3 de St de rentrer bu corps et laijenjoint dé se ma rier ou de répondre J'appel de l'honneur 5 le rendez- vous est fixé l'affaire s'ébruite un grand nombre d'il «bilans et une partie du régiment se rendent au lieu du combat. Le généreuz M. Deblaisse au capi taine le chois des armes, celui-ci prend le pistolet vous me donnez trop davantages, lui dit M. Deb et pour le prouver du premier coup il abat d'un arbre voisin une leuille isolée qu'il désigne. M. de St persiste, tire et manque son adversaire. Je suis venu pour vous rendre l'honneur et non pour vous ôterlavie, dit M. DebPuis-je encore embrasser un frère et il tire spn coup en l'air. Leeapitaine ose offrir des dédotnmvgemens pécuniaires. Alors M. Deb...., reprenant sa place, fait feu, et M. de S....t tombe mort ta balle lui avait traversé la téte. Mlle Debn'a pas encore quitté la maison de Mlle P... où elle se trouve dans l'état le plus alarmant. Une fausse couche a été la première suite de la nuit du cimitière, Du 4 Dpox e'fendis égyptiens ont parcouru hier les Champs-Ehsées montés sur de» chevaux arabes du plus grand prixLes harnais étaient d'un luxe écla tant. Les selles eh velours plein étaient couvertes de broderies en or. Hier pendant la représentation de la Salle de police un accident malheureux a répandu l'alarme au théâtre de la Gsité. Au moment où un des acteurs sortait de scène, uoe trappe mal assujétie a cédé tous le poids, et a entraîné plusieurs personues. L'ac teur Lequien a eu le bras fracassé Mercier et Mm° Ado'phe ont été grièvement blesses. Déjà le public ignorant le véritable motil de cris d'alarme se préci pitait sur la scène quand Macty est venu annoncer ce triste événement. On écrit de Monich que les évêques do Ba vière ont été charges par le gouvernement de faire pu blier des circulaires adressées aux anciens moines bé nédictins afin dé leur faire savoir que le roi a résolu, dans l'inteièi de la religion et de la science de rouvrir plusieurs couvens de bénédictins on ces célèbres re ligieux pourront se vouer leurs études et au soins des •mes.» V Aristarque coolient une lettre d'Oliveoza, du 16 sovmbre mus qui pourrait bien venir du correspon dant générai des bords de FAdour. Cette missive fait connaître que les troupes du marquis de Cbaves, «'élevant huit mille hommes enviroo étaient réu nies Lugo dès le 3 octobre; que le 39 le marquis mit l'ordre du jour une proclamation aux royalistes portugaisdans laquelle il leur dit entre autres cho ses Le jour approche qui verra luire votre gloire 01 qui doit assurer votre félicité. J'ai reçue du roi Fer dinand Vil une lente dans laquelle il accueille nos voeux pour la prospérité du trône d'Espagne et ap prouve le serment que nous avons fait de défendre les droits do notre légitime et bteu-aimé souverain et seig neur don Miguçl i.er. y> Exaltons notre illustre protecteur le roi catho lique et répétons sans cesse d" fond de nos coeurs vive notre sainte religion vive don Férdinand F1V. vivo notre légitime roi et seigneur don Michel l.tr t mort aux francs maçons Cette pi étendue proclamation est datée du quartier général de Lugo, 39 octobre i8a(> et sigaëe le mar quis de Cbaves* Le marquis de Chaves commande en chef; le bri gadier vicomte de Canelas remplit les fonctions d'ad- judant-génersl celles du quartier généial sont con fiées M. Teixei»ancien aide-de-camp de S. M» Michel 1er- Le premier point de réunion en Portugal sera Bra- gance là conformément la proclamai on du 3 oc tobre on formera la régence. Ce mouvement sera appuyé par la plus grande partie des troupes restées en Portugalet qui attendent avec impatience l'arri vée des royalistes. Les li et 16e régitnens d'infanterie, qui occupant les provinces du nord se sont pronon cés pour la cause royale. Le correspondant termine par ces mois a Quel ques désordres ont eu lieu Porto et l'agitation régné Lisbonne partout le peuple manifeste hautement aes vœux pour la cause nationale Ces renseignemens sont cerlaios et je défie qui que ce soit de les contie- ilire et il ajoute que les i5o Anglais débarquées Lisbonne pour servir de garde l'infante régente, sa sout rembarques. Nouvelles d'Espagne et de Portugalvenues des bords de F/fdour. Le ministère, effrayé des conséquences de l'invssior» de» Portugais, avait envoyé des,ordres trls-pressans au général Longs d'arrêter l'invasion avant qu'elle ne s'effectuât mais soit que ces ordres soient parvenus uo peu trop lard soitce qui est le plus probable que le gouvernement occulte en ail paralysé les effets les Portugais ont effectué leur mouvementet d'après les bruits répandus, le seul résultat des ordres du gou vernement ostensible c'est que le 5" d'infanterie légè re qui est un des quatre corps envoyés la poursuite des Portugais, a rejoint Ferraoselle la colonne dix brigadier Magess, forte de 600 hommes, eu a arrêté le mouvement, l'a forcée de rétrogader et l'a désarmée./ Le 33 au malin lorsqu'on rendait compte S. M .1 do l'invasion des Portugais on assure qu'elle se frappa le iront et qu'elle fit entendre, en se laissant tomber dans un fauteuilces mots A cabotequlerenper- der me. borsque le roi fut revenu luiS. M. donna dea signes de mécontentement très-prononcé et de l'-inton- tion d'ëloigoer le ministre Calomarde, qui elle paraît attribuer i invasion et ses suites. Il a été arrêté dans le cooseii d'état que les réfugiés portugais seront desarmes et répartis dans divers dé pôts de l'intérieurles officie» seront séparés de leurs troupes. Il paraîtrait que la découverte faite par la police d'une conspiration ourdie par nos révolutionnaires ré~ fugiés Londres et Lisbonne, présonte des ramifi cations importantes. Une vingtaine d'individus ont été arrêtes. On remarque parmi eux deux employés du trésor public et un capitaine d'infanterie. affaires de i.a grecs. On écrit de Z&nte 10 novembre .- Les officie» bavarois qui s'étaient embarqués k Ancône sur le Pégase sont heureusement arrivés Napolioù ils ont été accueillis avec le pltis grand res pect par le gouvernement hellénique. Un seul d'en- tr'eux qui est chambellan de S. M. le roi de Bavière, a été obligé de revenir de Corfou h Ancône cause du mauvais état de santé. PAYS-BAS. Bruxelles5 décembre. L'emprunt de 15o,ooo florinsonvert par la régenre dâ Gandpour subvenir aux trais du canal de cette ville au Sas de Gaud est remplieu conséquente la souscription est fermée. Un journal de Gand raconte que la semaine dernière, un garde de bois Cri tirant au Lazard st e une volée d'oiseaax dont il entendait les cris au-dessus de sa tête dans un bols de M. de Saceghemvit tombée

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Le Propagateur (1818-1871) | 1826 | | pagina 3