m tirer la victime dans le piègeen lai en promettant les dépouilles. Il réussit son gré. Le asalhenrejix pacha accompagné de sou 61ss'étant rendu a la tente de l'amiral, sur l'invitation qu'il en avait re- çue, on fit tomber la conversation sur la perfection des armes (eu des manufacture anglaise, et là-des a sus comme pour les faire voir son hôte le capiian se fit appoiter deux pistolets superbes, fabriqués Londres, dont l'un était chargé et l'autre pas. Celui- ci fut préseoté au pacha qui en admirait le travail et la beauté lorsque le iarouche amiralarmé de c l'autre le déchargea bout portant sur la victime qui tomba grièvement blessée, son fils dénaturé l'acheva. Cet exécrable paricide valut i Moh atnmed-Yous. e souf lé grade de kiaya bey ou vice amiral et la tête sanglante de celui qui avait accueilli sa jeunesse (ut a envoyée Constantinople chargée de l'ignominie d'une deisite qu'un autre avait essuyée. Ce (ut dit-on peu d'années après l'accomplissement de ce crimeque Ja protection du capitan-pacha et des^intriguesde sérail portèrent Mobammed-Yousouf au poste eminenl de vice-roi d'Egypte. Tel est l'homme qui est considère par l'Europe com me l'allié de la France,- tel est l'homme pour lequel M. da Villèlea fait une profession publique de sym pathie et de bienveillance/ Depuis lo.ig-tempsles amis de l'humanité avaient élevé leurs voit contre l'usage d'ensevelir et d'inhumer les morts de suite après le lë-è-.; leurs ei forts n'ont point été infructueux et dans les villes on laisse maintenant entre le décès et l'inhumation un temps suffisant pour acquérir la certitude de la mort t mais il n'en est pas toujours ainsi dans les campagnes. La commune de Sont Ci-uns-Laval retentit en ce mo ment du bruit qu'a lait un événement très-singulier, line jeune femme était sur le point d'accoucher ou fait venir de Lyon le doctem Monutn; mais avant sou arrivéela jeune femme était morte et avait été ense velie précipitamment par les femmes qui la aervaient. La docteur Montain voulot visiter te corps; il y trouva aa reste de chaleur mais tous ses efforts pour rap peler cette femme la vie furent vains, il pensa qu'an moins il pouvait sauver le Irait qu'elle portait dans sou aeirt. L'accouchement qu'il pratiqua de suite eut le plus heureux succès, et un enfant vit le jour qu'il était condamnés perdre avaolsa naissance» M"* la Dauphioe est arrivée k Bourges la >4, 5 heures et demie du soir. La princesse employé le reste de la sonée visiter plusieurs établissement notamment l'hôpital général où elle a laissé des mar ques de sa munificence. Dix individus, condamnés correctionnellement pour délits qui avaient peu de gravité, ont été mis provisoi rement en liberté d'ap-ès les ordres de M** la Dau- phine qui se propose de solliciter de la clémence royala la remise du reste des peines prononcées contra eux. S. A. R. a donné tooo francs pour être distribué au pauvres. Un assassinat horribla dont la causa doit être attribuée cette ignorante superstition qui malheureu sement n'existe encore que trop dans nos campagaes vient d'avoir lieu près de la commuée de Crépi a trois lieues de Valenciennes. Le nommé François Dorchain âgé de 19 ans, natif de Crepin était atteintdepuis quelque lempa, d'une indisposition qui avait résisté aux remèdes bien ou mat appliqués qu'il avait pris. Pour sa guérir il consulta dit-on un berger on sait que les paysans peu éclairés accordent aux gens de cette profession nne espèce de science occulte, qui les rend comme les ora cles de la contrée» Il parait qu'on persuada François Dorchain que sa maladie provenait d'an sort jeté sur lui par quelqa'esprit malfaisant, et qu'il ne serais pas guéri tant que vivrait la femme Rose Roland, de Q.iié- vraio.. Suivant les présomptions dès ce moment le psrti dé Dorchain aurait été pris il guettait la préten due sorcière et la trouvant cet jours Merniers pui sant do l'eau au bord du Iloniau il lui aurait enfea-' cé un couteau dans la gorgeaprès quoi il l auraii précipité dans In rivière, d'où elle a été retirée sans vie. François Dorchain est déposé dans la maison d arrêt de Valenciennts. La nouvelle de l'abdication de l'empereur da Brésil la couronne de Portugal en faveor de sa fi'le, dont Maria da Ciloria est annoncée par le Moniteur* Cette princesse n'a que 7 ans. Qui sera régent pen dant sa minorité Sera ce toujours la princesse Isa- belle f soeur du roi, PAYS-BAS. Bruxellesaa jwn. L. M. le roi et.la reine accompagnés de la prin cesse Msrianc ont quitté avant-hier malin la résidence de La Uaye pour se rendre au chateau de Loo. L. A. R le prince et la princesse Frédéric sont petites vers le midi pour Amsterdam, d'où elles se ren dront également au Loo,. Un courrier du cabinet hritanique a passé hier après midi parcelle ville venant de Constantinople, ac allant Loudres avec des dépêchés pour son gou vernement. Hier 3 heures et demie après-midi une éenria a été tousuuice par le feu on ignore la cause de «se accident. Yprêtan juin. Lecultivatpnr de Thourout qui a expiré sous les pi qûres d'un essiiim d'abeilles était un hommé déjà en âge nommé J. B. Hilleware» Une lettre de Licfucvelde du 17 de ce mois raconte les détails et L cause de ce malheur le moment où cet homme poursuivit son essaim était l'heure où le soleil darde *sea plus ar iens rayons, circonstance qui a pu augmen ter le danger de la poursuite. Enfin voyant ses abeil le*' pendantes une branche de frêne il ieor présen te la ruche. Mais malheureusement L reine v>eot se placer sur sa figure; J'instani une multitude de mou ches suivent et entourent leur souveraine et l'infor tuné tombe accablé sous cette violente irruption. Au bout d'un quart d'heure il avait perdu la vie. Une per sonne qui se trouvait avec lui pour i aider dans cette opération l'a abandonné. 1- - u La AFFICHES ANNONCES ET AVIS DIVERS SCHOONE FAMILLIE GOEDhREN, Ttioopen binnr.n Ypeton. Eersten Itoop. 1-68 91 ellen bosch, met bat htk boui plantsoenen en boornen daar op staande, ge- legen op Langhemarck in de yytjngaard Bosscheu" palende ooal de Brockstraat. Tweeden koop een behuisd en beplant bofste- deken groot t-3fo3 ellen, gelegen in den west- houk van Zonnebeke weinig xui J van de calcbiedo gebruikt dôor Joseph Vandevoorde. Derdcn koop. eene rente ven -v4 s7 guUen* 5o cents kipttaal ten laste van Pieter Jacobus Vannota, brouwer en herbergier woneitde te Staden. aaa dpn iotrest van 5 p°/, bij jare, bexst als eerste rente op een buis broowerij en berberg gencamd St. Jan, en op den nomber van 0-49 63 eîïso lanit waar op aile de xelve edificien stesnde ziju gétc- geo op het gezeide Staden bij htl kerk-hof* Vierdep koop. Ecoe andere rente van 47* R°'~ dens So cents kspiiatil 00k «an den iotrrst van 5

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1826 | | pagina 3