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de St de rentrer bu corps et laijenjoint dé se ma
rier ou de répondre J'appel de l'honneur 5 le rendez-
vous est fixé l'affaire s'ébruite un grand nombre
d'il «bilans et une partie du régiment se rendent au lieu
du combat. Le généreuz M. Deblaisse au capi
taine le chois des armes, celui-ci prend le pistolet
vous me donnez trop davantages, lui dit M. Deb
et pour le prouver du premier coup il abat d'un arbre
voisin une leuille isolée qu'il désigne. M. de St
persiste, tire et manque son adversaire. Je suis
venu pour vous rendre l'honneur et non pour vous
ôterlavie, dit M. DebPuis-je encore embrasser
un frère et il tire spn coup en l'air. Leeapitaine
ose offrir des dédotnmvgemens pécuniaires. Alors M.
Deb...., reprenant sa place, fait feu, et M. de S....t
tombe mort ta balle lui avait traversé la téte.
Mlle Debn'a pas encore quitté la maison de
Mlle P... où elle se trouve dans l'état le plus alarmant.
Une fausse couche a été la première suite de la nuit
du cimitière,
Du 4 Dpox e'fendis égyptiens ont parcouru hier
les Champs-Ehsées montés sur de» chevaux arabes
du plus grand prixLes harnais étaient d'un luxe écla
tant. Les selles eh velours plein étaient couvertes de
broderies en or.
Hier pendant la représentation de la Salle de
police un accident malheureux a répandu l'alarme
au théâtre de la Gsité. Au moment où un des acteurs
sortait de scène, uoe trappe mal assujétie a cédé
tous le poids, et a entraîné plusieurs personues. L'ac
teur Lequien a eu le bras fracassé Mercier et Mm°
Ado'phe ont été grièvement blesses. Déjà le public
ignorant le véritable motil de cris d'alarme se préci
pitait sur la scène quand Macty est venu annoncer ce
triste événement.
On écrit de Monich que les évêques do Ba
vière ont été charges par le gouvernement de faire pu
blier des circulaires adressées aux anciens moines bé
nédictins afin dé leur faire savoir que le roi a résolu,
dans l'inteièi de la religion et de la science de rouvrir
plusieurs couvens de bénédictins on ces célèbres re
ligieux pourront se vouer leurs études et au soins des
•mes.»
V Aristarque coolient une lettre d'Oliveoza, du 16
sovmbre mus qui pourrait bien venir du correspon
dant générai des bords de FAdour. Cette missive
fait connaître que les troupes du marquis de Cbaves,
«'élevant huit mille hommes enviroo étaient réu
nies Lugo dès le 3 octobre; que le 39 le marquis
mit l'ordre du jour une proclamation aux royalistes
portugaisdans laquelle il leur dit entre autres cho
ses Le jour approche qui verra luire votre gloire
01 qui doit assurer votre félicité. J'ai reçue du roi Fer
dinand Vil une lente dans laquelle il accueille nos
voeux pour la prospérité du trône d'Espagne et ap
prouve le serment que nous avons fait de défendre les
droits do notre légitime et bteu-aimé souverain et seig
neur don Miguçl i.er.
y> Exaltons notre illustre protecteur le roi catho
lique et répétons sans cesse d" fond de nos coeurs
vive notre sainte religion vive don Férdinand F1V.
vivo notre légitime roi et seigneur don Michel l.tr t
mort aux francs maçons
Cette pi étendue proclamation est datée du quartier
général de Lugo, 39 octobre i8a(> et sigaëe le mar
quis de Cbaves*
Le marquis de Chaves commande en chef; le bri
gadier vicomte de Canelas remplit les fonctions d'ad-
judant-génersl celles du quartier généial sont con
fiées M. Teixei»ancien aide-de-camp de S. M»
Michel 1er-
Le premier point de réunion en Portugal sera Bra-
gance là conformément la proclamai on du 3 oc
tobre on formera la régence. Ce mouvement sera
appuyé par la plus grande partie des troupes restées
en Portugalet qui attendent avec impatience l'arri
vée des royalistes. Les li et 16e régitnens d'infanterie,
qui occupant les provinces du nord se sont pronon
cés pour la cause royale.
Le correspondant termine par ces mois a Quel
ques désordres ont eu lieu Porto et l'agitation régné
Lisbonne partout le peuple manifeste hautement
aes vœux pour la cause nationale Ces renseignemens
sont cerlaios et je défie qui que ce soit de les contie-
ilire et il ajoute que les i5o Anglais débarquées
Lisbonne pour servir de garde l'infante régente, sa
sout rembarques.
Nouvelles d'Espagne et de Portugalvenues
des bords de F/fdour.
Le ministère, effrayé des conséquences de l'invssior»
de» Portugais, avait envoyé des,ordres trls-pressans au
général Longs d'arrêter l'invasion avant qu'elle ne
s'effectuât mais soit que ces ordres soient parvenus
uo peu trop lard soitce qui est le plus probable
que le gouvernement occulte en ail paralysé les effets
les Portugais ont effectué leur mouvementet d'après
les bruits répandus, le seul résultat des ordres du gou
vernement ostensible c'est que le 5" d'infanterie légè
re qui est un des quatre corps envoyés la poursuite
des Portugais, a rejoint Ferraoselle la colonne dix
brigadier Magess, forte de 600 hommes, eu a arrêté le
mouvement, l'a forcée de rétrogader et l'a désarmée./
Le 33 au malin lorsqu'on rendait compte S. M .1
do l'invasion des Portugais on assure qu'elle se frappa
le iront et qu'elle fit entendre, en se laissant tomber
dans un fauteuilces mots A cabotequlerenper-
der me.
borsque le roi fut revenu luiS. M. donna dea
signes de mécontentement très-prononcé et de l'-inton-
tion d'ëloigoer le ministre Calomarde, qui elle paraît
attribuer i invasion et ses suites.
Il a été arrêté dans le cooseii d'état que les réfugiés
portugais seront desarmes et répartis dans divers dé
pôts de l'intérieurles officie» seront séparés de leurs
troupes.
Il paraîtrait que la découverte faite par la police
d'une conspiration ourdie par nos révolutionnaires ré~
fugiés Londres et Lisbonne, présonte des ramifi
cations importantes. Une vingtaine d'individus ont été
arrêtes. On remarque parmi eux deux employés du
trésor public et un capitaine d'infanterie.
affaires de i.a grecs.
On écrit de Z&nte 10 novembre .-
Les officie» bavarois qui s'étaient embarqués k
Ancône sur le Pégase sont heureusement arrivés
Napolioù ils ont été accueillis avec le pltis grand res
pect par le gouvernement hellénique. Un seul d'en-
tr'eux qui est chambellan de S. M. le roi de Bavière,
a été obligé de revenir de Corfou h Ancône cause
du mauvais état de santé.
PAYS-BAS.
Bruxelles5 décembre.
L'emprunt de 15o,ooo florinsonvert par la régenre
dâ Gandpour subvenir aux trais du canal de cette
ville au Sas de Gaud est remplieu conséquente la
souscription est fermée.
Un journal de Gand raconte que la semaine
dernière, un garde de bois Cri tirant au Lazard st e
une volée d'oiseaax dont il entendait les cris au-dessus
de sa tête dans un bols de M. de Saceghemvit tombée