Willington l'attendait pour a* mettre en route; elle est arrivée enfin. Mail il paraît que le ministère fran çais n'a pas répondu d'une manière catégorique. Ce aérait immédiatement après f arrivée de cette réponse Londres que le duc de Wellington s'est tnis en roule pour St.-Petersbourg. Const. Un journal grec celui d'Athènes rapporte qu'un émir lait prisonnier par le général Gauras déclaré que le conseil des oulémas en Turquie s'étant assemble pour délibérer sur la manière dont il coorien- drail de traiter la Grèce après qu'elle serait reconquise a présent; s sa hautesse un projet dont le contenu est Sltrèmetnel remarquable, il se compose de six ou sept articles qui portent en substance ia que les habilans du Peïopooèse comme le plus séditieuxseront tous exterminés ou réduits au plus dur esclavage a* qu'on épargnera seulement les hommes propres cultiver la terre; 3* qu'on en agira de même l'égard des prin cipales familles de la Grèce occidentale 4° que Ie1 Grecs ne pourront posséder aucune propriété, et que toutes leurs terres appartiendront de droit au graod- seigueur 5* que tes écoles seront abolies dans toute la Grèce et qu'il n'y aura plus de piètres 6* que cependant sa hautesse conservera,si elle le jugea pro pos on prêtre psr proviuce .- mais ces prêtres et leurs ■ucccsseurr seront le seuls qui sachent lire 7* pour remplacer les Tores qui auront péri durant cette guer re on choisira un égal nombre d'en fin s chrétiens de* deu* sexes qui serout élever daus la religion de m«- homet. Les bruits qni s'étaient répandus sur le passade du Piuih par l'armée russe, après avoir occupé vive ment les espritsparaissaient assoupis depuis quelque* jours. Des courriers qui ont passé par notre ville ont enfin fait connaître ce qu'il y avait de vrai dans ces nou telles, Quarante cosaques environ passèrent le Prutb pour enlever des bestiaux sur l'autre rive. Les Turc» qui iormeat le cordon se mirent eo delense, en tnèreai sept huit et forcèrent le reste repssser le fleuve. Les cosaques revinrent su camp, faisant grand brun de la mort de leurs camarades, maudissant les Turcs et criant vengeance. Cet incident ea osa beau coup d'émotion parmi les troupes .- huit a neuf cents cosaques passèrent aussitôt le fieitvetombèrent sur les Turcs, les culbutèrentet après les avoir fort mal traités, revinrent vers leurs caOSaraJes. Celte vengean ce calma l'effervescence des troupes si ce second dé tachement eût été répoussé, il eut été imposaible de contenir les soldat» et de les empêcher d'aller soutenir les cosaques leur haine contre les Tutcs est poussée au plus haut dégré et ils attendent avec iuipaiieuc»le signal des hostilité*, a PAYS-BAS. Envers io février. Plusieurs journaux ont annoncé l'arrestation d'un deléaiastique Maltues. Cette assertion n'est point exacte. On y a arrêté une femme prévenue de colpor ter et distribuer de* libelles dirigés contre le gouver nement. On nous écrit que cette bonne femme est une espèce d'illuminée dont-on a pu iaire facilement uu iustrument de complicité J. d Anvers.) Hier matin on individu, venaot de Boiulort a été attaque dan» le bois de là Cambre par trois bri gands qui lui ont poné plusieurs coups la tôle et l'ont laissé pour mort sur la place, après lui avoir en levé une somme, dit-on, de 6oo florins des Pays Bat, «fue cet infortuné venait payer h la banque de cette ville du cbtl d'achat de Loi*. On a l'espoir de le sau ver. Il se trouva en ce moment en charge dans la port d Anvers ut bâtimentparmi lesquels il s'en trouve.* pour Babia, a pour New-Yorkt pour Batavia, i pour Buenos- Ayresi pour la Guayra et 1 pour la Havane etc. La Haye y ai février. Un arrêté des états députés, du i5 de oe mois, pres crit tous propriétaires fermiers locataires ou so ttes faisant valoir leurs propres héritages ou ceux d'att- trui d échemller et faire éffaeniller les arbres situés sur ces héritages avant le a5 mars p rot-bainsoua peine d'une amende dont le minimum est fixé trois jours de travail et le maximum dix. Voici 1 arrêté royal du i5 janvier dernier re latif au/églemeni sur I organisation des écoles d'ensei gnement pour les chirurgiens et sages iemmesr Noos Guillaume parla grâce de Dieu, roi des Pays-Bas etc. etc. Revu notre arréie du 6 janvier i8a3 n* 176, por tant un règlement sur l'organisation des écoles d'en* seignemeot pour les chirurgiens et tages-lemmes; vou lant assurer convenablement l'exécution de l'article 1 en rapport avec l'article ai. de même que de i'articlo 8 dudu règlement vu les rapports de notre ministre de l'intérieur du 39 décembre i8a4 u* 4^ >9 mars i8a5 n° 67 Le conseil-d'état entendu avis du 17 mai i8î5 n. 3); vu le rapport ultérieur de notre dit minislra du «4 août dernier u. 8 le conseil-d'étal ultérieu rement entendu avis du 10 janvier 1836n. 4 Avons trouvé bon .- t De mettre bon d'effet l'arti cle 11 du susdit règlement les dispositions d'arrêter que l'article 1 du même règlement sera modifié et dé veloppé comme suit; Les villes qui n'ont point de pareilles écoles et qui désirent en obtenir l'établissement près d'un hôpital publie, au de tout autre manière, en demanderont l'autorisation au Roipar l'intermédiaire des éiets- deputés, les administrations des villes feront connaîtra en même temps aux états-députés, leurs opiniousnr la mode d'organisation de ces éiablirsemens et la ma nière d'en couvrir la dépense soit psr le concours des administrations des hospices aprè» examen de la situation de leurs fonds et de leurs affectations soit aussi par des rétributions pa/er par les elèves soit enfin au moyen de subsides fournir par les com munes ou provinces intéressées I établissement da ces écoles, et dans tous les cas sans devenir une char; S«- AFFICHES ANNONCES ET AVIS DIVERS. SCHOONE FAMILLIE GOEDEREN Te loopen binnen Wervick. Donderdag a.den Maert 1826, ten vyf ueren 's avooiisin d'Herberg de Kauw binnen de sied Wervick, den Notaris Forrest aldaer xal voort- vaeren lot den Jnstely 1.9 Van eene Hotsiede gebeel in steen gebon- wen grool onder bofpLets boomgaerd, meersch en aaeylaaden' te saemen 8 bunderen eene roede 3a ellen béplant met eene menigté opgaende Boo- men gestaen en gelegen op Wervick, langst den leegen weg naer Meenen gebruykt door de we- duwe Philippus Wyikaertten pryse van 354 guldens 87 i|i cents by jaera boven aile grond- Lstcn. 1. 9 Van een stnk atlerbesteo Leye-meersch groot 53 roeden 14 ellen eeiegen op Meenen hondenda van oosten, aan de Meerschen van den armen van Meenen, van îuvden aeo de Leye, van westen aen d'heer Hendeiyitx en v^n noorden aen d'beer Auguste Ghcsquiere nu gebt uykt door den eygenaer

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1826 | | pagina 3