EEN LEERGAST.
SUNHSHT
E. ANGILL1S BOUQUET
F»
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DEBEUKELAER
ATLAS
Compagnie Allemand
d'assurancessuiiavie
- - FOURRURES -
J. Liégeois-Monteyne
Paul Lesaffre
Caisse des Propriétaires
BANQUIER
-VÊTEMENTS FOURRURE-
- Chapellerie de Luxe et Ordinaire -
Théâtre d'Vpies.
Institut supérieur
État-Civil d'Ypres.
MAISON DE CONFIANCE
FONDÉE EN 1842.
2bis 4, Rue au Beurre, YPRES.
Chronique théâtrale.
La Mort de Herlock Sholmès.
La saison théâtrale 1912 a débuté,
Jeudi dernier, par la grande pièce poli
cière de Yoris-Walter et de Wattyne,
au milieu de coups de feu, de parties
de boxe, de pillages, de suicides et de
meurtres.
On a fait couler des Ilots de sang
humain. On a brisé sans pitié le luxueux
mobilier qui décore notre scène com
munale. Le salon Louis XV, notam
ment, dont nous nous plaisions tant
admirer le style si pur et la tenture si
fraîche, fut transformé en antre de
bandits où se sont déroulés des scènes
de carnage que la plume se refuse
décrire. Enfin, les interprètes, après
s'être fait occire avec un courage au
quel nous rendons hommage, s'en sont
allés, heureux malgré tout de vivre,
recueillir, en d'autres lieux plus hospi
taliers, des ovations que les Yprois
leur ont plutôt marchandées.
La troupe a fait ce qu'elle peut. C'est
déjà beaucoup soyons l'en reconnais
sant, et passons sous silence certaines
défaillances de mémoire qui, au cin
quième acte surtout, n'ont pas contri
bué enflammer l'enthousiasme d'un
public peu friand de frissons.
Dans la salle, assez bien de monde.
Et notre petit compte-rendu se termi
nerait ici, si nous ne trouvions être de
notre devoir d'engager l'édilité, char
gée de veiller la sécurité publique,
renforcer la police dans notre salle de
spectacle.
Il s'est passé, Jeudi soir, un petit in
cident qu'il serait utile de ne pas lais
ser se répéter. Et il conviendrait,
notre humble avis, de faire compren
dre, une fois pour toutes, quelques
demi-places turbulents, la langue
trop déliée et.... la main trop leste,
que, si on leur accorde la faveur d'une
réduction accueillie avec un sage em
pressement, ce n'est pas précisément
pour venir déranger les paisibles spec
tateurs qui paient, eux, la place en
tière et entendent en avoir pour
leur argent. Thaly
fcb
Pour Vendredi 48 Octobre, au Théâ
tre communal, on nous annonce une
représentation de I» 15 I H 15
pièce on 4 actes de DUMAS fils, le chef-
d'œuvre de cet auteur. Cette pièce est
une des plus émouvantes, des plus
fortes et des plus généreuses du réper
toire de la Comédie-Française.
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M. J. DËCHIEVI1E,
Bixschole.
Drame de la jalousie.
Dimanche soir, une jeune fille de
liixscliote, Elodie Desodt, âgée de 19
ans, revenait de la kermesse de Merc-
ktun, accompagnée de sa jeune sœur,
âgée de 15 ans. Chemin faisant, les
deux jeunes filles avaient remarqué
qu'un individu les suivait une faible
distance. Sans pouvoir le reconnaître,
Elodie Desodt crut voir en lui une cer
taine ressemblance avec un jeune
homme de Merckem qui l'avait courti-
- o il y a quelque temps et avec lequel
elle était liée par un certain degré de
parenté. Au mois de Février dernier ce
jeune homme avait écrit une lettre
Eiodie Desodt pour lui exprimer son
mécontentement au sujet de sa façon
de se tenir envers lui, et une rupture
"était produite la suite de cet inci
dent.
uiicile. Le docteur, aussitôt appelé,
ne put que constater le décès. Le cœur
avait était atteint.
1/assassin a dû fuir traver champs.
Il ne fut point rencontré par une per
sonne qui courut aussitôt vers le lieu
du drame, et d'antre part, des traces
de pas furent relevées dans un champ.
Le parquet d'Ypres a fait une des
cente Lundi matin. Le jeune homme
de Merckem, soupçonné d'avoir suivi
la victime, a été entendu par les magi
strats. Tout en niant le fait, il recon
naît toutefois avoir affectué, vers la
même heure, un qftart du parcours de
la route, et s'être arrêté dans deux ca
barets, qu'il ne fréquente pas d'ordi
naire, abandonnant ses amis qui se
trouvaient la kermesse de Merckem.
Il a reconnu également avoir en sa
possession un revolver qui a été re
trouvé, sur ses indications, dissimulé
dans un tas de pommes de terre recou
vertes de paille. Le revolver contenait
encore des douilles. Transféré Ypres,
il a subi Mardi après-midi, un nouvel
interrogatoire dans le cabinet du juge
d'instruction et, mis eu état d'arresta
tion, a été écroué la prison cellulaire.
Ce meurtre a produit une vive im
pression dans toute la région.
Laissons les enfants
leursjeux ;c'est leur
santé et leur bonheur
et ne nous soucions
pas de ce. que deviennent
leurs habits,car nulle tache
ne résiste au SUNLIGHT savon.
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Pour répondre au vœu exprimé par
leur clientèle, les pharmacies L.IROT-
TI5 et AI A V resteront ouvertes tous
les dimanches et jours fériés.
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(Société Anonyme)
78e exercice social 1912-1915.
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ter, Valérie, rue du Corbeau. Pa-
reyu, Daniel, 20 ans, orfèvre, céliba
taire, Vieux Marché au Bois. 1 lof,
Virginie, (il ans, dentellière, épouse,
Ingels, Charles, rue Eigen lleerd.
Deblock, Henri, 52 ans, sans profes
sion, célibataire, nie Carton. Dael,
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Allaer, Sophie, rue de Lille. De-
weer, Gustave, 98 ans, commission
naire, célibataire, rue d'Ecosse.
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Flerackers, Isidore, rue du Quai.
Landerwyn, Mariette, rue des Plats.
Kerkhove, René, rue Wenninck.
Woussen, Camille, rue des Tuiles.
Vienne, Gérard, chaussée de Dicke-
busch. Deroo, Denise, chaussée de
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brands, Hélène, brodeuse Ypres.
Lebbe, Irma, 50 ans, sans profes
sion, épouse Poupart, Arthur, rue d'EI-
verdinghe. Grignon, Marie, 41 ans,
sans profession, épouse Covemaeker,
Pierre, chaussée de Poperinghe.
Iverrinckx, Gérard, 75 ans, tailleur,
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Dimanche i :J Octobre
RUE DE LA STA TION. 45, Y PRES.
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Vers G 1/2 h., les jeunes filles n'étai
ent plus distantes que de 200 mètres
environ de leur maison. Soudain, plu
sieurs coups de revolver furent tirés,
Elodie Desodt, qui avait reçu la char-
- dans le dos, s'affala inanimée aux
"tés de sa sœur. Aux cris poussés
Par celle-ci, des personnes aecouru-
Cntet transportèrent la victime son
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Octobre. Demander le règlement au
directeur, 2, rue du Lac, Gand.
ALTO RISÉE PAR" ARRÊTÉ ROYAL DU 8 JUIN 1835
Conseil d'administ a lion MM. Edm. Nerincx, avocat, vice-président de la Chambre
des représentants, Président Alb. Glibert, propriétaire Bruxelles P. Misonne, avocat
Bruxelles le vicomte C. Desmaisiéres, sénateur le comte Et. Visart de'Bocarmé.à
Bruges. Commissaires MM. le comte Fl. de Liedekerke. Pailhe H. Berger, Bruxelles
H. de Quebedo. Namur le comte de Ribaucourt, Bruxelles.
La société a pour objet de prêter, sur garanties hypothécaires, des sommes rembour
sables par annuités ou terme fixe. Elle peut participer la constitution d'établissements
similaires elle peut aussi prendre des fonds et valeurs en dépôt, établir des caisses de
survie, accepter toutes gestions, i otamment de deniers publics, et faire toutes opérations
et placements pour le meilleur emploi des fonds qui lui sont confiés et la sauvegarde de
ses intérêts. Le capital social est de fr. 15.000.000 intégralement souscrits.
(Extrait des Statuts).
OBLIGATIONS La Caisse des Propriétaires émet des obligations de 500 fr.
remboursables la quinzième année de leur émission et rapportant un intérêt de 4 p. c. la
Société se réserve toutefois la faculté de le- rembourser dès la 10e année.
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former sa nombreuse clientèle qu'il ne
pourra plus se rendre PROVISOIRE
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qu'il n'y sera remplacé par personneLes
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consulter M. Meier sont priés de se ren
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rue de Mouscron n° 2, maison porte
cochère, près de la prison.
En prévenant MMeier quelques jours
l'avanceles personnes qui se rendent
chez lui Courtrai le matinpourrons
repartir l'après-midi
Déclarations du 4 au 1 1 Octobre 1913
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