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AFFICHES ANNONCES ET AVIS DIVERS.
Yau wege Zy ne Majesteyt denEoning en Justifie.
oet endroit que je In» blessé «a ventre. Enfinles
Egyptiens, Turcs et autres, furent repoussés et brûlés
en partie avec leurs barques. Ces barbares s'avancè
rent alors pour monter l'assaut, mais ils lurent re
poussés avec une grande perte. Ibrahim voyant aa
proie lui échapper, s'é|«nça la tête de ses soldats
dans l'espoir de les ramener; un grec qui le reconnut
lui tira un coup de fusil, et lui fit une blessure dont il
est mort quelques jours après. Dans co tnomens nos
compatriotes appercurent les troupes commandées par
les braves Fabvief, Gouras, et autres chefs, au nombre
de 8,000 hommes environ. Les Turcs épouvantés pri
rent, la fuite. Ils furent culbutés par les assiégés et
Isissèrent Mehemet-Pacha entre les mains de Gouras,
les autres se réfugièrent Lapante et où ils purent
5oo hommes au plus se sauvèrent par mer.
La flotte est entrée dans le port et a repris Vassi-
ladi.
C'est avec douleur que nous publions les faits
qu'on va lire mais (elle est leur gravitételle est leur
certitude incontestable, qu'en les passant sous silence
oous croirions manquer un devoir
Le samedi 8 avril, vers huit heures et demie du soir,
Dehollain surnuméraire appointé des contribu
tions indirectes, se promenant avec sa femme, qui re
levait des couches, fut accosté k l'entrée de la rue de
I Ouest par cinq individus armés chacun d'une canne,
qui lui demandèrent où il allait et ce qu'il faisait JSous
nous premenons, répondit la femme, et le mari, s1*-
dressant aussitôt un de ce» inconnus, lui dit Que
vous importe, et qui éles-vous Celui-ci déclara
qu'il était le coutm ssaire de police., Cela est possible
répliqua M. Déboîtait); mais je ne vous connais pas;
montrez-moi votre écharpe. Aussitôt le com
missaire de police, M. Prunier Quatremère, tire son
écharpe de la poche de sa redingote, la lui présente de
la main droite, et de l'autre main lui donne un soufflet,
eu disant Voilà mon écharpe. Au même instant un
agént de police lui arrache son chapeau, et un au're-
qui était côté du commissaire,lui donne un souiflet
l'exemple de son chef. La femme veut crier àt la
garde .- un des agens la prend par le bras, la serre for
tement, etlui ordonoe de se taire. Le mari veut mon-
trer ses pap'ers le commissaire et ses agens se préci
pitent sur lai en l'injuriant su l'accablant de coups de
Cfnne, de coups de poings et de copps de pjeds.,et en
répétant chaque coup.- Voilà mon écharpe
Enfin, après avoir été jnterrogés sur leurs noms et
leur demeure, M. Dehollain et sa femme sont recon-,
duitsà leur domicile, rue fieFleurus, n.* i3, pardeux,
agens qui, chemin faisant, ue cessent de les injurier et
de maltraiter encore le mari
Celui ci, ayant le corps tout meurtri, fit aussitôt ap
peler un médecin pour soigner et .constater ses blessu
res. Il a gardé le lit pendant dix jours, il s'en faut de
beaucoup que sa guerisan soit endore complète son
braa surtout a été cruellement endommagé par le
premier coup de canne que lui porta le commissaire de
police
M. Dehollain a envoyé sa plainte, avec le certifi.
«aldu médecin, i M. le procureur du.roi, et a rempli
toutes les formalité» exigées pour exercer les poursui
tes. Pleiu de confiance dans les magistrats, il attend
d'eux justice, il j obtipndra,
PAYS-BAS.
Bruxelles 5 mai
La Gazette de Florence du ua avril cite des let
tres de Prévesa du 17, qui portent que cetteplace,
possédant plusieurs hôpitaux militaires pour l'armée
turco-égyplienne, les meilleurs chirp-giens s'étaient
rendus au camp d'Ibrahim pour soigner ce pacha
d une blessure grave qu'il avait reçue, mais k leur ar
rivée il était déjà mort.-La même feuille confirme la
nouvelle de l'approvisionnement de Missolongbi par fa
flotte grecque, sous les ordres de Miaulis. Plusieurs
riches babitans des .Iles Ioniennes ont fourni celte
flotte les munitions de guerre et de bouche dont elle
avait besoin pour cet objet, et heureusement Miaulia
est arrivé au moment où la place éprouvait le plus
grand besoin de vivres.
Bruxelles7 mai.
V- 1
Hier,, vers cinq heures du soir un événement bien
funeste est arrivé dans I' Allée verte- M. Van Bar-;
lem fils du tanneur *y promenait en cabriolet avec
un de ses am>s lorsque tout à-coup le cheval s'tm-
porta. Le premier, ayant y.puju sau'er delà voiture
a eu le malheur de s'embarrasser dans les guides et
été frafoô une assez-grande dalance le cheval été
arrêté la grille; l'au're personne, qui était resté*
dans la voiture, n'a éprouvé aucuo accident. L'infpr-
tuné jaune homme mortellement blessé de sa chute,
a été transporté sur le champ chez M. le chirurgien
De Backer, rue neuve où les secours lui furent pro
digués mais son état ne laissait aucun espoir et nom
apprenons qu'en effet il est mort dans la nuit.
1 -* '---a
reriooping by Gedwongene Onteygcningc
Van een Huis ende erve gestaan ende gelegen
aan de zuij liijle van de groote Markt te Yperen,
geteekent numéro zeven eu twintig, arrondissement
en distrikt Yperen piovintje West - Vlaanderen
paelende van oosten aan het huis ende erve van
"rieter Plankeelwinkeher en baas* metselaar van
westen bel huis ende erve van Kjrel Vergracbl,
van zuiden tan de erve van Henricus Nicat'e
Kaffé Huis bouder, aile te Yperen en van n >or«
den de gioote Markt, du huis zi|nde actuelijk ge-
bruikt door Josephus Boone, koopmaa in boutweik
te Yperen.
Het zelye huit is weltelijk in beslag genomen ge-
vtreest op d'heer Pieter Exaverius RickebusAdvo-
caet, woonende en gehnisvest te Yperen, bij procès
veibaal van den Deurwaarder Leeoutre in daten
zeventienden February duist acht honderd zes en
twintig behoorliik geregistreert te Yperen den «el-
ven dagboek zes en twintig folio honderd zea
en.,'t negentig recto,, neggnve vak door Legrave-
rand die. voor regt ontvangen heefl een guldan eea
cent, verhoogen begrepen.
Het origineel der procès verhaal is geviseert ge-
vreesl deo zelven dag zeventienden february achtien
honderd zes en twintig, door de heeren burgmeester
en schepeneu der stad Yperen in den persoon van
d'hçer H uugbe burgmeester i en door deo heer Ro
land greffier yan den vrederegter des canton Yperen
oosterdeeidie elk een kppio oui vangén hebben en
bat origineel hebben onderteekent.
0 t.- ut i't 1 »f
Deze inbrslagneming is geschied ten verzoeke van
éteur Joseph Baratto Timmeiman, en Lodewyk Lie-
vyo, mitagaders Marie Baratto zijne huisvrouwe,
winkeliersaile woonende en gehuisveit lot Ype-;
r-C\ r a - I 4 fT
Het procès verbaal van io beslagneming heeft oref*
geschreven geweest ten kanloore van bemriog tan
hijpoibekea le Yperen den tvree en tw>n<'gsien fe-