a LE PROPAGATEUR, JOURNAL D'YPRËS, SAMEDI *7 MaiiS«6. PAR AUTORISATION SA MAJESTÉ, ï-s&: LE ÔOt politique» Littéraire, commercial) judiciaire et historique. D'AFFICHES, ANNONCES, AVIS DIVERS) ACTES DU GOtJVERNEMENT; des villes et districts de là pRoviirèfc de wêst-PlàrdRË (occideRtàlË.) TURQUIE. DE OUVERTfKES DES PORTES DE LA VlLLE Du .16 ftuBi Mii 3 17» heure* DHt A PAY^-BAS* EÈRMEUTRES DES PORTES DE LA VlLfcft Du 16 au 3t Mai t 9 heure». 1 •N - V" ,4 V 1 Le pria de»abonuemeats est de 18 franc» p»r année, franc» |o cent, pour mois, 5 frand» pont 3 ment ne se paiera qu'a l'échéance mai» lea personnes qui désiréraiedt. le Solder d'avance,, obtiendront cent. On s'abonne che» l'éditeur, et tous les bureaux de» postes snx lettres du royaume. mois L'abonne» nue remise de in paq P HÉ MÈ ni DÈS. Le a5 Mai 1730, un tiavire marchand arrivé Je Si don Alarseilleapporte la peste dans cette videC était pour la vingtième Jois depuis sa fon dât in que la ville de Marseille était affligée de ce terriàle Jléaudont les ravages seraient étendus dans toute la France, si ton n'avait éthbli des cordons de troupes sur les frontières dit Dauphiné et dit Lan guedoc Henri <fe Bclzunce évéque de Marseille, donna dans cette circonstance l 'exemple.du dévoil aient le plus héroïque' Le 26 Mai i4»9> la Pucelle d'Orléans et le càm- te de Danois défirentPalai en Beauéc une grande partie de l'armée du duc de Bedfortaprès l'avoir forcé de lever le siège d Orléans- Le célèbre 'faibetcapitaine anglaisy fut fait prisonnier et la Pucelle déposa aux pieds du Bol Charles V11 cent dix étendards pris sur t ennemi./548 Henri II, Roi de Francè fut le premier qui prit le titre de Majesté. Auparavant on qualifiait les Souverains d Excellence ou de Monsieur Roi. Le 27 Mai /564 1 mort du célèbre réformateur Calvin, né Nuyon én 150g. itiio, supplice de Ravaillac assassin de Henri IF. Il fut écartelê sur lu place de Grève avec toutes les horreurs dont On accompagne le supplice des régicideset qui fi rent dire Damiens quand oh lui lui son arrêt, que ta journée aérait forte. Le 28 Mat 170 i, mort du maréchal de Tourvitle.' Anne Htlarion - Constantin de Totirvilletun dé tios plus grands marinsse distingua d'abordétant chevalier de Maltepar ses exploits et sa bravoure Contre les Turcs et les Barbaresques j il tirma en course avec le chevalier d'RocquincoUrt et firent en semble des prises considérables sur les corsaires dè Barbarie. Avec un seul vaisseauils mirent en fuite kix havires d Alger, et une quantité considérable dè galères très.bien arméess Conslantmople29 àvrit. Le broit se répand que /a Porte èrl dispoiéé l U paix et que le reU-efteodi se rendra, en qualité ckë commissaire extraordinairesur ta frontière russe afin d'y entamer tes négociation» proposée par l'utuaUa> totn du cabinet de Pétersbourg cependant il ne pa rait pai qu'ii y ait eoftore été pris de déterminatiork lormellë cet égard. Eu attendant, Popinîbn pubHqdé est qdè la rëponîi de la Porta l'ultimatum sera satisfaisante, tnaii mal gfé cet espoir, une partie des négocions -, qui «JUt scus la protection rossé, s'apprêtent partirsuivant l'invitation de M. dé Minciaky» Lë capitaine autrichien comte de Winpten est irrité hier ici, avec des dépêches de Vienne. L'inter- nonce M; Oltenfels, a eu ensuite une ifingue couft* reace avec lë reis elfendi Saîda V. Francfort ITALIE Èomè 3 mal. Lettre apostolique de S. S. Léon XIÏ qfit condamne leà sociétés secrètes. - Suite. Soyez notre dernier nnméroi. Cette bollé a donc pcitlr bdt de condamnerai de détruire toutes les sectes odieuses et criminelles. Main* tenant Vénérablés frères catholiques patriarches i primats archevêques èt évêques nous demandons ou plutôt, nous implorons votre seconrsdonnes tout vos soins an troupeau que le Saint-Esprit vous vcon fié en vous nommant évêqueS de'son église» Des loUpi dévorans se précipiterbnt sur vous et n'épargneront pSS vos brebis. Soyez sans Crainte et ne vous occupe» pat de ce qui vous est personnel. Soyez convaincus quë le salut des hommes confiés vos soins religieux dé pend surtout de vont, et soyez persévérantcar quoi que nous vivibOS dans le teros pénibles et que le stiri- te doctrine ne soit pat détendue pat tous les hommeèj cependant la plupart des fidèles regardent leur a pas*1 teuri cbfflmë loi ministres de C> tilël diipeniaieart

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Le Propagateur (1818-1871) | 1826 | | pagina 1