-oçi - - O Gd iC CO O O O o s o o o o c o r- «U 2 <D r V C 4) ÇJ D C v- P k- t/) gfcjco .2 >£33 u '<G R" O c LJ Voir la mille (le* oràicles la 4e liage rue «le la Bouche, "iH. Bière spéciale et bière bock en bouteilles. <£3$ 'î'SS '*35$ £2$ '*3?S £25 tri,mm TS ras r*rs t est m os e» ecs TS, Me voilà redevenue gaie et active, enfin on ne me reconnaît plus, tellement j'ai changé Je continue prendre les PILULES du Dr CODERRE et je profite chaque jour davantage, et de plus en plus je me sens joyeuse et bien portante La douce tendresse d'une mère pour sa fille se double naturellement d'un senti ment d'instinctive et affectueuse pitié. La maman songe Pauvre fillette, tu souffres comme moi. Et cela n'est, hélas que trop vrai, ear la femme est assujettie, dès sa prime jeunesse, vraiment trop de peines et de misères physiologiques. Déjà, l'âge où fillette insouciante et gaie, elle remplit la maison de son rire frais et sonore, elle a subir une première crise de santé qui vient ternir sa grâce et sa juvénile beauté. La puberté inquiète, juste titre, une mère soucieuse de la santé de sa fille, car deux alternatives se présentent ou la fil lette surmontera les fatigues de la forma tion, et le fonctionnement régulier de ses organes étant bien établi, elle continuera grandir et se développer normalement; eu elle supportera mal cette épreuve et, alors, les plus graves dangers sent redouter. La jeune fille sera sujette toutes sortes d'affections et de malaises qui rirnent littéralement sa santé ce sont les périodes douloureuses et irrégulières, des pertes trop abondantes qui l'affaiblirent beaucoup; des maux de tête,des insomnies épuisantes et, au bout de cela, la vilaine anémie, qui décolore les lèvres, ternit l'écict des yeux et rend les jeunes filles ci pâfes et si fatiguées qu'elles font pc'no voir. Le devoir d'une mère prudente et avisée est de veiller celte époque dangereuse avec un soin jaloux sur la santé de <sa chère fillette et, pour cola, les PILULES du Dr CODE Fi RE pour FEMMES PALES et FAIBLES lui sont d'un grand secours, en facilitant la transfor mation qui s'opère- Que de mères se seraient évité de la peine et des remords si elles avaient eu re urs ce brn remède Que o ouf rances les PI LU LES du Dr CODERRE ont épargnées bien des i; unes tilles en les débarrassant do tous ces malaises et de ces fatigues dépri mai.ta* Et aussi quede deuils,que depertes dou loureuses et irréparables les P! LJJ LES du Dr CODERRE ont évités lorsque, apportées au chevet de pauvres jeunes filles terrassées par la maladie, e! G s leur ont redonné la Lrce de vivre La guérison si édifrante de Made moiselle Léopoldine De Rycke, rue de Malines, 48, Termonde, met, une fois de plus, en lumière, les grandes vertus des PILULES du Dr CODERRE pos FEMMES PALES et FAI BLES. Voi'à un an que j'ai commencé être malade, et quand je p nse t tout ce que j'ai enduré, j\ n fré.nis encore Je peux dire que j'ai souffert vraiment de tout le corps de la tête, des points de côté, de ver tiges, de palpitations au cœur. Chaque mois je devais garder le lit pendant plusieurs jours, souf frant beaucoup du ventre et des r ins. La nuit, je dormais très mal, j'.v.is le cauchemar, et je me lev is le mat n aussi fatiguée que la veilla en me ouchant, ce qui me rendait d'une ne; vositè excessive. J'étais extrêmement faible et avais très mauvaise mine; enfin, j'étais dans un état de santé si navrant que cela donnait bien du tourment et des inquiétudes m t famille, et nui j'ai pensé plusieurs foi- que je pourrais bien'en mou rir, car je devenais de plus en plus anémique. Et dire qu'il n'a fallu que queiqu-s boîtes de PSLULCS d Dr fiDERRE pour me rendre la santé, car je suis complète m- nt mieux et, surtout, je ne souffre ->>• s tous les mois comme avar.t icSimilé exact d'une boîte de Pilules d i Dr Coderre M M E S PALE SA FA\®^ Ci» PiLui.es o u/«( roRMvi* jpkci/ i.e so«vr prOA/W9 tes V-ASOR A roi»£5 LA C0*PA6MJ> £N ElL£3 A ONT roujov*ï \/icTOf*!iuS£3 MA'.AOi£> ors r runes; ANEMIE CNLORObi.palfs coule ur5, a.fFiCTlQNS nerveuses maujtl oe filihs, douleurs ou ventrehl y rites,retour o'age.CTcj Pour tt>ui re n sjfignm rr\ V r,t» ht c i rtuj a l /"e M prix 3 cr an cs ui f-2 o! r€ oépôr francocam chemical c? MO v rt?r AL C a V 4 OA - p.*A:»._J-»v>rc3 OOrrrrnsP* A*'eAC/r»j Les PILULES du I»r CODEIIRE, pour UAIMI'S PAL.ES et FAIBLES, sont en vente dans toutes les bonnes pharmacies au prix de îl iVaiMtN la Itoite. Dépositaire Général pour la Belgique Ph. Anglaise Ch. DELACRE et O, Bruxelles. 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Le Progrès (1841-1914) | 1912 | | pagina 3