hwisk. corxbspobdxhce dd belge, M. l'avoest-général signala diverses conséquences d'un système qu'il qualifie de dèsorepinisateurAvec ces excuses les plus grands criminels échapperaient au chà imenti Le miuistè e public combat enfin la consultation d'un médecin erUiree M. le docteur Marc), en laissant ob server que ce docteur n'a pu raisonner qus sur les di' tes de la famille qui ne peuvent dire qu'un obyet de dou'e et de défiance pour les magistrats' MM. Fournier et Gautier Btauail défenseurs de l'accusee se sont attaches prouver qu'un crime de cette nature qui n'était provoqué par aucun intérêt par aucune passion ne pouvait être que le produit de la monomsuie ils ont oile de nombreux exemples de Celte cruelle maladie et montre l'analogue qui existe entre ces laits et la conduite de la fille Cornier qui ne pouvait pas y avoir de meurtre sans volonté de le com mettre, et que, dans la cause, il n'y avait pas eu vo lonté* Une seule question est soumise MM les jurés.-celle d'homicide volontaire, •- ennuis avec préméditation Après trois quarts d'heuie de délibération, M M les yures ont répondu atfi< mativement, mais en déclarant que le meurite avait ete commis sans prémédita.ion. En r orisequei ce, l accusee a ete condamne la peine des travaux lorcesa perpétuité, /exposition et la flétrissure- E le a entendu cet arrêt sans manifester la moindre émotion- Pays bas. Epies, 39 fuin. L'école flamande s'est distingué de tout temps. A aucune epoquepeu. ê>ie, n'a t-elle donne les espé rances que nous voyoos se réaliser de |our en jour. Nos grands peintres, nos grands artistes ont atteint le grandiose des Zeuxis et des Aprlles Partout une noble rivalité, de généreux, et pat-touques encourage ments simulentelectriserit la jeunesse. G est ce dont nous venons de voir de nos propres yeux, uo cela tant exemple. La distribution solennelle des prix aux élèves de notre académie de desun et l'exposition publique des pioduil* de ces jeunes concurrents ont toul-à-la foissatisfait le vrai ci'oyen et l'amileur éclairé. M M. les bourgmestre et echevins, les oifiders supérii uis de la garnison, les proiecteuis et directeurs de l'acarleuue, se sont empresses de couronner Je leurs mains, les triomphateurs, qu'ils ont après, dt-fi lant en torièga victotial reconduit en traversant la ville dans des voilures ju.que= leur demeur-, la mare chaussée ouvrait la mer cire. Les fanfares d'une super be musique guerrière ceile de la lb.ine divis'On) le son du carillon l'eu.bousiasme qui animait toute la ville, n'ont pas pt u contribue rendre la fête dutriom phe des beaux arts digne de son objet. Il nous reste proclamer les noms des vainqueurs, la tête desquels figure dignement M. t. Buhm.{ 1 dont les talents reels ent ourages comme ils le merueni, ne sauraient man quer de briller un jour d une m mère a honorer la ville. Composition Waprès Nature. Fiauçois Bohm. D'après le modèle. 1. Bruno Buseyne a. Jncques Boucquart. A la Bosse. 1. Paul Becuwe. a. Charles Dewageuaere. Figure première classe. 1. Louis Stgard. a. Louis Dewaele. 1) Il a ob enu le pieœier Prix d'après le Modèle le 39 Juin i8j4* Deuxième classe. 1. Edouard Bouigois. t. Henry Buseyne.' Troizième classe. 1. Charles Pillaert. a. Amand Vergracht. Quatrième classe. Arnaud Llegrou. Architecture composition. I. Basil Fattberl. a. Pierre Wydooghe. Deuzième classe. 1. Louis Van levy ver. 3. Félix Delmaere.' Treizième classe. I. Louis Vdiidenbroere. 2. Fidel Lejeune. Quatrième classe. Honoré Liebacrt. Noos avons, en dern ère anal >se, remarqué, aveo un vif plaisir, que parmi tes tableaux el les dessins exposes U Halle, qu en est qui dénotent les germes des plus heureuses dispositions. Le» beaux arts ont été dignement fêtés, le 39 l'occusiou de U distnbution solennelle des prix aux élève» de noire académie de dessin. L s différons quar. tiers de la ville ou demeureo' des elèvés couronnes, étaient illumines avec beaucoup de gout. L'illumina tion lù'. eu générale brillante. I Un événement malheureux a eu lieu Dtiokerqae, le 1 5 de ce moi Les élèves de l'tiospice, sous L con- dui e d un maitre étaient allés 'a mer poui s'v baigner déjà la plu» grande parue des enl.ns étaient sons de l'eau, lorsqu'on appe'Çul que quelquea-uns manquaient ou a en informa, et l'on s'aperçut que cinq su six d'en tre eux eiaieut tombes dans un bas fond que les uns ne p> uvaient s'en retirer qu'> vc de grandes peines et que les autres disparaissaieu Aussitôt les plus gran 1s enlans se précipitèrent au secours de ceux de leur ca marades qui luttaient contre les vsgues et ils parv.n- reut en 1 amener plus.eurs au rivage. APOLOGUE. Une maison brulati; le feu allait gagner les greniers et les granges qui contenaient toute la richesse tout l'espoir du cuitivaieur et de sa famille un homme un seul homme mauquaii pour faire jouer la pompe qui pouvait maîiri,ei l'incendie. Un individu suive, c'eiait problemeot un ivrogue e U" ivrogne d'une étrange espè.:e. il demande 'e piopii taire du bànment que ies llammes devorent c'est moi repond avec l'accent du désespoir un vieillard en desordre c'est bien certainement vous qu'appartient cette forrnn llelas Oui en ce cas permettez moi d'allumer ma pipe voire (ru. Il dit s'empare du Tisou, alurne sont tabac el passe son chemin. La maison que l'encendie consume, c'est la Gièce I' a ivtdu c'estC'est au lecteur qu'on laisse le soin ne trouver la fin de l'é pilogue il ne sera poiut emha.r iSS» Extrait dune lettre de .Marseille du 1 y juin 1836. Il est parti d'ici, ce matin un bànmenC la duchesse d A ngoutème pour la Grèce et la i ur- quie. Il a boni des Philbellènes et des munitions pour les Grecs. A pi ès les avoir débarqués Napoli» il se rendra a Salonique ville qui est au pouvoir des Turcs i il y débarquera des hommes de c< lie canon et des munitions qui leur sont destinées. Le fait est in croyable. me direz-vous rien u'est cependant p us Vrai. Lebâ iment sur lequel nous nous embarquons, s ap. pelle la j ewie E milite. 11 aura a bord des hommes

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Le Propagateur (1818-1871) | 1826 | | pagina 3