céder l'onverlnre de la chambre! du nommé Sureau qui a élé trouve en partje asphyxié par la vapeur d'un tas lie charbon qu'il avait allumé elle l'a fait trans porter immédiatement I Hôtel-Dieu pour y recevoir des secours. Il a avoué du ou avoir irappé cette fille. M. Csnning doit dit on dVner demain chet M. le ministre des affaires étrangères. Le Phare, du t5 de ce mois, donne comme -certain la nouvelle suivante h Désormais le pavillon mixicrin sera admis dar« les poils français comme celui de toute nation amie cette déposition qui doit être officiellement notifiée aux chefs de iharundrs arronùissemens maritimes du foyaume résulté de la nouvelle r^çue au ministère de l'installation Mixico de l'agent supérieur chargé' de veider aux intérêts de notre commerce dans cette partie du nouveau monde. Des Bgens, investis des mêmes pouvoirs qui ont été conférés M. Martin, vont être ou sout même déjà envoyés dans chacun des nouveaux états de l'aaiéit. que du sud et aussi-ôt qu'il sera conno officiellement que ces agens sont entrés en fonctions, les pavillons des nations qui les auront reconnus seront admis aux- mêmcs prérogatives et droits dont va jouir le commer ce du Mexique. Nous apprenons par voie extraordinaire, de Londresque M. Bocafuerte charge d'affaires du Mexique, a annonce qu'il venait de transférer l'agence de la republique la maison Baring qui paiera l'ave nir tous les dividendes., Le paiement do prochain di vidende est annoncé pour le I octobre. En conséquente les cffeis mexicains ont subi one h u.-sc considérable ils sont montes de 5t> i/x 61 îja. Les dernières nouvelles n çnes du duc de Cls-r rente qui est en Allemagne sont il'une nature aliar- ni nie. Les lettres de la duchés.» son épouse donnent des inquiétudes sérieuses sur la santé du prince. AFFAMES DE LA GRECE. M. Evrard a adressé la lettre suivante au comité grec de Paris Gèneve 8 Septembre. L'état continuel de souffrantes dans leqaei m a pla cé mon ért sipèle la tête m'a empêtbe jusqu jj jour de m'occuper autant que j aurais voulu des affai res de la Grèce. Je profite des premiers momens de ma convalescence pour vous envoyer un iperçu d<-» dernières lettres de mon agent en Grèce, M, Petnoi. Le t) juilletil nrecrivit de Cerigo, où il venait d'artiwr non sans s'estimer fou heureux de s'être trouvé sous convoi. I1. avait rencontré une flotille-tur- que composée de sept voiles qui occupait les prra- go; de Mcidon CoronMains et Navarin. En passant devant cette dernière place il remarqua ta bâitmrns ennemis ancrés dans le port. Arrivé dans les eaux de Maïna il entendit une lorle canonnade qui dura une grande partie du jônr. On disait que les troupes d'I brahim ayant trouvé désert le psys aux environs de M-ïna brûlaient tous les villages qu'alors les Mai- notes, s'étaient jetés en furieux sur les Turcs qui surpris de celte attaque avaient été contraints de se retirer après avoir perdu beaucoup de monde. Voici d'ailleurs comme M. Petrini s'exprime sor l'état de défense de l'Atlique. Le colonel Fabvier est avec son corps de troupes réglées aux environs d'ilydra. De sa position il pent riptiitmenl se porter sur tous les points sltaqoés. La floue grecque mouille dans les eaux d Hydra. l'or te de i5t> voiles y compris $o brûlots, elle tient en res pect la iloiteluiqueel L'importance de sa position le in pêche d'aller dissiper la pente escadre qui agit contre JVlatni. M. Petrini entre ensuite Jans de longs détails sor les difficultés qti il a éprouvées et qu'il éprouve encore pour gagner Napoli. Les capitaines craignent les Turcs les pirates et le typhus. Cependant il espère partir le 9 et si le vent est bon il ne mettra que 35 heures pour se rendre sa destination. Il a trouvé Cerigo M. Gondon colonel anglais dévoué la cause grec que. D après ses conseils il s'est décidé mettre sous son propre nom les trois cargaisons qu'il était chargé de conduire au gouvernement grec c'estdit il le meilleur moyen de se reserver le temps nécessaire pour s entendre sur la, minière la plus convenable d'em ployer ces subsistant' a et d'éviterque le peuple de N»poli ne se croie le uioit de les regarder comma de vant servir pour lui seulet ne gêne ainsi l'aciton du gouvernement. M. Petrini a ajouté sa lettre le post scriplum sui vant en date du tx juillet J'arrive par terre Cerigo, vêtant du port Saint- Nicolas où oous avons été contraints de relâcher hier midiaprès avoir échappé au danger le plus immi nent. En quittant Cerigo nous voguions sans inquié tude croyant toute la flotte turque Constantioople qOand l'aube du jour nous la reconnûmes forte de 3a voiles. Nous ne pûmes'cingler vers la terre avant d'être aperçus. Bieotôt nous fûmes poursuivis. J'étais dans la plus graode perplexité déjà j'avais fuit un pa quet de mes nombreuses dépêches l'extrémité des quelles était suspendu uo boulet; eofin tout était dis posé pour le jeter la ruer si j'eusse été pris maif soit que le vsisseau qui donnait la chaste désespérât de oous atteindre soit qu'il respectât la convention qui ne permet aucun navire turc de visiter les bâti ment qui te trouvent to milles des parages anglais, il quitta la partie et oous pûmes gagner le port baint- Nicolas. M Petrini m'écrivit nne lettre le 15; il était an port St- Nicolas et se disposaità partir quand il reçuqune invita tion pressante de se rendre Cerigo. Il ylrouva trois es prés di Cotoco roni. Ce général était dans une manqua ab'olu de subsistances M. Petrini lui en fil psrvenir aussitôt. Colocotroni lui écrivit trois lettres qu'il m'a envoyées dans la tienne, ainsi que quelques lettres des chef grecs II conclut ainsi Il est quatre heures du matin. Quoiqu'il puisas arriver-, je veux remettre moi-même vos dépêches. Les deux vaisseaux faisant déjà voile pour Napolija ine jette dans une barque. Les premières voiles de la flutie grecque paraissent au loto j elles quittent le golfe, l'espère voir Miautiset lui remettre moi même voira lettre,» Ainsi que MPetrini me l'annonceje trouve in clues différantes lettres de Colocotroni et des chefs de l'armee du Pelopanése. Voici commeot Coloco troni s'exprime dans l'une de ses lettres .- L'ennemiaprès avoir brûlé quelques maisons a voulu pénétrer jusqu'à Arimros Ibrahim eu personne dirigeait l'attaque mille Spartiates braves comma leurs ancêtres s'avancèrent contre lui mirent ses troupes en déroute, et le forcèrent h te jeter dans l'eau, où les femmes mêmes des vainqueurs firent uo grand nombre de prisonniers; peine put-il t échapper avec quelques centaines d hommes. H s'est retire au-delà du fleuve Calamala où il reste dans l'inaction. Met soldats, la tê:e couronnée des lauries de la victoire meurent de fàïfi cependant ils restent fidèles mais si un pareil étal de ebosv dure il ne pourrontainsi que moi remplir leur devoir Sucré envers la patrie. Dans la lettre des chef moréo'es te trouve une au tre lettre de Colocotronir.û il dit. .lésait que M. Ejnard vous a envoyé avec dif férentes cargaisons des subsistances pour 1rs Grecs.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1826 | | pagina 2