PAYS - BAS. Is'buvift'ftiré fin corps 3è 'ïlslrna a été faite aujour~ 'd 'hniinitli en prètehc'e des ttjëdêcins et chirurgiens qei fui Ont dortnë des Soins pendant sa rie (I a été reçoit «l bien cûns'ttetecè qui déjà avait éië avancé et af firmé il y a plasièiïrs Wïôis qùè la cause de là maladie et de ta mort de'Cet bfclè'Cfr célèbre, est une oblitération compléta du gros itrterti'n Sept ou huit pouces de la tOrtnmMsOn dans Oè toVig'aèur d ènviron deui pouces. Il existait dans le retire dés entràiïlei une hifiamma- lioo secondaire 14 est faèife été Voit Comment èètte oblitération a dû résister tout tes remèdes et tous les soins des premiers médecins dé la éa^iftilé. Les restes -de Ta lova seront conduits après demain samediau cimetière dn père Làchawé. Talma a Lit pendent prés de quarante ans la gloire de la scène française et son talentpaf uVi privilège qui n'a été eriordè tje'à hit, h'r» jamais été pfài' brillant qu'à cette époqne de la vie OÙ il a coutume dé décliner. ùe célébré acteur était né eh 176'd. Tfllnaa, dit Mrte de Staél dans son obv'rsgè de F Allemagne, (mut être cité cotante ùn Éno'dôlè de har diesse et de mesurede naturel et dé dignitéIl possè de tous les sécréta des arts diveft. 5"êi altitude# rap pellent les belles statues dé faUliriuhë. L'ëxpV'éSsi'ôn de «on vwsge celle de son regard doit Stre l'élude de" tous fes peintre#. Il y a tîàns lé voii dé cet homme je ne sais quelle màgié qui dès les premiers accens té- veiHe leutë la sympathie du cœur; Le charme de la peinture de la sculpture de la poéSié etpardessus tout du langage de i'attie voilà sâS moyens pohr d'é-1 velopper daob celui qui l'écoute toute L puissance des passions genéreusés ou terribles; Quelle cdrtnaissàhfce du coeur humain il montre dans sa manière dé conce voir ses rôles il én est une secondé fbi* l'ahteur pkr ses sccens et pat sa physionomie, D'après VEto lê il paraît certain tjua l'altiraa- lum Rti«se a été accepté Ackermahi Depuis qoel'quès jours, in brtiit circulé que dés grandes puissances de l'Europe se sont misés d'actofd concernant le# affairés delà Grèce. t)H assuré qbé ces puissances ont demandé d'une maniéré pressente la jPorte ottomane son consentement l'émancipation de Grecs, aux édnditions suivantes: Les GtëcS paieraient un tribut annuel et déterminé au grand Seigneur, et de meureraient sous sa pfbteCliorlrtiais Avèc la garantie des puissances européennes. La Grèce serait gouvernée désormais, comme la Valacbie et la Moldavie, par des hospodars pris dans son sein et qui né seraient pas ré vocables par ià Porte. Nous faisons des vœux pour qo un semblable arrangement vienne enfin arrêter l'ef fusion du sang dans' cette malheureuse contrée. Le ministre de l'intérieur vient de commander MDélavai oh doublé de sdn tableau du la P restait- 6ri du sdr&iëni du roi le jour du sacré, pohr le pa lais de la chambre des députés. Là première compo sition dé MDélavai est passée en Angleterre. L ar tiste se propose d'ajouter son premier tableau., et de i'étendré sûr' tfne plus vaste toile. Lord Cochranevenant de Malte a mouillé lé l3 septembre S une demi-lieue du port de Marseille. D tùchsté une petite goelette la Licorne unicorn qui lût appartientet bord de laquelle se irouverfC dix passagérs et quatorze hommes d'équipage. Ce osf- viré a obtenu l'entrée dans ce port et un piloté lui a été envoyé sur lé-champ. Au départ de la lettre qui potis transmet ce# détails lord Cdcbrane était attendu' if terre d^un moment l'autre 11 y a qneldes mois que nous avoné annonce qeé lés grandes puissances s'étaient Unies pour empêcher l'effusion du sang chrétien dans la Grèce tous les joUr- riftpx étrangers ailles jourrtaux frahçais s'empressèrent' d'accueillir celle espérance. Le limes dans plusieurs1 articlesvoulut attribuer l'honneur de celle résolution àeot cabinets seulement. Nom croyons pouvoir assurer qu'elle est unanime^ et il n'était bruit CÔns- tantinople le i .er octobre qde des démarches faites eu commun par les envoyés des grandes puissances pétur arriver un résnhat si impbtremment attendu par tous les amis de l'humanité. G est donc eu Va t h qûé pfos'tëù#'# fo'trt-haùi libéraux én interprétant leur gfë iiiiè pbrà'sè 3Ù Moniteur présentée par eux dans Un sens général, quoiqu'elle ne s'applique qu'à un lait spécialvoudraient faire croire que toute attënte de décision# communes aux gran des puissances est évanouiè la démarche colîècliva des grandes puissances dément lenrS assertions 'et la sainte-alliance n'aura jamais mieux mérité son nom. Èio'itè. VF A 1RES Dfe LV GRfe'ci. Là Gâsèïté de ffîorèït'ce donné des nouvelles trèi- yécéâiéi rfè Mtt'rëë. Ibrahim était venu vers la m\rsep- tertibrè dans liWërîfeti'r où il avait fait sur la Maine uhé nouvelle ebtrep'rise qui hë lui avait pas réussi. Vingt-cinq vaisseaux turcs s'étaient approchés de la côte pour fairè feu sur tes GVebi t filais il h'àiaient pas eu pins de succès. On ajoute qde fëè Titrés avaient été battus Athènes. Apre# sa lériiiitivë irifructuëusè Ibrahim, sachant que Colocotroni allait arriver a'é- tait replié snr Tripolitza. Le bateau vapeur ht Persévérànte ést Arrivé A Napoli de Romanie. Le Dïario dt Ruina confirme une partie de ces nou velles par ûné correspondance extraordinaire de Cor- f'oti. Ibrabilh ne faisait que se porter de Tripolitza -Misrra sans aucun résultat positif. Les Turcs battus Athènes lé 3 août avaient été forcés de se retirer dans L Liva lie. D'é lettres d'itaqué rapportaient que Cana ris Avait réosïi lancé# uàtis le port dé Meielin des "brûlot# qui avaient iticc'hdié deux frégates et un brick.: Enfin l'expédition égyptienne attendue d'Alexandrie n'était pas arrivée. Ce retard et lé pfoiét dès leitres-de- change de Mehetuei-Ali pour une valèuf de 70,00b talaris, sur uhedes principales' place# d Italie, faisaient penser que ce pàcha manquait d'argent poùf continuer la guerre. On tait en général quelle valeur Ont lès nouvelles de mer nous donnons celles-ci aidé gttàhli# l'exacti tude. Èruxëlfesvx octobre. S. Ëxc. le.gouverneur de la province de Liège, Vièrft d'inviter MM. les bourgmestres établir dans lètff# commîmes, conjointement avec MM. tés cUréé de! commissions pour .recueillir les doits en faveur dès in fortunés hahilans de Groningue. Les rapports dè Grôriifigtlë jiïS^ù'âti 18 de ce mots, continuent malheureusement être défavorables. D'après lé gazette dé Rottérdattf il y éiàit mort pen dant les derniers jours 137 pèrsôUnes Le Ntcuws en AdvcrtcnlièblàAdie La Haye contient lé lètfrédè Hedsdeh Bfaband septênjf ionaQ tendant attirer l'àtfèhfion dû ^OttveïWè'nieDt, et éxpri- mét les alarmés dés habitués dè ladfitô vifie sur i'exis- tenced'tiu magasin poddre daùs sés murs conté- na'rtt au-dfèlà dé 0à,oàô' livrés d^ fùfèàinarii;'à'fappuf de ses rrest al i on's, l'auté uf cifë fë désastre tpii' y arriva «W f68o làrsqu'tine'èipfôsîôû dé poùtfré'detruisit une grande partie de là' Vtfîe pafefr delàsiiê arrivé i Delfï lé ifOètobrë 1654,» et etifiti; cèrùi dti fa v'iflé rfOsten- de, qui est encore rotor récënr. i On iWMëiid' dû'it S*esf ctaBifi Vôll:en'ÉoveB. Ovétysrtt p tltttf cùttttàîislbtf chargée d'atîier «u«

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Le Propagateur (1818-1871) | 1826 | | pagina 3