ANNONCES. 1 allemand Mayzeder, le fit entrer dans la composition d'un de ses rondeaux. MShtessinger éditeur de musique, ayant publié ce rondeau, M. Paccini t'a at taque en contrefaçon d'un air dont il était propriétaire. M. Shlessinger a soutenu que l'air n'était pas de la composition du sieur Musard, qu'il était connu depuis fort longtemps en Allemagne. Pour le prouver il a produit une valse allemande imprimée en 1810. Berlin, dont le thème est indeotiqoement le même que l'air de contredanse C'est f amour, amourl'amour etc. Nous ferons connaître le jugement. Dans son audience du 10 août, la cour de cassation, section criminelle a jugé sur la plaidoirie de M* Gar- nier, que la monnaie d'Italie l'effigie de Napoléon a cours légal en France en conséquence elle a rejeté le pourvoi du nommé Fourgeot, condamné la peine capitale pour fabrication de celle monnoie. (O Lettre de M' Eyruird au comité de Paru. Genève 3 août Je vous ai écrit le 26 juilleten vous donnaol di vers détails reçus de Cotfou Aujourd'hui jai reçu plusieurs lettres de Zante, du second agent que jai expédié M. Papaioanoli le 20 juin il est arrivé dans celte île avec quatre bâtimens chargés de subsi stances. Le ai le vaisseau amiral anglais était arrivé, ayant son bord le duc de Richelieu le comte de La- bordeet ses compagnons de voyage les amiraux au trichiens et français s'attendaient d'un moment l'autre J'ai reçu une autre lettre en voici quelques mots .- Zante a5 juin. Hier l'amiral anglais a remis une épée au jeune Botzaris enfant de dix. ans Le Comte Laborde loi donna trois livres français et grecs. Ce matin j'ai été voir Mm* Botzaris et embrasser son fils ce digne re jeton d'un héros. Elle est logée ches le comte Roma. Elle vit au milieu des restes des familes de Missolonghi. Elle me dit, en fondant en larmes «Dix-huit cents hommes se sont sauvés ainsi que quelques femmes et eofans mais I quoi leur sert de s'être soustraits au 1er, s'ils doivent périr de faim et de misère Je loi dis que toute l'Europe s'intéressait leur sortet leur enverrait des secours. Nous étions dis mille' répon dit-elle en pleurant deux mille sont sauvés mats le reste est prisonnier ou meurt de faim k Calamos et icidit elle en montrant la Morée il y a d'autres lies où des milliersde personnes meurent de maladie ,saos que l'on pense eux Elle se jeta alora dans les bras de son fils et des ses filles, et sanglo'.la plusieurs heures avec une espèce de convulsion et de désespoir. J'ai vu M"" Bacchini la femme de celui qui est mort Missolonghi après des prodiges de valeur el le est dans une misère profonde elle loge avec ses fils et sa fille dans une espèce de galetas.- ses enfans annon cent sur leur figure toates les souffrances de la faim. Je n'ai pu m'empècher de fondre en larmes en voyant la déchirante position de la veuve d'un homme qui avait tant illustré sa patrie. Je vous en priemonsieur venez son secours. La misère des gens de Calamos est sans exemple il «n meurt vingt trente par jour. J'ai d'affreuses nouvelles donner M. Balby de Livouroe. Son père et ses frères ont été ensevelis sous les ruines de Missolonghi, avec l'évêque Ragon; sa belle soeur et ses deux filles sont dans les réfugies de Calamos j set deux tantes sont prisonnières Arta «te. Je ne doute pas mes chers collègues que vous ne destiniez de nouveaux secours pour soulager tant de malheurs. J'ai aussitôt écrit qu'on donnât un secours provisoire de mille francs a madame Botzaris et un secours de mille francs k madame Bacchini. Je crois que le comité de Paris devrait également faire passer des fonds k Calamos et, sans attendre vo're réponse je vais donner des ordres de pareilles souffrances ne per- mettent pas de relard, et vous savez que j« sois tou jours responsable de tout ce que j'envoie. Agrées, etc. J.-G. Etraxd. Becquaert-Walweinby de Torre-poortete Yperen laat wéten, dat tyn Peird te koopeu is. En vente chez W. - J. LUNEM AN libraireplace de la Monnaie- Woordenboek van Nederlandsche gelijklnidende en klankverwante vvoorden homonymes J, met de beteekenis in het franscb dooe G. Lauis. ln-ta*, cartonné fl. 1 Le même in-ta broché 90 cents. Le même in-8°papier vélin cartonné, fl 1 5o Rudimeota ou Principes de la langue hollandaise ouvrage publié par la société Tut Aut van 't alte rnée ri traduit en français par M.-J.-B.-L.G. in sa fl. 07» Sous presse pour paraître incessamment Syntaxe de la langue hollandaise ouvrsge publié par ladite Société traduit eu français par MJ.- B.-L. G. Recueil de thèmes gradoés dans l'ordre des reglee grammaticales expliquées dans le Rudimentsainsi que dans le syntatis. Woordenboek voor de spelling der Nederlandsche taal door G. Lauts. MARKT TE YPEREN. STAAT vam rerkogte Grarntndrooge Peulvrugten, PU*tek, en andere F.etwartn ter Merkt de mer Siedgedure de tweeds Week der wteand t«|iutiii i8ï6. AAR DER Graoen, PeaWragtaa Bcood en Vleetch. Ttlkog p. maddr w »ren. p. poid. middel- haers pri|« p«r nadds. •t. es, Koren 346 6 33 Rogg 46 4 20 Zwart koren Drooge peulvrugten 34 4 63 Aardappelen e e Hiver 168 a 73 Hooi per 100 pond. Stroo per id. Verscbe boter Gexouten boter a Ojsenvleesch a Koegenvleesch. a Kalvervleesch a Schapenvleesch. a Varkenvleesch. a Brood a roode svitte, a 7* 34 34 34 34 H 10 Marché de Poperinghedu 11 août. Froment, fl 6 44 Seigle. fl 4 5o Avoine fl a Houblon Us cinquante kilogrammes, 3t-i8 k 36-37 Improtsnc R. GAMBART-MORTIER Libraire tue de Boesiogue N*. 14 près U Petite Place.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1826 | | pagina 4