3 Aen eenen Schynheyligen. ensch 1 ieveahey d. Op zeker Predikant c'est le comte de Nesselrode accompagné d'un aide-de-camp de l'empereur, qui l'a engagé sor tir de l'hôtel de M. le comte de Lebzeltern. ambas sadeur d'Autriche, dont il est le beau-frère. Con duit en présence de l'empereur, il voulut d'abord tout nier mais la vue de ses papiersil tomba aux genoux de S. M. et demanda pardou et la vie. L'empereur lui répondit que s'il se sentait assez fort pour survivre a sa honte et ses remords, il lui laisserait la vie; mais que c'était tout ce qu'il pouvait lui promettre: Après celte déclaration, il a été mené la forteresse avec plusieurs de ces complices. On remarque que les corps d'armée du sud sur le Duiesler et le Prulh dans lesquels le mécon tentent contre le système pacifique de l'empereur Alexandre avait éclaté avec le plus de force, est précisément composé de troupes qui ont fait partie de'l'armée d'occupation de France. On lit dans one feuille étrangère une notice bio- graphique sur le Cezarewitsch, grand (lise Constantin, dont le contenu preseme un étrange contraste avec ces-aveux d incapacité dont il a été question dans l'acte d'abdication de ce prmce. Voici quelques frag- mens de cette notice Durant le règne d'Alexandre le grand-duc Con stantin n'a cessé de montrer pour le service de son frère uit zele infatigable et l'abnégation complète de aes goûts. Il se proclamait le premier sujet de l'empe reur et on l'a vu exposer sa vie Austerlitz pour assurer Alexandre une retraite plus sûre et plus fa cile. Nommé généralissime des troupes polonaises dans un moment critique, il n'hésita pas un iostant de se rendre Varsovie, et par un travail soutenu un es prit d'ordre et de justice et avec_une fermeté bien entendue, il parvient tout organiser dans ce royau me où tout restait régulariser. Il forma des débris de l'ancienne armée polonaisedécouragée par ses revers et dont la plus grande partie n'était composée que des jeunes recrues, une armée admira ble pour la teaue et la discipline en un mot une avant-garde de 4o,ooo hommes pour la Russie, dont tous les corpssous un chef aussi habile ont pris l'attitude de vieilles troupes, de vétérans rompus la discipline et aux combats. Ce prince est né guerrier et possède cette franchise militaire apanage trop rare des princes, qui lui con cilie la confiance et l'amour de tous ceux qui l'appro chent. Il est l'ami de ses amis, c'est-à-dire, qu'il n'a jamais changé dans ses affections et qu'il a conservé tous ses amis d'enfaoce dont il est le bienfaiteur et l'appui. :i Comme ce prince a de grands biens, qni lui ont été donnés par l'empereur Paul ,il en consacre une gran de par.ie a des actes de bienfaisance des veuves, des orphelins des inva iides sont pensionnéspar lui gcand nombre d'olficièri et soldais français pri sonniers en 1813, lui doivent la vie'et le bonheur d'avoir revu leur patrie. t* Constantin jouit d'une belle et forte santé. (I sup porte aisement le frofd et la fatigue; il dort peu, se lève 3 heures du matin pour travailler et expédier toutes les «Maires avant 9 heures, puis il se rend aux parades l'inspection des troupes. Il dîne a heures tait une légère méridienne et recommence ses occupa tions avec ses secrétaires ou ses aides-de-camp. Il trouve dan» son intérieur et dans la tendre affec tion qu'il a pour n épousé la princesse Lœw i z, un dédommagement ses nombreux travaux. Malheureu sement cette princesse, .ornée de tous les taleots est des qualités dn cœur qni la font chérir, et d'nne santé très-délicate. On a craint pour sa poitrine, mais oa espère que sa jeunesse et les bains qu'elle a pris en Allemagne pourront la rétablir. - VARIÉTÉ. Spectacle dVpres. Une opinion avantageuse avait dévancé la tronpn d'opéra de Bruges dirigée par M. Dupré-Nyon fils les artistes qui en foot partie n'ont point demeuti celto réputation. Les deux premières représentations ont générale ment satisfait, et même surpassé l'attente des amateurs. Sans les personnifier Acteuis Actrices ont tous mérités des suffrages, le Seigneur du village a paru une nouveauté par l'ensemble parfait de son exécution .Tout semble promettre au Directeur un àbonue- ment qui le mettra dans le cas de De pouvoir se plain dre de son séjour, surtout en variant le spectacle comme tout paraît le présager -On nous fait esperer pour Dimanche Jean de Parisd'aprèï les talens des premiers emploisce bel ouvrage peut être parfai tement rendu et l'adjonction des Deux Cousins pièce en 3 actes ne pourra qu'a/outer au charme de la soirée, cette nouveauté étant en grande réputation Amateur zélé mais également ennemi d'éloges outres a d'amères critiques nous nous permettrons de tems en tems quelques réflexions, toutes dictées par II bienveillance et dans l'intérêt seul de l'art Dra matique pour lequel il serait a desirer que les habitas* d Y près prissent du goutquelqes sacrifices envers l'entrepreneur lui faciliteraient l'avantage de se pré senter plus souventet nous procureraient une jouis* sance dont nous sommes privés depuis longtemps. VAmateur abonné CHARADE. Mon premier fait chanter; Mon second récolter Et mon tout aliter. Le mot de f Euigme insérée dans notre feuille n" 10 est Honneur. Gy draegt eeu momgezigt voor d'oogen TVrnyl ge er veélen sticht door schyny Geen enkle feyl kuat gy gedooeen Schoon in uw Ziel dé grofslen zyn. Steeds laekt ge uws naesteas Kleya gebrekflE Daer gy dw Groote misdaên dekt. 'K begryp uiet boe-gy met die streken Koe >00 veél aeazien tôt a trekt! A. K. Wic décrois met een andér heéft, Mag m deu nood uiet zyn verUeten Maer bydie voor zich zelven leéft Verdient, dat hem de poenschen haeten. slï A. K Tevens ool Koopman in Vodden. Tijs, die sints Iaogeu tijd met kaart en dobbelspelen Geheel de week verkwisten 's zondags raakt in lij Hij die oos sotntijds leert gij moogt geen mensch beslelen. Verkoopt nu oad papier en weegt er preken bij. AFFICHESANNONCES ET AVIS DIVERS. THEATRE D' YPRES. PBOSPECTUS POUR UN ABONNEMENT AU SPECTACL£ 1 La directeur l'honneur de proposer messieurs

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Le Propagateur (1818-1871) | 1826 | | pagina 3