J«pltWssfl/felsttft. tlfdta'tfifflMUgl d*otie îtuiitfre
brilianie et sans oJéur, celui de oe pas diminuer la
consoiumaiiun de cet oléagineux.
Le r" de ce mô'i# tin garçon do calé du Com-
nté'rcè Bordeaux s'appércevani qu'à' là lumière
fléchissait dans tes salles éclat rées par le gai. descen
dit imprtidemmeni dans la cave avec une lumière qui
enflamma là matière échappée du giz<> métré. Cr jeune
homme ne perdit pas courage éi maigre le daoger de
*a position, il s'elaoça sur le robinet qu'il laissait aller.
Il préserva peut être ce bel étàftlrs«emén: tfuti tmmi
notai danger mais quand il revient au rét de-ch'ànsîPe
lé feit avait pria ses vètêmens il i'àait lés mains et
lé Visage biûlés il fallut recourir aux moyens le plus
orempts j en l'inondant pour faire céder te» souf
frances et toua (ea secours da l'art lut ont ete députa
prodigues.
On a retrouvé récemment dans on couvent
d'hiéronimites du mont Liban, un manuscrit conienanl
l'htslo:re nniverrelie d Oiose de Tariagooe avec des
■oies de la main de Saint Augustin. Cette pieCieuse
découverte a été adr le-champ adressée Hofoe.
foliaire apologiste de la religion chrétienne.
Ce livre est un recueil de châtions qui jfusiîfiènt son
titfe et qui sont puisera dans les OEovres de cet écri
vain célèbre en voici quelques-uns
Ceux qui ont combattu la. religion doivent *8
moins avouer Qu'elle station cè dé Vérités d'où résulte
rait la félicité du gen e humain. Sa pratique est éta
blie sur l'indulgence ét sur les bienfait*. Un Dieu adoré
dè toéur et dé b'otacH* et Ions les dèiobi rempli#
foNI dé l'dhivéts un tédiple et dès frétés dé lotis les
bommes. La chrétien sait deux grandes Choses i sup
porter l'adversité et Conéoler le» malheureux.
Avatat la ptiblicàlitan dé I Evangile, là supOtsiititata
qui vient de Dieu mais la gloire de la religion révélée
eu de l'Evangile est d'avoir seul détruit toutes les su
perstitions de la terre.
C'est l'Evangile qui rappelé le gënfë humain
la liBefté pftfnHIVè pOtat laquelle il est né.
C'est a l'Evatigde Seul qu'on doit l'afiMmibiêse-
tnenl de l'esclavage où étaient tombés auési lés peuples
destinés a ta liberté.
L'Evangile seul enfin rétabli l'homme dans ses
droits naturels.
e Lé christianisme nous lait trouver des hommes
qui versent dans notre ttaeot dés consolidons dont on
Jê croyait incapable.
Les aniis de la relgiot» dit PEtoile ont du èire
aussi satisfaits qtie Surpris d'entendre l'homme que l'on
regarde ordinairement comme le eoryphee de I incre-
dutttej prêcher UUfe doctrine aussi orthodoxe que celle
qui vient fféite extraite littéralement de ses aéuvfcs,
nous rappèlôns cèbujet un jHgemetit qui fait beaucoup
d'honneur *la sagacité dta prince de lignu, !*bo des
personnage* lès pltas distingués du sied» dernier qui
avâit de fréquentes relatlooS avec les philosophe du
Ferttey.' V dit aire dit le pfiuCe belge, a été quoiqu'on
«en dise, beaucoup plu. du parti de 1s religion que
dé l'impiété. Il a paru incrédule sttnr liittet
sottvent pour dire des plaisanteries quota a prises
-« an pied du la lettre. SanS le considérer cotoroeniù
pérè dé l'église i je parié Utfèt de lui de quoi faire
un livré de dévêlioA et nrrsqu'un catéchisme.
Le pribre commèon Fa va par nos «battonseût
suftpletneâtgagné son part.
AFFAIRES DÉ LA GRÈGE.
Le comité grec de Paris n jus communique Us nou
velles suivantes elles ne sont pas de la date le plus ré
cente, mais la«r »uth«uùuie doit leur Assurer use con
fiance entier*-
i M le comte rf flascour! /crit deffapôfi, le tj joiller?
I Je suis arrivé flydia le ii. '.a fl< nie mettait la
i voile au nombre de vingt cinq buts de guerre, «ans
compter les petits bâ-irnens', sous les ordres de Sa'b-
turis Elle se dirigeait sur Samo*; et on espérait qo'elha
arriverait temps pôur défendre cette lie contre lea
Turcs, qui, s'ils réussissaient ne raanqnraient pas dé
lui faire subir le sort de Chiu. On trouve H y (ira
beaucoup d'activité et d'énergie pour se defeudre«
C'est évidemment un des bouievards de la Grérp.
c Une seconde division d'une force peu préa
égalé, reste sous I# comrnandem'enf de Wi.iulis, et doit
partir incessament pour aller chercher les flottes tur
que éf égyptienne réunies qui iè trouvent dans lea
e-nfà de Cor où. Les msrefo't# étant éffrayéééde laisse#
datas là Ville lents- fétartne# ét leurs en fans tans prro ec-
tion, les primât#, tout venu# me prier fritaammeiM rf#
fournir la solde de dix-huit cents brève# e<b»ppéa
au désastre* de Missolonghiet je me sut* etàipressé T
d'accueillir cette jusre demande eu fomuissnnt pour
cet Objet une tomme 3o,ooo fret en -prenant toute*
les mesures nécessaires pour qu'elle ne soit pas detOuf
née de sa destination. Je n'et point hésité a prendre
cette détermination t connaissant les généreux mode
meus des membres du comitéet renvsiiteu que lu
chute d'Hydre entraînerait relie du la Grèce entière
par la destruction absolue do n marine.
Hier 16 j'ai été Voir If'kit a# il faiséh faire fa
bénédiction de ses drapeaux avant die partir, àveehirrf
ceftt* hommes, ptitir la Mofee. C'est un homme dédit
et déS'Htétessé, ei qui la confiante dan# ses iroupes,
Dans trois jours Kar«i#-K«kt part avécaooo homme#
pour secourir l'Attique; il compte se recrute! en routo
d'un pareil nombre. Les bornâtes iei manquent moine
que l'argent- Tous ceux dont la patrie est au pouvoir
des Turcs, et qdi se trouvent Sans asile, maicheM
avec qui veut les nourrir. Uescbid pacha eèt eu Liva*
die t il avait amené ao,ooo hommes devant Misaoloo-
ghi il en a i peine y ou 8ooo il garde la Homélie
depuis Missolonghi jusqu'à Athènes. On craint qu'I
brahim ne veuille se joindre lui. N.kuas et Karais-
Kaki doivent manoeuvrer pour empêcher cétle jooC-
liota.
a Fabvier s'est établi dans la presqu'île de Metha*
oa, visfc-vis Egide. Il A pourrai la défense de feu
trée dé i'isthma placé des batteries établi des ma
gasins et son projet est de proléger les population*
sans asile qui viendraient loi demander un refuge. Oa
attèhd ici un grandbàteàb vapeur commandé pi#
lé capitaine ifastingSet dotal l'armement ét l'approvi
sionnement sont ici,' il porte huit canon* de soixante-
tix et son pont est celui d'une frégate. La palamide
est approvisionné pour deux ans et Corinlbe, Alhè-
bes ét Malvoisie pour un au.
PAYS-BAS.
Bruxellesg octobre.
Voici la note authentique des sommes reçues jof*
qu'ici h Ostende pôur lès victimes du désastre .-
Produit d'un concert donné par la Société philhellfi
nique et f# musique du6* division d'ioDnteiieà Bru
ges fli43 63,' d'une représentation donnée Gand,
S10 78 du corps d'officiers du 8* régiment d'bustaida
Gaod, 119 36, d'un aoonyme de la Nord-Hollande
tSj 5o de la commission de Bruges384 8° - de la
garnison de Bruges, ai5 ao. Total, florins ia3i-ay
Voici ce que les jouraaui de* provinces septentrio
nal** nous fora connaître, la date du a octobre, lou-
chaul l'epidemie qui règne Groningue et dansla Fris#
- SI te nombre des décès, dit ona diminué GrOnin*
goa, celui dm «ukdm oaasidocabUmaat anfomaté