missîiros croient «voir rempli les conditions d'une juste réciprocité. Upe lettre de Zante du 8 janvierconfirme dé- fm VemefÙ la prisé de Tripolilza par Colocotroni maiF.c/vr.» été qii'npi ès deux assants infructueux dans l'un desquels r« généra) faillit tnêuae être tué et lors que le général G iraïasso qui commandait les. troupes épiroles dans les ilcs.d Rydra et de Speziîa se con formant aux ordres du gouvernement est débarqué Astros 3ooo hommes qui se réunirent sur-la champ fa division de Colocotroni. Alors une troisième len- lati.vc eut tout le succès qui a déjà été rapporté. Augsbourg »3 février. Une lëttre particulière de Pétersbourg du v.3 jan- vier contient ce qui suit .On dit que déjà daos la seriaahne prochaine cinq îles principaux chefs de la Wbeliion parmi lesquels on uomme les princes Obo- lensky et Tschepin Rostoyrsky, seront fusillés devant les glacis de la forteresse V. FRANCE. Paris 17 Février. Lorsqu'au ao juin 179a une horde révolutionnaire traversait les Tuileries, Lfclnlanc, grenadier de la garde nationale exprimant Louis XV1 des craintes pour ses jours, le roi lui répondit Grenadier met» la main sur mon cœur et sens s'il palpite Dela- lanne paya de sa' tête ce vit intérêt qu'il nvait témoigné au bonmonatque. Charles X ayant tout récemment appris que la veuve de cet infortuné grenadier vivait dans l'indigence Etrechipetite commune près d'Arpajou vient de lui accorder une pension de 3oo fr. sur s» casette. On vient de réimprimer un nombre trè» considé rable d'exemplaires, le sermon de M assiilonsur rhumartïie des grands envers le peupleau prix de a5ceotimés.' Ou y trouve ce passage La prospérité des grands et des ministres des souverains qui ont été les oppresseurs des peuples n'a jamais porté que la honte, l'ignominie et la ma lédiction a leurs decendans. On a vu sortir de celte tige d'iniquité des rejetons nombreux qui ont été l'op probre de leur nom et de leur siècle. Le seigneur a souffle sur l'amas de leurs richesses injuste, et l'a dispute comme la poussière et s'il, laisse encore trainer sur la terre des restes infortunés de leur race c'est pour les faire seivir de monument etcrnel ses Vengeances et perpétuer la peine d'un critne qui %erpetue presqne toujours avec lui l'affliction et la OÎstesse publiques dans les empires. Un médecin de Bologne, le docteur de Bello viant d'assassiner son frère au milieu d un repas au quel il l'avait invité dans ce dessein pour se venger de aé qu'il était plus avantagé que lui par la testament de leur père. Des babitans du quartier de l'Ue Saint-Louis alarmés du projet de loi qui rétablit le droit d'aiiiesse, ont rédigé, par la chambre des pairs une pétition qui est déià revêtue d'un grand nombre de signatures. Lts personnes qui désireraient la signer peuvent se présenter chez M. Bompierre, négociant, rue Breton- villiers. Un particulier avaitfait annoncer par les jour naux la perte, faite lundi dernier rue Dauphinede cent njille francs de valeurs au porteur. La femme Se- niquelte cèisinière sans place retrouva ces elfets et informée de leur importance par M. Royer chez qui elle est logée s'empressa da les reporter au proprié taire. Cette femme peut se présenter toulsetvice sans certificat cette action lui en servira. PAYS-BAS. La,Paye 17 Lévrier. Il vient de se déclarer Courtrsy uue faillite ronsidérahle dont plusieurs de la ville éprouvent 1 douloureux contrecoup. S A. C. le prince-archevêque de Malines a con féré avant-hier le diaconat et la prêtrise un nombre considérable d'élèves du séminaire de Gand. On croit que lundi prochain il pourra faire une nouvelle ordi nation pour les sous-diacres. Ypresii février. Dimanche 19 février 1826, a eu lieu l'exposition d'hiverde plantes et de fleurs, de la société de flore. La société dite des fleuristes et de Botanique de cette ville. Se sont assemblées comme de coutume pour célébrer l'anniversaire de U Sainte Dorothée dont chacun des membres a l'envie, ont exposé des fleurs et autres plantes rares, suruntheàtre élève en gradtrj., dans une des salles de l'hôtel de ville ou le public y a été admis pendant trois jours, et l'examen des amateurs qui voulussent honorer cette noble classe de productions agricoles et juger de leur rares beautée* pour la saison. Le orix de la belle culture a été remportée par la Cainclm Japontca P.ore pleno Rosea appartenant M. Ovrdinaî Wughe- Le prix de la plus belle collection a été donné M. Dumoi'lier j la pian'e I» plus remarquable de cette collection sont la (Jlicine B t maculai a de Wdidenovf ou Ko ni dia Monopliitla de Ventena le Correct SpecioM tWegriolia Jalonflydrangia Querci- foha et la Primula Seitulosa remarquable par sa belle culture. On regrette beaucoup que toutes les plantes formant cette jolie collection d appartiennent pas a celui qui les a exposé». La charmante collection de Monsieur Legraverand a eu mention honorable parmi le nombre de jolis plantes qu'elle renfeime, op distingue L'Lrxca Concmna et Globularxn plusieurs jolis variétés de CameUxa Japonxca et autres arbustes parfaitement bien cultivée. Au moment de mettre le présent journal sous près se. Nons apprennons uue farce assez scandaleuse la vérité qui a eu lieu le mercredi 8 du courant, foire aux cheveaux,an celte ville. Un paysan de nos environs aniênant au marché, unfpoulin, le met au prix de 18 Lotir, on lui en offre t$ ei au deia ce poulin reste non vendu pour passer la soirée s'acheminent avec deux jeunes gens de cetta ville, vers une maison pnblique qui après la dépensa d'une 3oajoe de flacons de vin ces deux deruiers aban donnent mon paysan et le poulin tut mis dans nne écurie. Le paysan a son reveil propose l'hôte de la maison pour le satisfaire la vente de son pou lin, aussitôt l'hote envoie faire des propositions des amateurs de cheveaux, on vientil était question du prix, et offert aux amateurs d'en faire l'essai, personne n'ose le hasarder, enfin la paysan dit je vais vous faire voir que cette bête est douce et vaut son prix, monte le Poulin et part comme une éclair, l'hote a attendu vainement le retour du paysao. Voilà ce qui est rare que des horts de maison! publics se laissent tromper et par quipar un paysan qui «ont souvent leurs dupes. ÉNIGME. Qui oc me sait pas, 110 sait rien; Qui me saitne sait pas grand chose Çépeudaul c'^i moi qui compose Tout ce qui décrit, tuai ou bien. J'ai deux-fois douze ,eufausquoique du même père, De forme, de valeur |'un et l'autre diffère; Mais tout oui même t objet cbea les peuples divers. Saus eux poiut de traite de paix, de mariage, En pour dire eu#ore d'avantage L'ignorance, sens eux couvrirait l'univers. Le mot du Logogrishe iuséréedaus uoire feuille n® i^J: rit Loiretdans lequel ou trouve Lare Loir et loi.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1826 | | pagina 3