LE PROPAGATEUR, JOURNAL D'YPRES, r- SAMEDI î3 Septembre, »8a6. PAR AUTORISATION x SA MAJESTÉ. LE ROI PAYS-BAS POLITIQUE, LITTÉRAIRE, COMMERCIAL, JUDICIAIRE ET HISTORIQUE. D'AFFICHES, ANNONCES, AVIS DIVERS, ACTES DU GOUVERNEMENT; ANGLETERRE. FRANCE. DE «DVERTURFS DES PORTES DE LA VILLE Du l au iS septembre 5 heures t© w, >TT >Sfcl:5. h/* DES FERMEUTrtES DES PORTES DE LA VILLE Du i au i5 septembre 8 heures. DES VILLES ET DISTRICTS DE LA PROVINCE DE VVfeST-FLANDRE (OCCIDENTALE.) Le pris «les abonnements est ds i8francs*p«r tooée, g francs 5o cent, pour 6 mois, 5 francs pour 3 mois. L'abnuoe meut ne te imteia qu'a l'échéance. Ou s'abonne chea l'éditeur, et a tous lea buranx des postes sux lettres du royaume. Le prix des inwtlious dans re Journa', est de i5 centimes psr lignes et celles en dessous de - ligues, se payent i franc. ÈP HÉ M RI DES. Le 16 Septembre i8i3, combat de Péterrwalde en Saxe. L'ennemi, occupant h.» hauteurs de cette pille fut attaqué vers mtdt par les troupes françai ses deh >gé de position et forcé de rentrer en Bo hème, Parmi Ici prisonniers qu'on lai fit dans cette journée se trouve le colonel Blueher, fils du géné ral en chef, prussien qui commandait alors tarmée de Silène il fut enveloppé et pris par les lanciers polonaiss Le i •j Septembre 13 ta mort de Ferdinand IF Bot de Castdle et de LéonOn appelle ce Ferdi nand IF Ferdinand /ajourné parce que dans un accès de colère fitdit-on, jeler du haut o*u/i rocher deux seigneurs qui avant d être précipités i ajournèrent comparaître devant Dieu dans trente jours et qu'il m.urut au bout de ce terme. Il serait désirer que ce conte fut véritable ou du moins cru tel par ceux qui pensent pouvoir faire tout ce qui est injuste impunément. Le 18 Septembre an 96assassinat de TEmpe reur Donatien successeur de Tite son frère qu'on accusa etavoir fait empoisonneret la conduite du nouvel Empereur ne confirma que trop ce soupçon. Les familles les plus distinguées de Borne furent les victimes de tes jurcUrs sanguinaires ou de son in- Jàtne lubricité. Malgré la garde nombreuse dont il s'environnait, deux courageux citoyens, Parthenius et Etiennevinrent bout de délivrer Iempire de ce monstre Le 19 Septembre i3b6 bataille de Poitiers. Le Bo* Jeanaverti que Char te s-le-Mauvais, Foi de A avarre entretenait des intelligences avec les An glais contre In fronce le fit arrêter Bouen ou il Lavait attiré par adresse. L emprisonne ment du Bol de Favarre amena une guerre cruelle oit Jean ayant attaqué huit/trille Anglais avec quatre vingt mille hommesfut vaincu et fait prisonnier avec un de set fils. La détention de ce Boi fut dans Paris h signal dune guerre civile. Londers-, i5 septembre On vient d'atteler Londres un homme qui a cinq femmes vivantes. Il faisait des propositions ds tnariage une sixième femme au moment mêtae où il a ete arrêté par lu police. La spéculation de Vigo a échoué. Le bâtiment qui portail l'appareil h plonger est de retour. Tous les vaisseaux coules bis ont été examinés et on n'a point trouvé d'espèces. Les seuls objets qu'ait retirés la compagnie dirent des échantillons cuiteux des ef- tels produits par l'eau salée sur ferle cuivrele bois, la vaisselleetc. Les Persans qui résident Constantinople at tendent un courrier qui doit apporter des nouvelles des frontières de la Géorgie. Le roi de Perse est ar rivé au camp d'Oudjao au mois de juin dernier, tandis que S. A. le prince Abbas-Mirza s'est avancé aveu ses troupes sur Naklchivan et le gouverneur d'Erivait sur les frontières des deux empires. S'il faut ajouter foi ce que disent les Persaas de Constaolinople les Anglais ne sont pas étranger la résolution de la Pérso de réclamer encore une fois les armes la main lea provinces de Dagbislan du Cbirwan etc. qui ap partenaient jadis la couroone des sophis et dont las Russes te sout successivement emparés depuis quaraato sasGlobe and Traveller.) Péris 17 septembre. Avant-hier vers les huit heures du soir une jeune personne passaut dans la rue de la Bûcherie fut accostée par ou individu qui la supplia d'accepter son braset de lui peitneure de la reconduire chez elle» Cette jeune tille refuse avec obstinationL'inconnu s'éloigne de quelques pat. Se précipite sur elle la f ràppo de huit coups de poignard et s'enfuit. Cet te malheu reuse a succombé au bout de quelques minutes, (.eue fille vivait depuis plusieurs mois avec un nommé Adol phe Sureau perruquier, ét-hli rue de Cbafenton et ayant une c hatnbrerue dis Deux-Ponts. La police a'etl transportée dans celle deruteie maison et a lait pto-

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Le Propagateur (1818-1871) | 1826 | | pagina 1