LE PROPAGATEUR, JOURNAL D'YPRES, PAR AUTORISATION SA MAJESTÉ POLITIQUE, LITTÉRAIRE, COMMERCIAL, JUDICIAIRE ET HISTORIQUE. D'AFFICHES, ANNONCES, AVIS DIVERS, ACTES DU GOUVERNEMENT,- SAMEDI «4 Octobre, 18*6. »--- DB «TCVERTrRFS DES PORTES DE LA VILLE Du 1 iu i5 octobre 6 heures DE8 VILLES ET DISTRICTS DE LA PROVINCE DE WEST-FLANDRE (OCCIDENTALE.) Le pris des abonnements est de 18 francs psr année, 9 francs 5o Cent, pour 6 mois, 5 francs ponr 3 mois. L'aboDD* •eut 11e sa paiera qu'a i'échéauce. On s'abonna elles l'éditeur, et tous les Ruraux des postes aux lettres du royaume. Lé prit des insertions dans ce Journa', est de i5 centimes par ligues et celles eu dessous de 7 ligues, se payent 1 franc. P HÉ M RI DES. Le 10 octobre 1806, combat de Saalfold A peine 1:1 catnpugne de 1806 contre la Prusse était elle ou verte que déjà l armée prussienne avait éprouvé un échec SchleilS. Lé corps du maréchal Larmes ayant trouvé l'ennemi Sàaf/cld le culbuta lui prit trente pièces de canon, six cents tués ou blessés et mi le prisonniersLe prince Louis-Fetdinand de PrusseJul tué par un maréchal-de-logis du di xième de hussards Le tt octobre 1 T>3rttori du Pape Bonijac'e Vitï par s être d'un soufflet (fui lui avait donné Sciarta Colonne I716 mort de Muriltevel rticiréchal de France il s'était distingué au siège de Lille, en 1667 le marquis de Fénélon élève et neveu de timmortel Archevêque de Cambraiblessé au pied et pouvant peine marcher, alla Rocoux chercher la mort sur les relrachemens de l'ennemiet il la Iro uva Le 1 a octobre 588 ans avant Jesus-Christ, fin du royaume de Judisotrs le règne de Sedécias - Après la mort de Salomon, les douze tribus formè rent deux souverainetés, celle de Juda et eelle d Is raël. Lia bue li oclono sor détruisit la première, /8o5 viet ire d'Flchingen où le brave IVey s'ac quit une gloire immortelle et qui passera sa pos térité. le nom d Elchingen étant maintenant uni au nom de f infortuné maréchal. Le i3 octobre /761 suicide de Mare-Antoine Calasfils d'un négociant de ToulouseCe jeune hommeA un esprit sombre inquiet et violent, re venant un soir d une partie de plaisirse pendit dans sa chambre. Cet événement funeste eut dès suites qui ne le furent pas moins. Calas le père fia accusé de la mort de son fils quoiqu'il ein 65 ans et so 1 fils 119 et on le condamna sur de légères précomptions être rompu vif. Ce jugement hor rible fut mis exécution le 9 Mars 176a, ASIE. Smyrne 1 septembre Dans lu matinée du -s i août on a vu la flotte turque al# voile entre le cap Carabournau et Myiilène cinglant vert le canal de Scio. La flotte grecque, commandée par Sachturi était le ao entra Samoa et Ni caria Le 36, le capilain pacha a embarqué 7 mille hom- nies des troupes de débarqument réunies Saiagick mais ayant reconnu aussitôt qu'ils avaient contracté des maladies par suite du mauvais air et du manqua d'eauil a été obligé de le» débarquer Scio. Le 27 il a fait voile pour Samos dans l'intention de donoer la chasse aux bâtimens grecs. On assura qu'il y a'eu un engagement mais l'on n'en connaît point encore le résultat. Le bruit conr» que le rapitan-pacha a été forcé par un violent coup du vent du nord d'entrer Boudroum, où il est du<on en ce moment. Le 3o nous avona vu passer ici plusieurs compagnies de soldais venant du camp de Saiagick et qui rentrent dans l'intérieur. Ibrahim-pacha a été vingt jours malade Modon la suite du son rétablissement il s'est dirigé sur Trqmlitxa où il est arrivé le 20 juillet On mande d'Alexandrie en date du a3 août ce qoi suit «Il part journellement de notre port des bâtiment de la flotille de Mehemet- Ali mais on ignore leur destination. La grande expédition n'eat pai encore prête mettre la voile cependant tout se prépara avec la plos grande activité TURQUIE. Constantinople10 septembre. Depuis le terrible incendie nous sommes ici Iran* quilles, tuais la misère des Turcs et des Arméniens-qui sans asile parcourent les rues de Constantinople, sur passe toute croyance. Il est hors de doute que les janis saires et leurs partisans, qui avaient annoncé au sultan il y a quelques semaines par des affiches qu'ils re naîtraient comme sortis de la mer pour venger leura affronts, sont les auteurs de cet incendie. Le gouver nement et le sultan lui-même paraissent beaucoup plus mal leur aise que jamais.* au moins les mesures récen tes l'indiquent sufusamuiegt. Pour tranquilliser et con tenter les classes inférieures, les vivrea sont de nouveau ,par 1 intervennou du gouvernementdevenus meil leur compte de sorte que depuis 20 ans ils n'ont pas été aussi bas prix. Cependant, notre avenir est toujours incertain et couvert de nuages. Depuis iV.riivéa de l'ultimatum russe, sic Stratfort Caoing a remis uns

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Le Propagateur (1818-1871) | 1826 | | pagina 1